Mercredi 5 juillet 2017, Georges Fenech, ancien député LR du Rhône, était invité par Ruth Elkrief pour parler de son livre "Imagine-t-on le général de Gaulle mis en examen ?".
On a ailleurs, sur ce blog, relevé les procédés de Ruth Elkrief, ses oeillères, son sectarisme, sa prétention à l'autorité morale :
http://jeanmarielallau.blogspot.fr/2015/02/sortie-de-ruth-sortie-de-route.html
Cette fois-ci, la journaliste de BFM TV décerne à son hôte le qualificatif de "lanceur d'alerte", titre dont sont parés Edward Snowden et Julian Assange.
En quoi Georges Fenech serait-il un lanceur d'alerte ?
En rien.
C'est abusivement que Ruth Elkrief élève Georges Fenech à cette pseudo dignité médiatique.
Georges Fenech est simplement le premier des mandataires LR à avoir prétendu dès la fin janvier 2017 que les primaires de la droite et du centre, tenues deux mois auparavant, étaient caduques (sic) et que François Fillon devait renoncer à sa candidature.
Lors de l'élection primaire de la droite et du centre du 20 novembre 2016, Georges Fenech avait fait le choix de Nicolas Sarközy qui s'est, dès le soir de ce premier tour, prononcé en faveur de François Fillon.
Fin janvier 2017, François Fillon est devenu la cible d'un lynchage politico-médiatique fondé sur les dénonciations d'organes de presse l'accusant d'avoir fait rémunérer sa femme et ses enfants pour des travaux sans rapport avec la rémunération perçue.
A aucun moment, l'ancien juge d'instruction Georges Fenech ne semble s'être ému des bizarreries de la procédure judiciaire mise en mouvement immédiatement après ces dénonciations : secret de l'instruction non respectée, fuites organisées vers la presse etc...
Non, Georges Fenech a tout simplement déclaré caduques les élections primaires et appelé au retrait de François Fillon.
Caduques, des élections qui ont mobilisé 4 millions d'électeurs ?
Caduques des élections dont le second tour a donné François Fillon vainqueur dans la proportion de 2 tiers pour le vainqueur contre 1 tiers pour son concurrent Alain Juppé ?
Caduques, a martelé Georges Fenech !
C'est ce qui s'appelle s'asseoir sur le vote des électeurs ..... pour plus tard inverser le résultat.
C'est peut-être possible dans une compétition sportive à l'issue de laquelle un compétiteur disqualifié a posteriori est souvent remplacé par le second de la compétition.
C'est du foutage de gueule dans une élection politique à l'issue de laquelle le candidat qui a déclaré refuser pour le pays le multiculturalisme (multikulti) l'a emporté sur celui pour lequel "l'identité de la France, c'est la Diversité (multicontinentale)".
Georges Fenech s'est moqué des électeurs en appelant, les semaines passant, à une candidature d'Alain Juppé, le vaincu des primaires dans la proportion de 1 contre 2.
Sans être à aucun moment repris par Ruth Elkrief, très complaisante, Georges Fenech reproche à François Fillon un manquement à "la parole donnée" : François Fillon a maintenu sa candidature après sa mise en examen début mars 2017 alors qu'il avait annoncé un mois auparavant qu'il la retirerait s'il était mis en examen. Certes, mais c'est qu'au cours du mois de février de sérieux doutes sur la régularité de la procédure judiciaire hâtivement déclenchée contre François Fillon, sur la compétence du Parquet National Financier (empiétement du pouvoir judiciaire sur le pouvoir législatif) avaient pu être légitimement émis. Entre la fin janvier et le début du mois de mars, la situation avait profondément changé.
Pire, le sectarisme de Georges Fenech éclate lorsqu'il met en cause l'organisation du meeting de François Fillon place du Trocadero (Paris) début mars. L'association Sens Commun, issue des manifestations de début 2013 contre le projet de lio Bergé-Taubira, a participé discrètement, sans prosélytisme à l'organisation du meeting. Ce sont là pour le sectaire Georges Fenech des gens infréquentables.
Georges Fenech se discrédite en établissant un faux parallèle entre le "courage" d'Emmanuel Macron (dont le candidat dans le Rhône vient de le battre) qui a rompu avec le PS et F. Hollande, et le "manque de courage" des dirigeants du parti Les Républicains qui n'ont pas "débranché" François Fillon, ne l'ont pas désavoué et remplacé par Alain Juppé.
Georges Fenech peut bien se donner le beau rôle, protester de son attachement au "pays" et à sa famille politique. Tout se passe comme s'il avait été un instrument pour faire dérailler la campagne de François Fillon, coupable de refuser pour la France le modèle d'une société multiculturelle (comprenez : dans laquelle la Diversité issue des migrations intercontinentales sud-nord estomperait l'européanité de la France), et de ne pas rejeter des opposants à certains aspects de la loi Bergé-Taubira.
