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samedi 23 février 2019

Hate-News chez Patrick Drahi

i24NEWS en Français fait TRES, TRES FORT.

Pour ce rappel bi-hebdomadaire du devoir de Mémouare shoacentré, la chaîne de M. Patrick Drahi (BFM TV, RMC, TMC, L'Express, SFR etc...) se dépasse.

Elle recycle le faux scoop d'une découverte de pensions versées à des "collaborateurs" aux zeures-les-plus-sombres-de-notre-histoire par l'entité Allemagne depuis les années 1950.


Et elle illustre cette hate-news d'une photo qui rappelle les manifestations du lundi à Leipzig en 1989, contre le régime communiste de l'Allemagne de l'Est : "Wir sind das Volk" = Nous sommes le peuple.






Ce régime était dirigé par un parti dont le dernier avatar, Die Linke, a présenté Madame Beate Klarsfeld comme candidate à la présidence de l'Etat fédéral pas plus tard qu'en mars 2012.

Les pensionnés en question sont des nonagénaires ou centenaires qui ont été condamnés pour faits mineurs de collaboration à la fin des années 1940, subi des préjudices moraux et matériels. La réparation de ces préjudices ne pouvant, politiquement, être assurée par les Etats dont ils étaient ressortissants et qui étaient issus de la victoire du le Reich, la facture a été présentée à l'Allemagne. Tout ceci s'est fait au grand jour il y a 6 décennies et demi.

65 ans plus tard, des esprits klarsfeldisés ont fait semblant de découvrir cette situation pour émouvoir leur public.

L'Allemagne ne paiera plus. La survie matérielle des plus démunis de ces vaincus de la Guerre 39/45, va revenir, par "solidarité nationale" aux Etats dont ils sont ressortissants.

Le contribuable allemand dira-t-il "merci" aux zélotes klarsfeldisés de la Mémouare shoacentrée .

dimanche 16 décembre 2018

Quand les Klarsfeld nous écrivent.....

Quand les Klarsfeld nous écrivent, il y a des coups de pied au derrière qui se perdent.

On notera le soutien de la bande terroriste (1) Klarsfeld à la Macronie : "si les réformes programmées par le président de la République n'étaient pas mises en place avec succès".

Les Klarsfeld, leur discours, leurs actions, leurs campagnes, leurs méthodes ravivent, entretiennent l'antisémitisme (2).



Lettre-provocation de la bande terroriste Klarsfeld aux Européens en général, et aux Français en particulier
N   O   T   E   S :

(1) La bande terroriste Klarsfeld a eu recours à des tentatives d'enlèvement, a encouragé des expéditions "punitives" violentes (notamment à Rostock en 1992), provoqué des actes terroristes (plasticage de la porte de l'Institut Culturel Allemand de l'avenue d'Iéna à Paris pour obtenir la libération de sympathisants, en 1992, suite à l'équipée de Rostock).

(2) Le contenu de ce manifeste provocateur est de nature à réveiller, à développer l'antisémitisme :

les Klarsfeld agitent la perspective d'un exode des Juifs d'Europe si les Goyim ne veulent pas, ou ne parviennent pas, à "intégrer" les populations issues des flux migratoires intercontinentaux sud-nord vers l'Europe. 

Ah oui ? Mais les Juifs en question pourront s'installer en Eretz Israël dont l'Etat a été fondé pour les accueillir. Pas les Goyim, auxquels les Klarsfeld veulent imposer un "vivre ensemble" non désiré. Et si ça ne marche pas, les Juifs s'en iraient, et les Goyim devraient continuer à gérer le face à face avec les protégés des Klarsfeld.

dimanche 22 janvier 2017

Comment je n'ai pas "aimé" l'Abbé Pierre

Henri-Jean Grouès, dit l'Abbé Pierre, est décédé en janvier 2007. 

D. ait son âme !

"[...] mes pensées ne sont pas vos pensées, et mes voies ne sont pas vos voies, déclare l'Eternel. Le ciel est bien plus haut que la terre. De même, mes voies ne sont pas vos voies, et mes pensées bien au-dessus de vos pensées" (Esaïe 55 : 8-9).

L'Abbé Pierre fut une personnalité très populaire. Une des personnalités préférées de la nébuleuse statistique dénommée "les Français".

