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mardi 24 novembre 2020

#Utopia56 et compagnie, ou le chantage humanitaire

 Mardi 24 novembre 2020

Les mass merdias nous "bassinent" avec l'évacuation "violente" quelques heures auparavant de "migrants" et de maîtres-chanteurs "humanitaires", place de la République à Paris.

Comme si la violence initiale et principale n'était pas l'occupation de force d'une place publique par les "migrants" et les maîtres-chanteurs qui les instrumentalisent. Qui a rendu nécessaire, inévitable cette évacuation.

Parmi ces derniers : #Utopia56, #FranceTerreDAsile, #MedecinsDuMonde, (ou MedecinsSansFrontieres), sans compter la maire de Paris, et des élus "Insoumis" énamourés des arrière petits-fils de fellaghas.

Les ministres Schiappa (quelle chipie !) et Wargon se joignent à la mise en cause des Forces de l'Ordre, lâchées par le tigre de papier Gérard Darmanin qui réclame un rapport "circonstancié" dans les 24h au Préfet de Police de Paris. Et promet des "conséquences".

Darmanin, Schiappa, Wargon, vous êtes DEGUELASSES !

Soutien total à nos Forces de l'Ordre ! 

 Les descendants de fellaghas et de porteurs de valises du FLN djézaïrien nous rappellent que ce sont elles qui nous représentent dans les quartiers sous occupation de la Diversité.

jeudi 25 août 2016

La "Libération de Paris" d'août 1944 ? Libérons-nous des mensonges et de la propagande résistantialistes.

Dimanche 24 août 2014, la chaîne d'information  vrôônsaise "i-télé" (*) qualifiait de "défilé de la honte" l'exhibition de prisonniers de guerre ukrainiens par les séparatistes pro-Moscou sur la Place Lénine (sic) d'une ville de l'Est ukrainien tenue par les séparatistes susmentionnés. Les soldats ukrainiens ainsi exhibés ont dû défiler devant une populace hostile qui a manifesté sa haine par des insultes et des jets de projectiles. Des médiats ont rapproché le triste événement du défilé de prisonniers de guerre allemands à Moscou sur ordre de Staline vers la fin de la guerre, défilé suivi de l'arrosage de la voie parcourue par les services d'assainissement municipaux.

Mais pourquoi aller à Moscou pour trouver un précédent alors qu'on nous bassine avec une prétendue libération de Paris qui aurait eu lieu il y a soixante-dix ans ces jours-ci ?

En août 1944, lors de la prétendue "libération de Paris", des soldats allemands prisonniers ont dû défiler sur les Champs-Elysées, près de la Place de l'Etoile. Certains y ont été abattus, lynchés, molestés; un "résistant" a même narré il y a vingt ans, avoir abattu des soldats allemands.....pour leur éviter d'être lynchés par la populace enivrée de haine germanochtone par les bandes de Rol Tanguy et de Kriminel, pardon : Kriegel Valrimont.

Lynchage de soldats vaincus et prisonniers, blessés "achevés", écrasés par les chars des libertadors, sont un des aspects de la prétendue "libération de Paris", militairement inutile : les Allemands se seraient rendus sans trop de difficultés aux troupes alliées régulières qui approchaient. Pas aux bandes de "partisans" de diverses obédiences qui "jouissaient" auprès des Allemands de la réputation non usurpée, non exceptionnellement vérifiée de ne pas faire de prisonniers, ou de les tuer.

Pourrez-vous passer rue de La Harpe dans le 5e arrondissement de Paris devant le "centre de secours" de l'été 1944, probablement situé au niveau du Centre Hostater (C.R.O.U.S. de Paris) sans vous souvenir du jeune soldat blessé, transporté là par des infirmières et que des résistants sont venus abattre malgré ses supplications avec le commentaire : "on les tuera tous"? Il n'a pas de nom, ni de plaque sur les murs de Paris. Rue de la Harpe, Paris 5e, août 1944, l'instinct de mort s'est libéré. Il faut dire que le journal communiste L'Humanité avait titré : "A chacun son Boche", invitant chaque lecteur, chaque Parisien à tuer au moins un soldat allemand. 



Pour tenter a posteriori de justifier ou de contextualiser ces crimes de la Résistance, on a inventé le mythe de "Paris brûle-t-il ?", c'est-à-dire d'une destruction imminente de Paris sur ordre de Hitler que l'insurrection lancée le 19 août aurait évitée. C'est un mensonge qui a été répandu avec, hélas, le concours du général Von Choltitz, commandant du Gross Paris, qui avait sans doute des choses à se faire pardonner, et une réputation de désobéissant à Hitler à se voir décerner. Septante ans après, on n'est pas obligé de continuer à croire à cet épisode des Contes et Légendes de la Seconde Guerre Mondiale.

(*) I-télé porte aujourd'hui (2018) le nom de C-News

jeudi 9 juin 2011

Bonjour, et bon anniversaire Monsieur Courbet

Le 10 juin 1819, naissait à Ornans (Franche-Comté / Doubs) le peintre Gustave Courbet.

La fin de la vie de Gustave Courbet est marquée par l’exil en Suisse et l’impécuniosité. Le peintre s’était en effet engagé aux côtés des animateurs du mouvement révolutionnaire de la Commune de Paris dont il tenta vainement de freiner certains excès. Il proposa le déplacement de la Colonne Vendôme qui rappelait les victoires des guerres napoléoniennes et apparaissait comme un symbole lié au régime précédent. Mais la Commune ne suivit pas Courbet dans sa proposition de déplacer la Colonne aux Invalides et la fit tout simplement abattre :

"« La Commune de Paris, considérant que la colonne impériale de la place Vendôme est un monument de barbarie, un symbole de force brute et de fausse gloire, une affirmation du militarisme, une négation du droit international, une insulte permanente des vainqueurs aux vaincus (*), un attentat perpétuel à l’un des trois grands principes de la République française, la fraternité, décrète : article unique - La colonne Vendôme sera démolie. ».

Après l’épisode de la Commune de Paris, Courbet fut considéré comme au moins civilement responsable de cette destruction, en dehors d’une très courte peine de prison et d’une amende pour son activité aux côtés des Communards pendant la guerre civile. Il fut condamné au versement de contributions destinées à financer la reconstruction de la Colonne.

 Ces contributions furent révisées à la baisse et étalées dans le temps (33 ans) mais la vente de ses toiles et la mise sous séquestre de ses biens le ruinèrent. Il mourut toutefois à l’âge de 58 ans avant d’avoir payé une seule des contributions exigées de lui pour la reconstruction de la Colonne Vendôme.
Comme artiste, il est notamment l’auteur d’un tableau intitulé "Bonjour Monsieur Courbet", ou "La Rencontre", qui date de 1854 et auquel on a emprunté le titre du présent article :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Gustave_Courbet_010.jpg


(*) la préoccupation de ne pas accabler les vaincus n'est pas courante; il est dommage qu'on ne s'en soit pas inspiré en 1919, entre les deux guerres, en 1944 et après (« tribunal » de Nuremberg ».