Tout se passe comme si....
Georges Fenech a perdu la première manche.
Le candidat qui était sa cible a perdu la seconde.
De peu : il aurait suffi que les pratiques du parti MoDem présidé par François Bayrou aient été révélées par la presse pour que l'alliance Bayrou-Macron ne puisse être conclue et que, le 23 avril 2017, François Fillon ne devance Emmanuel Macron.
Georges Fenech tente maintenant de se justifier en réecrivant l'histoire et en intoxiquant l'opinion publique. Avec la participation de BFM TV (télé Macron pendant la campagne présidentielle) et de son emblématique journaliste Ruth Elkrief.
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vendredi 7 juillet 2017
Georges Fenech : alerte à l'intox !
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mardi 16 février 2016
Petit dico désintox
POPULISME : n.m. (première attestation relevée : 1929).
A l'origine, le mot populisme désignait une école littéraire cherchant à dépeindre, de façon réaliste, notamment à travers le roman, la vie des gens du peuple (source : Le Petit Robert).
Aujourd'hui : Désigne dans les médiats et dans l'expression d'autorités morales souvent autoproclamées la prise en compte des aspirations des populations sans tabous.
populiste adj. : terme employé surtout de façon péjorative par les élites politico-médiatiques se réclamant de l'humanisme pour caractériser toute concession aux aspirations, non agréées par elles des populations. Pour la chaîne à financement franco-allemand ARTE, "populiste" est utilisé comme un mot codé par lequel la chaîne en question fait savoir que ceci ou cela (personnes, comportements, idées) est rejeté par ses directeurs de conscience.
RACISME : n.m. (première attestation relevée : 1930).
A l'origine, le mot racisme désignait des théories de hiérarchisation des races de l'espèce humaine, distinguant éventuellement des races prétendument supérieures, et d'autres prétendument inférieures.
Aujourd'hui : Désigne, notamment dans les médiats, et dans l'expression d'autorités morales, souvent autoproclamées, l'ensemble des comportements par lesquels une population habitant un territoire donné se trouve contrainte de signifier à d'autres populations partageant le même territoire, que leur accueil permanent sur ce territoire a été accordé sans son consentement, par des dirigeants qui ne la représentent pas, qui se montrent en l'espèce généreux avec ce qui n'est pas à eux.
raciste adj. : qui se rapporte au racisme, est influencé par lui : se dit de tout comportement, expression, acte, par lequel les sujets d'une cité donnée manifestent à des personnes accueillies sur son territoire, ou dont le séjour sur l'étendue de celui-ci est accepté par décision, ou toléré par indécisionn des dirigeants de la cité, que ces dernier n'agissent pas en l'espèce au nom de leurs sujets. Les comportements prétendument racistes consistent à exprimer ceci : ce n'est pas en notre nom que nos dirigeants vous ont accueillis, ou vous tolèrent parmi nous.
VALEUR : n.f. (premières attestations : 2e moitié du XIXe siècle)
A l'origine : ce qui est vrai, beau, bien, selon un jugement personnel plus ou moins en accord avec celui de la société de l'époque; ce jugement lui-même.
valeurs de la République n.f. pl. : ensemble confus d'idées qui ne se laissent ni énumérer de façon exhaustive, ni définir de façon consensuelle. On ne peut les saisir qu'au moyen d'exemples, à partir des situations dans lesquelles elles sont invoquées.
Ex. : des Romanichels élisent domicile au bout de votre jardin, dans votre quartier. Au nom des "faleurs 2 la répuplik", vous n'avez pas le droit de mettre fin à cette occupation, ni d'exprimer publiquement les inconvénients que vous pose ce côtoiement; sinon, sur le fondement de ces "faleurs 2 la répuplik", vous serez l'objet d'une procédure pour incitation à la haine et à la discrimination.
N.B. : ce petit dico désintox sera complété par d'autres entrées (à suivre...).
A l'origine, le mot populisme désignait une école littéraire cherchant à dépeindre, de façon réaliste, notamment à travers le roman, la vie des gens du peuple (source : Le Petit Robert).
Aujourd'hui : Désigne dans les médiats et dans l'expression d'autorités morales souvent autoproclamées la prise en compte des aspirations des populations sans tabous.
populiste adj. : terme employé surtout de façon péjorative par les élites politico-médiatiques se réclamant de l'humanisme pour caractériser toute concession aux aspirations, non agréées par elles des populations. Pour la chaîne à financement franco-allemand ARTE, "populiste" est utilisé comme un mot codé par lequel la chaîne en question fait savoir que ceci ou cela (personnes, comportements, idées) est rejeté par ses directeurs de conscience.