Il m'a été moralement impossible d'éprouver de la sympathie ou de l'admiration pour ce personnage.





L'Abbé Pierre "neutre" face aux fellaghas ?

Une de ses associations publiait un magazine intitulé "Faim et Soif" et sous-titré "La voix des hommes sans voix". Ma grand mère en était lectrice. L'année de mes onze ans, en vacances d'été chez mes grands parents paternels, je suis tombé sur un exemplaire de cette revue. Un article y relatait l'assassinat en Algérie d'un religieux chrétien par des fellaghas du FLN algérien (1). L'article était ainsi commenté : "Espérons que cette guerre ne va pas devenir une guerre de religions". Le commentaire m'a d'abord surpris, puis déçu et finalement déplu. Il m'a semblé que le rédacteur était neutre. Or, comment être neutre devant un conflit dans lequel j'aurais été impliqué physiquement si j'avais eu dix ans de plus ? 

L'Abbé Pierre pas ami de l'Ecole Libre ?

Plus tard, j'ai appris que le député M.R.P. (2) de Meurthe-et-Moselle Henri-Jean Grouès était, à la différence de la majorité de son groupe, très réservé envers la défense de "la liberté de l'enseignement", c'est-à-dire de l'école libre catholique (libre par rapport à un certain degré de contrôle de l'Etat). Or, j'étais élève de l'enseignement privé, non confessionnel ou confessionnel. Et une partie de ma famille vivait, si on peut dire, du réseau d'enseignement "libre".

L'Abbé Pierre résistantialiste ?

Plus tard encore, j'ai appris que le même député M.R.P. de Meurthe-et-Moselle était plus que réticent envers les mesures d'amnistie proposées par des gouvernements de la IVe République en faveur des personnes n'ayant pas fait le choix des vainqueurs au cours de la Guerre 39/45. Au nom de la Morale...Tu parles ! 

L'Abbé Pierre porte-flingue des lobbies immigrationnistes et "antiracistes" ?

Bien plus tard encore, dans les années 1990, la ligne rouge a été plus que dépassée lorsque j'ai appris que l'Abbé Pierre s'attendait à ce qu'au cours des trente années suivantes le nombre d'immigrés (3) soit multiplié par trois, et qu'il convenait de se préparer à leur accueil. Et quoi encore ?

L'Abbé Pierre, cible des lobbies de la Mémouare shoacentique !

Enfin, au milieu des années 1990, une polémique inattendue m'a rapproché de l'Abbé Pierre. Ce dernier avait cru pouvoir prendre la défense du philosophe Roger Garaudy (4), ancien communiste passé à l'Islam. Roger Garaudy, sympathisant de la cause palestinienne, avait publié un essai sur "Les mythes fondateurs de la politique israélienne" qui causa l'ire, non seulement des amis de l'Etat d'Israël, mais au-delà, des lobbies mémoriels shoacentriques. L'Abbé Pierre fut traîné dans la boue, on commença à mettre en cause ses titres de résistant pendant la Guerre 39/45, on l'accusa de déclarations mensongères. Cette cabale me le rendit un peu sympathique : un homme qui a contre lui la LICRA (5) , Elie Wiesel (6) , la firme Klarsfeld & Co. (7)  ne pouvait être foncièrement mauvais. Le fanatisme et l'outrance des lobbies shoacentriques m'ont rendu l'Abbé Pierre sympathique. Il fallait le faire.


N   O   T   E   S

(1) L'anecdote relatée se situe à l'époque de la Guerre d'Algérie (1954-1962) qui, contrairement à ce qui a été affirmé plus tard, était bien vécu par les contemporains comme une guerre.

(2) M.R.P. : Mouvement Républicain Populaire. Parti de la IVe République et des débuts de la Ve. A cessé ses activités en 1966, lesquelles ont été reprises par le Centre Démocrate (Jean Lecanuet). Le M.R.P. se réclamait de la démocratie chrétienne, défendait "la liberté de l'enseignement", c'est-à-dire dans le langage de l'époque le financement public des écoles privées et notamment de l'enseignement libre catholique. Le M.R.P. prônait une politique d'intégration européenne qui devait aboutir à la foindation d'un Etat fédéral européen. Le M.R.P. détint le portefeuille des Affaires Etrangères dans les gouvernements de la IVe République de 1948 à 1954.

