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lundi 26 novembre 2018
Merci d'adhérer, de faire adhérer
https://www.facebook.com/groups/440149656360251/
Merci d'adhérer à ce groupe intitulé :
Jean-Marie Lallau blogue (Tant qu'il fera jour)
dans le cadre duquel on parle d'histoire, d'actualité et d'autres sujets abordés déjà ici.
Vos adhésions constituent un encouragement.
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mardi 18 septembre 2018
Les "standards" de Facebook : une censure sélective et abusive
Vos encouragements sont les bienvenus. Contre cette censure sélective et abusive. De fait, ma publication était dédiée à un membre du groupe [Jean-Marie Lallau blogue (Tant qu'il fera jour) ]. Il s'agit d'un résident en Allemagne, d'origine juive polonaise, de conviction socialiste, de sensibilité "antifa". Ses origines lui inspirent une aversion envers les identitaires allemands (et européens en général) qu'il craint et honnit, tandis qu'il a conserve une image angélique des relations judéo-musulmanes. Mon partage et ma publication avaient pour objet d'élargir son horizon, et de lui permettre de comprendre cette réalité : "On ne choisit pas ses ennemis, on est choisi par eux".
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dimanche 27 mai 2018
Invitation à rejoindre le groupe Facebook : "Jean-Marie Lallau blogue (Tant qu'il fera jour)"
Pour vous rendre sur la page Facebook de ce groupe, vous pouvez faire un copier/coller de l'adresse ci-dessous :
https://www.facebook.com/groups/440149656360251/
merci et à bientôt
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mardi 3 avril 2018
Censure, blocages et hystérie sur Facebook : la censure par l'allégation de "hors-sujet" (1)
Comment est-ce que ça se passe habituellement ?
La censure par l'allégation de "hors-sujet"
Bien souvent, la revendication de la censure d'une publication évitera de la discuter sur le fond. Ceux à qui votre publication déplait, celles et ceux qu'elle dérange, commenceront par la déclarer "hors-sujet". D'autorité.
Et si vous entreprenez de démontrer à votre contradicteur qu'il n'en est rien, qu'il existe un lien entre le sujet du fil de discussion, la thématique de la page Facebook du groupe et votre propos, vous pouvez vous attendre à ce que la censure de votre publication soit expressément demandée à l'administrateur/modérateur par celles et ceux que votre publication dérange.
Exemples attestés :
- sur la page d'un groupe de protection animale, une discussion s'était engagée sur la question des différents modes de garde des animaux de compagnie en l'absence de leur maître; j'ai exprimé une incompréhension en ce qui concerne la garde à domicile par des retraités (ou supposés retraités) : pourquoi faut-il les payer alors qu'on leur offre l'hébergement, la jouissance d'un domicile en l'absence de son propriétaire ? Une membre du groupe m'a pris à partie en m'attribuant l'intention de rétablir l'esclavage (sic) : faire travailler les gens sans les payer. Je lui ai répondu que la jouissance de mon logement en mon absence était une forme de rémunération très enviable. N'étant pas à une contradiction près, la pétroleuse en question m'a reproché d'être "hors-sujet" tout en établissant un lien entre ma position et la loi-travail en discussion au printemps 2016. Je lui ai demandé la raison de son agressivité, et conseillé d'éviter d'intervenir sur les réseaux sociaux pendant son indisposition menstruelle. Elle a alors exigé et obtenu mon éviction immédiate du groupe, le blocage de mon compte Facebook sur la page du groupe, et elle m'a elle-même bloqué;
- sur la page d'un groupe dédié aux déplacements sur la ligne C du RER / Transilien, une discussion s'était engagée sur la malpropreté des sièges, et des intervenants mettaient en cause le comportement des voyageurs qui mettent systématiquement leurs chaussures ou leurs pieds sur les sièges qui font face à leur place; certains notaient que ces incivilités venaient surtout d'une certaine catégorie de voyageurs; d'autres affirmaient qu'ils avaient vu des gens "très bien", "bon chic bon genre" se comporter de la sorte. J'ai confirmé avoir voyagé un jour près d'une voyageuse en hijeb (foulard dit islamique), tenue qui aurait pu laisser présager un comportement modeste, discret, pudique, mais qui avait laissé ses écrase-merde (chaussures) sur le siège d'en face durant tout son trajet. Réaction immédiate d'un des "modérateurs" (tu parles !) de la page du groupe : "votre publication est "hors-sujet" et je l'ai supprimée, et en cas de récidive (de quoi ?), je vous avertis que vous serez exclu du groupe".