RACISME : n.m. (première attestation relevée : 1930).
A l'origine, le mot racisme désignait des théories de hiérarchisation des races de l'espèce humaine, distinguant éventuellement des races prétendument supérieures, et d'autres prétendument inférieures.
Aujourd'hui : Désigne, notamment dans les médiats, et dans l'expression d'autorités morales, souvent autoproclamées, l'ensemble des comportements par lesquels une population habitant un territoire donné se trouve contrainte de signifier à d'autres populations partageant le même territoire, que leur accueil permanent sur ce territoire a été accordé sans son consentement, par des dirigeants qui ne la représentent pas, qui se montrent en l'espèce généreux avec ce qui n'est pas à eux.
raciste adj. : qui se rapporte au racisme, est influencé par lui : se dit de tout comportement, expression, acte, par lequel les sujets d'une cité donnée manifestent à des personnes accueillies sur son territoire, ou dont le séjour sur l'étendue de celui-ci est accepté par décision, ou toléré par indécisionn des dirigeants de la cité, que ces dernier n'agissent pas en l'espèce au nom de leurs sujets. Les comportements prétendument racistes consistent à exprimer ceci : ce n'est pas en notre nom que nos dirigeants vous ont accueillis, ou vous tolèrent parmi nous.
VALEUR : n.f. (premières attestations : 2e moitié du XIXe siècle)
A l'origine : ce qui est vrai, beau, bien, selon un jugement personnel plus ou moins en accord avec celui de la société de l'époque; ce jugement lui-même.
valeurs de la République n.f. pl. : ensemble confus d'idées qui ne se laissent ni énumérer de façon exhaustive, ni définir de façon consensuelle. On ne peut les saisir qu'au moyen d'exemples, à partir des situations dans lesquelles elles sont invoquées.
Ex. : des Romanichels élisent domicile au bout de votre jardin, dans votre quartier. Au nom des "faleurs 2 la répuplik", vous n'avez pas le droit de mettre fin à cette occupation, ni d'exprimer publiquement les inconvénients que vous pose ce côtoiement; sinon, sur le fondement de ces "faleurs 2 la répuplik", vous serez l'objet d'une procédure pour incitation à la haine et à la discrimination.
N.B. : ce petit dico désintox sera complété par d'autres entrées (à suivre...).
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samedi 19 mai 2012
Croissance versus Austérité : l'intox hollandiste
François Hollande n'est pas installé depuis une semaine dans ses fonctions que l'intoxication médiatique fonctionne à plein, et efficacement. L'un des "trucs" les plus géniaux de cette campagne consiste à en faire le champion de la croissance contre l' austérité. Je sais bien que l'analyse économique est une discipline complexe qu'il faut simplifier pour qu'elle soit supportable pour le grand public. Mais la ficelle est grosse : qui pourrait être contre la croissance, sinon Yves Cochet (EELV) qui pronait naguère la décroissance, et qui est pour l'austérité ... pour lui-même (pour les autres, ceux qu'on croit pouvoir envier, c'est autre chose) ?
Ce simplisme permet aux médiats de faire trop rapidement de François Hollande, sans rire, le Roosevelt européen. Et, par contraste, la méchante Angela Merkel serait de plus en plus isolée. Georges Sörös n'a-t-il pas appelé à son départ ? Je crois que le péché de Mme Merkel est d'avoir constaté publiquement l'échec des politiques d'intégration des personnes issues des flux migratoires sud-nord, et d'être opposée à l'adhésion de la République de Turquie (qui n'est qu'une partie du monde turc) à l'Union européenne.
La personne, la personnalité de François Hollande, me sont indifférentes. La politique qu'il annonce vouloir mener est dangereuse, néfaste. Son discours patriotard, cocardier aggrave l'ensemble du tableau. C'est malheureusement tellement populaire en ce moment que ça en devient populiste (1).
Tout le monde (sauf peut-être Yves Cochet) est pour la croissance, et personne n'est pour l'austérité pour l'austérité. Le débat porte sur le degré nécessaire d'austérité pour revenir à la croissance.
Ca me rappelle la première moitié des années 1970 au cours desquelles certains prétendaient se mobiliser pour lutter contre la guerre du Vietnam, c'est-à-dire en fait contre la résistance du Sud-Vietnam et des Américains à la guerre menée par les communistes pour contrôler tout le Vietnam. Les adversaires de la guerre du Vietnam, parfois désignés comme partisans de la "paix au Vietnam", étaient tout simplement les alliés des communistes Vietcong dans leur guerre contre Saïgon et les Américains pour gouverner l'ensemble du Vietnam. Mais c'était un coup de génie de présenter leurs activités comme hostiles à la guerre (qui pourrait être pour ?) et pour la paix (qui pourrait être contre ?) (2).
