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dimanche 20 décembre 2015

Les bonnes nouvelles des "Régionales 2015"

A l'issue du second tour des élections régionales de décembre 2015 en France, on peut relever trois résultats vraiment encourageants.

La meilleure nouvelle est la victoire des nationalistes corses. 

Les entités aux fortes références identitaires, ethniques, comme la collectivité territoriale de Corse sont mieux à même de défendre l'identité européenne des personnes qui en sont originaires (il ne suffit pas d'y naître pour en faire partie....) que les anciens Etats-nations devenus des Etats plurinationaux comme ce qu'il est convenu d'appeler la République Française. Il n'y a plus, il ne peut plus y avoir d'identité stato-nationale en France puisque, comme le disait naguère Jean-Pierre Chevènement : "Est Français(e) celui ou celle qui a la nationalité française". Sans aucune référence à l'origine ethnique, même largement entendue. Il y a bien sûr l'incantation aux prétendues "valeurs de la République" qui fonctionne comme un mantra hindouïste. Il ne faut pas longtemps pour s'apercevoir que "les valeurs de la République", comme d'ailleurs leurs deux autres soeurs triplées, "les valeurs européennes" et "les valeurs humanistes" sont des références codées en vertu desquelles si vous avez un campement de Rroms au bout de votre terrain, vous n'avez pas le droit de vous exprimer sur les inconvénients de ce voisinage sans risquer des poursuites pour incitation à la haine (mais oui !) et à la discrimination. C'est vite arrivé. Au nom de ces valeurs merdiques, les autorités morales interdisent qu'on puisse envisager de retirer la nationalité française à des djihadistes bi-nationaux auteurs d'actes terroristes : il paraît que ce sont, eux aussi, des "enfants de la République". Vive la Corse dans l'Europe, par la France, ou directement !

La seconde bonne nouvelle est que le rapport entre les gauches et les droites dans les conseils régionaux, qui était en faveur de celles-là depuis de nombreuses années, s'est inversé à l'avantage de celles-ci.

Les gauches ont déjà le pouvoir médiatique (plus de 80% des journalistes ont voté pour François Hollande en 2012), le pouvoir culturel (il n'est que de voir l'attitude des associations sans adhérents, ou presque, quand une municipalité de gauche est remplacée par une autre qui leur mesure, voire leur supprime, les subventions). La perte des pouvoirs régionaux par les amis de la Mère Duflot, de Soeur Taubira, de M. Vauzelle, de M. Gewerc (président sortant de Picardie), de M. Jérôme Guedj etc....va dans le sens d'un rééquilibrage.

La troisième bonne nouvelle est la défaite, en Ile-de-France, de la liste conduite par Claude Bartolone.

Claude Bartolone est entiché de la Diversité, de ceux de ses administrés porteurs de la carte d'El Ekteur. Il cultive une certaine vulgarité dans sa diction. C'est une personnalité très rugueuse, abrasive, qui aurait voulu en découdre avec l'Allemagne au début du quinquennat de F. Hollande, qui exhale sa haine de l'identité européenne de la France. Il a eu l'occasion de l'exprimer en reprochant à sa principale concurrente, Valérie Pécresse, de "défendre la race blanche". C'est malheureusement inexact. Mais en quoi serait-ce illégitime ? Il existe bien un Conseil Représentatif des Associations Noires. Il est légal, este et conteste en justice. Pourquoi "la race blanche", notion dont il faut savoir gré à Claude Bartolone de nous confirmer la pertinence, serait-elle la seule qu'il serait immoral, coupable de défendre ? Claude Bartolone aurait voulu être Premier ministre. Sa défaite du 13 décembre 2015 éloigne cette sombre perspective.

jeudi 10 décembre 2015

Carton rouge à Claude Bartolone

Claude Bartolone, candidat PS à la présidence de la région Ile-de-France vient (9 ou 10/12/2015) d'accuser sa principale concurrente, Valérie Pécresse, de ...... "défendre la race blanche". Claude Bartolone est l'une des figures les plus sectaires et les plus abrasives de son parti et de sa famille politique. Rien à voir avec le président sortant, l'élu rocardien du Val d'Oise J.-P. Huchon. 

On croyait pourtant que les races n'existaient pas, que F. Hollande allait faire réviser la Constitution pour en effacer ce mot qui y figure. On pensait que seuls les attardés du C.R.A.N. (Conseil Représentatif des Associations Noires) croyaient encore à ces notions qui nous rappellent les-heures-les-plus-sombres-de-notre-Histoire. On s'était donc trompé.

 On se souvient de son boycott d'une réception donnée à l'Assemblée Nationale, dont il était déjà le président, pour Steve Briiois, maire FN de Hénin-Beaumont, par une association de journalistes spécialisés dans l'observation des élus locaux. Claude Bartolone, qui aurait pu se faire représenter par un collaborateur peu gradé, a justifié sa muflerie et sa fuite par le "négationnisme" du parti de Steve Briiois, ou quelque chose comme ça qui se réfère au shoacentrisme du président de l'Assemblée Nationale.

On se souvient des attaques de Claude Bartolone contre l'Allemagne, de son souhait de voir se substituer une "confrontation tout court" avec ce pays voisin, ami et allié, à la "confrontation amicale" évoquée par François Hollande. La confrontation en question portait sur le dosage des mesures pour réduire les déficits publics et des mesures pour relancer l'activité économique.

Lorsqu'en 1986, un député FN a reproché au gouvernement Chirac d'avoir oublié les mesures de préférence nationale et européenne pour l'emploi qui figuraient pourtant dans la plateforme RPR-UDF, le jeune député PS Claude Bartolone a interrompu l'orateur par l'exclamation : "Heureusement !".

 L'accusation stupide de Claude Bartolone à l'encontre de sa principale adversaire traduit surtout son infatuation de ce qu'il est convenu d'appeler la Diversité. 

Evoquant les débuts difficiles de son existence devant des journalistes, Claude Bartolone a expliqué qu'il s'en était sorti grâce à la présence d'une famille aimante (jusque là on comprend) et, a-t-il ajouté, surtout, de .... la République. Là, on aimerait un dessin pour pouvoir comprendre. 

Claude Bartolone, ancien fabiussien, se voit selon les journalistes, en Premier ministre. Ce qui n'est guère rassurant vu son sectarisme, encore pire que celui de l'actuel hôte de l'Hôtel de Matignon, Manuel Valls. Vous savez, ce maire d'Evry (Essonne) qui réclamait des "petits blancos" pour donner une impression de pluriethnisme plus large sur une photo de sa ville... 
Valls et Bartolone, mêmes ambitions et ..... même combat.