Bye bye preacher, j'ai quitté le groupe et j'en ai créé un autre autour du même thème.....
Prochain article : Censure, blocages et hystérie sur Facebook : intimidation / incitation à l'auto-censure par la menace d'un signalement (2)
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jeudi 27 avril 2017
Censure abusive sur Facebook ? Jugez-en par vous-même
La publication ci-après à fait l'objet d'un signalement (c'est-à-dire d'une plainte) auprès de la plateforme PHAROS du Ministère de l'Intérieur. Suite à ce signalement, Facebook a automatiquement supprimé (c'est-à-dire censuré) ladite publication. Pire : mon compte Facebook a été un moment suspendu.
J'estime que ma publication était modérée sur la forme comme sur le fond. Et que les notions d' "incitation à la haine (sic) et à la discrimination (re-sic)" sont abusivement interprétées par PHAROS, par Facebook comme par les juges.
La publication controversée réagissait à la lourde condamnation infligée au maire de Béziers pour avoir dit tout haut et publiquement ce que vous comme moi pensons et disons tout haut en privé.
La voici :
=====================================================================
"Bien sûr qu'il y a trop d'élèves musulmans dans les écoles publiques. C'est pourquoi je suis favorable au développement d'écoles confessionnelles musulmanes. En attendant la Remigration. Robert Ménard dit publiquement ce que je pense et ce que je dis tout haut en privé. Il n'y a aucune haine dans les propos de Ménard. Ni aucune incitation à la haine puisqu'ils me confortent dans la nécessité du "vivre côte à côte" plutôt que du "vivre ensemble". Je ne considérerai jamais les petits-enfants et arrière petits-enfants de fellaghas comme des concitoyens à part entière. On ne
leur a pas accordé l'indépendance pour en devenir la colonie de peuplement" (Jean-Marie Lallau)
=====================================================================
Vous avez vu là-dedans de l'incitation à la haine, vous ?
Vous y voyez de l'incitation à la discrimination ?
Moi non plus !
Des parents musulmans sont eux-même tellement convaincus qu'il y a trop d'élèves musulmans dans les écoles publiques, qu'ils placent leurs enfants dans des écoles privées catholiques où il y a davantage de "diversité".
J'estime que ma publication était modérée sur la forme comme sur le fond. Et que les notions d' "incitation à la haine (sic) et à la discrimination (re-sic)" sont abusivement interprétées par PHAROS, par Facebook comme par les juges.
La publication controversée réagissait à la lourde condamnation infligée au maire de Béziers pour avoir dit tout haut et publiquement ce que vous comme moi pensons et disons tout haut en privé.
La voici :
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"Bien sûr qu'il y a trop d'élèves musulmans dans les écoles publiques. C'est pourquoi je suis favorable au développement d'écoles confessionnelles musulmanes. En attendant la Remigration. Robert Ménard dit publiquement ce que je pense et ce que je dis tout haut en privé. Il n'y a aucune haine dans les propos de Ménard. Ni aucune incitation à la haine puisqu'ils me confortent dans la nécessité du "vivre côte à côte" plutôt que du "vivre ensemble". Je ne considérerai jamais les petits-enfants et arrière petits-enfants de fellaghas comme des concitoyens à part entière. On ne
leur a pas accordé l'indépendance pour en devenir la colonie de peuplement" (Jean-Marie Lallau)
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Vous avez vu là-dedans de l'incitation à la haine, vous ?
Vous y voyez de l'incitation à la discrimination ?
Moi non plus !