NOTES
(1) à l'adresse des résidents issus des récents flux migratoires sud-nord, François Hollande proclame vouloir que le nom "Français" soit le plus beau que puisse porter un citoyen du monde. Quel c.. !;
il sait faire le fier à bras (comme pour défendre Valérie Massonneau, prétendument visée par des allusions discourtoises) en déclarant que l'accélération du retrait des troupes combattantes d'Afghanistan est une décision relevant de la "souveraineté française"; souveraineté, le mot magique est prononcé, clin d'oeil à ce qu'il peut y avoir de plus bête dans l'opinion publique : la sacralisation de l'Etat-nation.
Dommage que François Hollande n'étende pas sa fermeté aux rapports algéro-français : la souveraineté française n'est-elle pas plus que compromise par les nationalités multiples de tant et tant de petits-fils et arrière petits-fils de fellaghas, citoyens français aux références historiques, à la mémoire spécifiques ?
(2) dans les années 1970, un correspondant aux Etats-Unis de la radio d'Etat France Inter (un des organes de la voix de la France, selon Georges Pompidou) couvrait une manifestation pro-Vietcong ( = pro-communistes vietnamiens, pour "la paix au Vietnam") et relatait les réactions de contre-manifestants, les désignant comme de "jeunes néo-nazis, euh, du moins des partisans de l'intervention militaire américaine au Vietnam".
Ce simplisme permet aux médiats de faire trop rapidement de François Hollande, sans rire, le Roosevelt européen. Et, par contraste, la méchante Angela Merkel serait de plus en plus isolée. Georges Sörös n'a-t-il pas appelé à son départ ? Je crois que le péché de Mme Merkel est d'avoir constaté publiquement l'échec des politiques d'intégration des personnes issues des flux migratoires sud-nord, et d'être opposée à l'adhésion de la République de Turquie (qui n'est qu'une partie du monde turc) à l'Union européenne.
La personne, la personnalité de François Hollande, me sont indifférentes. La politique qu'il annonce vouloir mener est dangereuse, néfaste. Son discours patriotard, cocardier aggrave l'ensemble du tableau. C'est malheureusement tellement populaire en ce moment que ça en devient populiste (1).
Tout le monde (sauf peut-être Yves Cochet) est pour la croissance, et personne n'est pour l'austérité pour l'austérité. Le débat porte sur le degré nécessaire d'austérité pour revenir à la croissance.
Ca me rappelle la première moitié des années 1970 au cours desquelles certains prétendaient se mobiliser pour lutter contre la guerre du Vietnam, c'est-à-dire en fait contre la résistance du Sud-Vietnam et des Américains à la guerre menée par les communistes pour contrôler tout le Vietnam. Les adversaires de la guerre du Vietnam, parfois désignés comme partisans de la "paix au Vietnam", étaient tout simplement les alliés des communistes Vietcong dans leur guerre contre Saïgon et les Américains pour gouverner l'ensemble du Vietnam. Mais c'était un coup de génie de présenter leurs activités comme hostiles à la guerre (qui pourrait être pour ?) et pour la paix (qui pourrait être contre ?) (2).
NOTES
(1) à l'adresse des résidents issus des récents flux migratoires sud-nord, François Hollande proclame vouloir que le nom "Français" soit le plus beau que puisse porter un citoyen du monde. Quel c.. !;
il sait faire le fier à bras (comme pour défendre Valérie Massonneau, prétendument visée par des allusions discourtoises) en déclarant que l'accélération du retrait des troupes combattantes d'Afghanistan est une décision relevant de la "souveraineté française"; souveraineté, le mot magique est prononcé, clin d'oeil à ce qu'il peut y avoir de plus bête dans l'opinion publique : la sacralisation de l'Etat-nation.
Dommage que François Hollande n'étende pas sa fermeté aux rapports algéro-français : la souveraineté française n'est-elle pas plus que compromise par les nationalités multiples de tant et tant de petits-fils et arrière petits-fils de fellaghas, citoyens français aux références historiques, à la mémoire spécifiques ?
(2) dans les années 1970, un correspondant aux Etats-Unis de la radio d'Etat France Inter (un des organes de la voix de la France, selon Georges Pompidou) couvrait une manifestation pro-Vietcong ( = pro-communistes vietnamiens, pour "la paix au Vietnam") et relatait les réactions de contre-manifestants, les désignant comme de "jeunes néo-nazis, euh, du moins des partisans de l'intervention militaire américaine au Vietnam".
Libellés :
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désinformation,
François Hollande,
Georges Sörös,
intoxication médiatique,
mensonge,
Yves Cochet
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