(3) Par immigrés, on entend ici les personnes provenant des flux migratoires intercontinentaux sud-nord vers l'Europe.

(4) Roger Garaudy fut député communiste dans la première Assemblée Constituante d'avant la IVe République, celle qui accoucha d'une Constitution socialo-communiste qui fut rejetée par referendum. Ses engagements m'auraient dissuadé d'acheter un seul de ses livres. Un seul de ses propos des années 1970 m'avait marqué de façon positive et indélébile. Roger Garaudy affirmait qu'au cours du 21 siècle, en cas de victoire universel du socialisme, l'espérance de vie de l'être humain pourrait atteindre 300 ans. Je pensais qu'on pouvait faire l'économie d'un triomphe du socialisme, mais que les progrès annoncés de la médecine me permettraient avec un peu de chance de devenir un petit Mathusalem parmi d'autres. Cette espérance influence mon aversion envers les campagnes de promotion et de banalisation de l'euthanasie sous le couvert du "mourir dans la dignité".

(5) Sur la LICRA, voir :

 http://jeanmarielallau.blogspot.fr/2012/04/en-1983-le-ministre-ps-du-travail-qui.html

(6) Sur Elie Wiesel, voir : 

 http://jeanmarielallau.blogspot.fr/2016/07/un-curieux-prix-nobel-de-la-paix-elie.html

(7) Sur le gang Klarsfeld, voir notamment :

http://jeanmarielallau.blogspot.fr/2015/08/le-bonheur-terroriste.html


  

jeudi 7 juillet 2016

Un curieux Prix Nobel de la Paix : Elie Wiesel (1928-2016)

Elie Wiesel vient de mourir. 

D. ait son âme !

Ce personnage s'était vu un jour  proposer la présidence de l'Etat d'Israël, une fonction plutôt honorifique. Il avait décliné cette proposition en avançant qu'il était un écrivain.

Des livres, il en a écrit. Beaucoup. Il y avait, comme on dit, à boire et à manger, dans son oeuvre. 

S'il se vit décerner en 1964 un Prix Rivarol en France, pour avoir illustré l'universalité de la langue française, le Prix Nobel de Littérature lui échappa.

En 1986, il reçut le Prix Nobel ...... de la Paix.

Elie Wiesel était-il un homme de paix ?

Non. 

Dans un recueil d'entretiens paru en 1968, soit 18 ans avant que le Nobel lui soit décerné, Elie Wiesel tint ces propos :

"Chaque (sic) Juif, quelque part en lui, devrait garder à part une zone de haine (re-sic) - une haine saine, virile (re-re-sic) - pour ce que l'Allemand personnifie, et pour ce qui persiste chez l'Allemand. Agir autrement serait trahir les morts (re-re-re-sic)".

Des exégètes wieselophiles ont tenté d'atténuer l'énormité de ces propos en rappelant notamment qu'ailleurs Elie Wiesel aurait dit : "la haine n'est pas une solution".

Quoi qu'il en soit les propos, non reniés, de 1968, auraient dû écarter Elie Wiesel de la liste des lauréats d'un Prix, Nobel ou autre, de la Paix.

En 1985, Elie Wiesel figurait parmi les convulsionnaires adjurant le président Reagan de ne pas se rendre dans le cimetière militaire de Bitburg, en Allemagne, où sont inhumés, parmi bien d'autres, de jeunes soldats de la Waffen SS. Elie Wiesel se lamentait qu'il n'aurait jamais cru devoir vivre un tel jour. Ronald Reagan se rendait en Europe, et notamment en Allemagne, pour commémorer la fin de la guerre 1939-1945. Elie Wiesel dut se calmer tout seul et Ronald Reagan se rendit à Bitburg malgré les hurlements médiatiques. Il y des moments où il faut savoir, comme on dit, laisser uriner le mérinos, même si celui-ci a pour nom Elie Wiesel.

L'année de son Prix Nobel de la Paix, en compagnie de François Mitterrand, Elie Wiesel se rendit au domicile de la famille de l'Algéro-Français Malik Oussekine, mort accidentellement à Paris en marge de manifestations contre un projet de réforme universitaire. Une occasion de parler de la Shoah.

Ses adversaires le qualifiaient de "marchand de Shoah". Et c'est bien vrai qu'il prêtait le flanc à ce reproche.