Des parents musulmans sont eux-même tellement convaincus qu'il y a trop d'élèves musulmans dans les écoles publiques, qu'ils placent leurs enfants dans des écoles privées catholiques où il y a davantage de "diversité".
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vendredi 30 décembre 2016
Colombes (92) : L'antiracisme, ou les habits neufs du stalinisme
Sur une page Facebook dédiée aux échanges entre habitants, anciens habitants et en général entre personnes intéressées par la commune de Colombes, une discussion s'était engagée à propos d'UN QUARTIER DE LA COMMUNE. C'était le mardi 27 décembre 2016.
Une membre du groupe s'était crue libre d'exprimer son peu d'enthousiasme pour les lieux, l'habitat, le comportement des habitants.
Cette opinion qui n'engageait que celle qui l'exprimait a déclenché un véritable feu d'artifice de réactions outragées (3). TROP BIEN ORCHESTRE POUR ETRE SPONTANE. Certains se sont dit "insultés", sans que je relève d'insultes. Je n'ai pas suivi les échanges, globalement assez inintéressants, quoique révélateurs, de A à Z. Mais lorsque j'ai découvert ce fil de discussion, J'AI ETE SURTOUT IMPRESSIONNE PAR LES APPELS A LA CENSURE, AU BLOCAGE, A L'EVICTION de l'internaute coupable d'avoir brisé des tabous qui ne devraient pas en être. On a pu mesurer l'intolérance des prêcheurs (et surtout prêcheuses) de la tolérance.
Je ne me suis mêlé à la discussion pour dénoncer ces appels à la censure, au blocage, à l'éviction du groupe. Bref ce macaque-carthysme (2) J'ai eu quelques remerciements en mp, un "J'aime". Mais c'est tout.
Une membre du groupe particulièrement virulente, Madame M. (6), a adressé à l'infortunée bénévole en charge de l'administration de la page, qui aurait pourtant bien droit à un "trêve des confiseurs", l'injonction typiquement stalinienne qui suit et que je vous livre, car elle vaut son pesant de nougat :
" [Madame M. apostrophe l'administratrice par son nom] je demande publiquement que vous assainissiez (4) cette publication qui dérive à cause d'une seule personne , non Colombienne (5) : beaucoup d'entre nous , Colombiens. ont quitté la page , de dégoût de la voir virer aux règlements de comptes SANS INTÉRET .et beaucoup d'autres ne publient plus et vont la quitter. C'est une responsabilité collective de la saborder , mais d'abord la vôtre . Merci d'avance pour les 99,999% qui sont las de ces échanges stériles"
Vous aurez remarqué que Madame 99,999% exerce un CHANTAGE sur l'administratrice : elle lui demande "publiquement" d'obtempérer, c'est-à-dire qu'elle prend l'ensemble du public à témoin du retard pris par l'administratrice à satisfaire ses exigences de censure. . Notre Fouquier-Tinville (6) en jupons continue dans la même veine vers la fin de sa harangue en émettant une fatwa : "c'est une responsabilité collective (sic) de la saborder". "Mais d'abord la vôtre (re-sic)
Madame M.se proclame porte-parole de 99,999% des membres du groupe. Ca ne vous rappelle rien ? A moi si ! C'était le pourcentage des voix régulièrement obtenues par le parti unique dans les "démocraties populaires" d'Europe centrale et orientale, en U.R.S.S., en Chine continentale, au Vietnam, à Cuba etc... . Cette référence à 99,999% de personnes représentées par Madame M. M. nous en apprennent plus sur elle-même que tout son profil.
Mais ce n'est pas tout. Comme j'avais contredit Madame 99,999%., sans jamais avoir recours à l'insulte, de façon modérée, parfois ironique, comme j'avais encouragé l'administrateur/trice à ne pas obtempérer aux appels à la censure, au blocage, à l'éviction, Madame 99,999%. a réagi en .....me bloquant. C'est-à-dire qu'elle ne supporte pas une contradiction qui pourrait être efficace.