En 2000, un colloque consacré à la Shoah se tint à Stockholm, en présence bien entendu d'Elie Wiesel. A cette occasion, ce dernier affirma que quiconque ne reconnaissait pas la centralité (dans quoi ?) de la Shoah ne devrait pas faire de la politique.

On n'est jamais trahi que par les siens : Elie Wiesel et sa nébuleuse de fonds, de fondations etc.... avaient placé une bonne partie de leur argent auprès du financier imprudent Bernard Madoff. Autant en emporte le vent.....et les spéculations.



jeudi 10 décembre 2015

Carton rouge à Claude Bartolone

Claude Bartolone, candidat PS à la présidence de la région Ile-de-France vient (9 ou 10/12/2015) d'accuser sa principale concurrente, Valérie Pécresse, de ...... "défendre la race blanche". Claude Bartolone est l'une des figures les plus sectaires et les plus abrasives de son parti et de sa famille politique. Rien à voir avec le président sortant, l'élu rocardien du Val d'Oise J.-P. Huchon. 

On croyait pourtant que les races n'existaient pas, que F. Hollande allait faire réviser la Constitution pour en effacer ce mot qui y figure. On pensait que seuls les attardés du C.R.A.N. (Conseil Représentatif des Associations Noires) croyaient encore à ces notions qui nous rappellent les-heures-les-plus-sombres-de-notre-Histoire. On s'était donc trompé.

 On se souvient de son boycott d'une réception donnée à l'Assemblée Nationale, dont il était déjà le président, pour Steve Briiois, maire FN de Hénin-Beaumont, par une association de journalistes spécialisés dans l'observation des élus locaux. Claude Bartolone, qui aurait pu se faire représenter par un collaborateur peu gradé, a justifié sa muflerie et sa fuite par le "négationnisme" du parti de Steve Briiois, ou quelque chose comme ça qui se réfère au shoacentrisme du président de l'Assemblée Nationale.

On se souvient des attaques de Claude Bartolone contre l'Allemagne, de son souhait de voir se substituer une "confrontation tout court" avec ce pays voisin, ami et allié, à la "confrontation amicale" évoquée par François Hollande. La confrontation en question portait sur le dosage des mesures pour réduire les déficits publics et des mesures pour relancer l'activité économique.

Lorsqu'en 1986, un député FN a reproché au gouvernement Chirac d'avoir oublié les mesures de préférence nationale et européenne pour l'emploi qui figuraient pourtant dans la plateforme RPR-UDF, le jeune député PS Claude Bartolone a interrompu l'orateur par l'exclamation : "Heureusement !".

 L'accusation stupide de Claude Bartolone à l'encontre de sa principale adversaire traduit surtout son infatuation de ce qu'il est convenu d'appeler la Diversité. 

Evoquant les débuts difficiles de son existence devant des journalistes, Claude Bartolone a expliqué qu'il s'en était sorti grâce à la présence d'une famille aimante (jusque là on comprend) et, a-t-il ajouté, surtout, de .... la République. Là, on aimerait un dessin pour pouvoir comprendre. 

Claude Bartolone, ancien fabiussien, se voit selon les journalistes, en Premier ministre. Ce qui n'est guère rassurant vu son sectarisme, encore pire que celui de l'actuel hôte de l'Hôtel de Matignon, Manuel Valls. Vous savez, ce maire d'Evry (Essonne) qui réclamait des "petits blancos" pour donner une impression de pluriethnisme plus large sur une photo de sa ville... 
Valls et Bartolone, mêmes ambitions et ..... même combat.

dimanche 25 janvier 2015

Janvier 2005 : Katzav franchit le mur du çon

"Lorsque je foule le sol de l'Europe, je suis pris d'effroi et de tremblements à l'idée que je pourrais marcher sur les cendres des victimes de la Shoah qui seraient mêlées à cette terreje suis terrorisé à la pensée que les fleuves d'Europe puissent être mélangées au sang des victimes" (Moshe Katzav, président de l'Etat d'Israël, Auschwitz, 2005).