Notre Fouquier-Tinville en jupons s'est comportée de façon typiquement STALINIENNE (1) (pressions publiques (au moins) sur l'administrateur/trice, revendication d'une quasi-unanimité derrière elle : 99,999%, blocage des "dissidents" : le rédacteur de ces lignes, par ex.) mais elle a apparemment des groupies. derrière elle.
On se fait décidément plus d'amis en hurlant avec les hurleurs, en suivant la meute qu'en pointant du doigt les risques inhérents à la censure.
N O T E S
(1) stalinisme, stalinien(ne) : ce sont des expressions qui sont empruntées aux adversaires de Joseph Staline, notamment aux partisans de Léon Trotsky, pour caractériser un mode de fonctionnement de l'URSS et des autres "démocraties populaires". Le rôle et l'importance de Staline ont probablement été exagérés par ses adversaires, et ces termes sont critiquables. On ne les a ici repris que par commodité.
(2) macaque-carthysme : cette expression a été forgée par l'écrivain et journaliste Albert Paraz au début des années 1950; elle fait allusion aux campagnes du sénateur U.S. Joseph Mc Carthy (R., Wisconsin) contre les activités communistes; elle ne comporte aucune référence raciste ou méprisante envers une espèce animale. Honni soit qui mal y penserait.
(3) ces réactions outragées consistaient à condamner une prétendue stigmatisation des habitants du quartier, sous-entendu à raison de leur origine ethnique.
(4) "que vous assainissiez" (sic); la Procureure exige une "épuration". Quand on commence par les écrits, on passe rapidement à leurs auteurs.
(5) l'internaute dénoncée ici a été scolarisée à Colombes, comme moi-même, comme l'Accusatrice Publique. Elle n'y réside plus, comme Madame M. et comme moi-même; cette référence à une "étrangère" à la commune est bizarre.
(6) on le désignera aussi par les expressions "Fouquier-Tinville en jupons", ou "Madame 99,999%".
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dimanche 13 février 2011
Le Guépéou de la Pensée et Usenet, il y a quelques années
Les médiats qui paraissent vers la mi-novembre 2010 relataient la mésaventure survenue à des salariés d'une entreprise qui ont été licenciés pour avoir, sur Facebook, critiqué ou ridiculisé la direction de leur entreprise.
Je connais un dénommé J.-M. L. qui, il y a quelques années, a failli être révoqué de son emploi public, non pour avoir critiqué l'institution dans laquelle il servait et qui était alors administrée par le ministre socialiste Allègre, ou pour avoir émis des opinions hétérodoxes sur le contenu et la pratique de sa profession, mais pour des contributions à des forums de discussion sur Internet, portant notamment sur l'Histoire, disons, du second tiers du XXème siècle, et qui auraient contrevenu aux dispositions de la loi 90-615 du 13 juillet 1990 dite loi Fabius-Rocard-Gayssot.
DELATION "CITOYENNE" SOUS ANONYMAT
De "courageux" collègues jamais identifiés (-ées) semblent s'être effarouchés (-ées) de ces contributions, et ont alerté leur hiérarchie commune qui s'est fait pendant quelques semaines l'auxiliaire du Guépéou de la Pensée. Comment éliminer le mal pensant, la "brebis galeuse" ? D'abord en le privant d'une possible protection : notre impertinent personnage représentait alors un syndicat dans une instance en charge de "l'hygiène et de la sécurité" dans les établissements scolaires et universitaires du département. Le représentant de l'administration dans le département profite d'une audience accordée à une délégation du syndicat de J.-M. L. pour le "balancer" en faisant lecture de morceaux choisis ses contributions sur des forums Internet, et signifie à la délégation syndicale qu'il s'attend à ce qu'elle ne défende plus désormais ce dangereux personnage, et envisage, selon des témoins présents à l'audience, sa suspension très rapide de ses fonctions avant révocation, compte tenu de la gravité et de l'urgence attribuées à l'affaire.
J.-M. L. est prévenu de cet incident par son syndicat qui, d'une part lui fait savoir que cette affaire l'embarrasse et d'autre part essaie de s'assurer que J.-M. L. est au courant de ce qu'une procédure est engagée contre lui, ou va l'être. Notre J.-M. L. reconnaît les faits pour lesquels il est mis en cause, mais affirme entendre parler pour la première fois de cette affaire. Cette circonstance : que l'administration mette J.-M. L. en cause à son insu devant une organisation qu'il représente par ailleurs et qui est censée éventuellement le défendre, conduit le syndicat à une attitude très prudente.
Le syndicat s'étonne que J.-M. L. n'ait pas été tenu au courant, annonce qu'il ne le défendra pas si la loi a été enfreinte, mais demande que J.-M. L. puisse prendre connaissance de son dossier.
Embarras de l'administration qui doit constater que J.-M. L., s'il a choqué certains (-aines) de ses collègues, délateurs (-trices) au nom du leur conception du civisme et montré de l'irrespect pour les "valeurs" dont ils/elles se réclament, n'a enfreint aucune loi, n'a commis aucun crime ou délit, ou infraction quelconque, a rédigé ses contributions signées de son nom, en dehors de ses heures de service et depuis son ordinateur personnel à son domicile (contrairement à certaines hypothèses avancées au début). Dans un premier temps, l'administration affirme qu'il n'y a pas de dossier à consulter puisque les contributions de J.-M. L., relevant d'une activité non professionnelle, n'ont pas leur place dans son dossier administratif. Puis, dans un second temps, plusieurs mois après, propose que J.-M. L. puisse venir prendre connaissance des contributions recueillies par les collègues de J.-M. L. et lues devant la délégation syndicale.
Pendant ce temps, sur les conseils d'un avocat, J.-M. L. porte plainte contre X pour dénonciation calomnieuse. La procédure n'aboutira pas : le représentant de l'administration dans le département n'est pas en mesure, du moins le prétendra-t-il, de révéler la provenance de la mise en cause de J.-M. L. et de la transmission de copies de ses contributions. La juge rend une ordonnance de non lieu : X est introuvable et restera anonyme. J.-M. L., qui renonce à interjeter appel de l'ordonnance de non lieu (pour pouvoir récupérer sa consignation (*) auprès du tribunal), se rend auprès des services départementaux de son administration en compagnie d'un témoin, éditeur, multi-condamné pour infractions à la loi Fabius-Rocard-Gayssot. Par le choix de ce témoin, J.-M. L. marque son absence de repentance. La consultation des copies de ses contributions confirme la modération des propos de J.-M. L., l'absence d'infraction à quelque loi que ce soit. On est en présence d'une tentative de déstabilisation lancée par des collègues zélés (ées), relayés (-ées) un temps par leur hiérarchie. Les délateurs (-trices) de J.-M. L. sont restés(-ées) anonymes et jamais inquiétés (-ées), peut-être couverts (-tes) par leur hiérarchie.
LA LOI DU MILIEU
J.-M. L. a failli être révoqué, en tout cas mis à l'index, détruit professionnellement, pour des faits sans rapport avec son service, mais seuls la maladresse et l'excès de zèle "citoyen" et de hâte de ses collègues et délateurs (trices) ne l'ont pas permis. Toute la morale d'un "milieu" communiant dans la référence à de prétendues "valeurs citoyennes", prêt à seconder un véritable Guépéou de la Pensée est là.
(*) Quand une personne dépose une plainte devant un tribunal pénal, elle doit déposer une somme d'argent, appelée consignation; si la plainte a été déposée abusivement, c'est-à-dire non pas forcément à tort, mais manifestement sans raison, la somme est conservée par le Trésor Public, et est donc perdue par le plaignant; dans le cas relaté ici, J.-M. L. a pu récupérer cette consignation (de l'ordre d'environ 900 à 1000 euros) : le dépôt de plainte était fondé. Mais si le plaignant avait fait appel de l'ordonnance de non lieu et s'était pouvu devant l'instance dénommée chambre d'accusation, la consignation était conservée par le Trésor Public jusqu'à la fin de la procédure devant l'instance d'appel.
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