Le rappel de cette citation d'halluciné constituera notre contribution au septantième anniversaire de l'arrivée des troupes des vainqueurs de la Seconde Guerre Mondiale dans les camps établis par le Reich vaincu sur son territoire et à l'est de ses frontières. Moshe Katzav a franchi le mur du çon. Il y a dix ans de cela. Ce sont des propos de dément. L'origine persane de l'ancien président de l'Etat d'Israël peut-elle expliquer son ..... lyrisme ? 

En dehors de tout lyrisme, je connais au moins un cours d'eau dont les eaux ont été notoirement mélangées aux restes de victimes de la Seconde Guerre Mondiale. Après la "libération" des Pays-Bas et le départ des troupes allemandes, des "libérateurs" ont forcé des femmes qui venaient d'accoucher de bébés nés de leurs relations intimes avec des soldats allemands à monter dans un train. Lorsque ce train a franchi un pont sur le cours d'eau, on les a obligées à y jeter leurs bébés. Jamais ces criminels n'ont été poursuivis pour torture, crime contre l'humanité (noyade de bébés à raison de leur origine ethnique allemande), infanticide. C'est normal : ils étaient dans le camp des vainqueurs.

Moshe Katzav aurait dû se faire soigner......par Gérard Miller. Et pas seulement pour ses fantasmes shoacentrés, mais peut-être aussi pour sa sexualité : Moshe Katzav a dû démissionner en raison d'accusations, vraies ou fausses c'est une autre question, portées à son encontre par des collaboratrices de ses propres services, relayées par la presse israélienne, concernant le harcélement sexuel dont elles étaient l'objet de sa part. Comme quoi Israël est quand même un état de droit où un chef de l'Etat peut être contraint à la démission en raison d'une conduite délictueuse.

Mais il faudra bien un jour abolir toutes les lois mémorielles qui sont des lois anti-blasphème. Ces lois criminalisent l'expression publique de l'incroyance en la version officielle (celle des vainqueurs) de certaines pages d'Histoire, fut-ce sous la forme d'un doute, assimilé à une négation. Et cette négation est considérée comme un blasphème, une offense à la mémoire de certaines victimes de ces évènements.

A quand une version européenne du Premier Amendement à la constitution U.S. ?

samedi 16 août 2014

Arte : un canal de mierda

Cet article est dédié à William Irigoyen, journaliste d'Arte
et enfant d'Euzkadi à la sensibilité olfacto-politique très
affinée (1), et à l'engagement sans failles en faveur de
l'hyper-correction politique et historique (2).



L'édition en français de 19h45 d'Arte Journal est présentée
le jeudi 19 juin MMXIV par Leïla Kaddour Boudadi; cette
présentatrice d'Arte , diplômée de Lettres Classiques s'est
illustrée en traitant Silvio Berlusconi de "Néron de l'Italie
moderne" (sic). C'est ce qui s'appelle avoir un transport
d'histoire romaine au cerveau. Un transport haineux.
Un homme d'Etat dont Arte fait un de ses Grands Satans
ne peut pas être mauvais.




Mais le grand évènement de la journée est l'accession au
trone d'Espagne du roi Felipe VI de Borbon y Borbon.
Arte Journal le couvre à sa façon : très engagée en faveur
des héritiers des Rouges de la Guerre Civile espagnole de
1936-1939. Les directeurs de conscience d'Arte n'ont pas
digéré le compromis passé après la disparition de Franco
entre les vainqueurs et les vaincus de 1939. Pour Arte,
il y a toujours des bons et des mauvais. Les mauvais
sont les franquistes et ceux à qui la victoire franquiste
de 1939 a permis, même à des décennies de distance,
de prendre la place des Rouges. Les Rouges sont les
bons, même terroristes, même auteurs d'exactions
et de provocations : ne sont-ils pas historiquement dans
le même camp que la coalition anti-hitlérienne de 1933-
1945 ? Pour Arte, c'est le critère déterminant. Arte, c'est
la chaîne de la Mémouare, la chaîne du shoacentrisme.
C'est une chaîne qui n'a de franco-allemand que le
financement, mais dont le coeur est ailleurs, notamment
à Yad Vashem.


Arte Journal marque l'intronisation de Felipe VI en nous
promenant dans Madrid pour nous y présenter des
adversaires de la monarchie, des héritiers des Rouges de
la Guerra Civil 1936-1939. Certains exigent que l'électorat
soit consulté par referendum pour rétablir une République.
D'autres exhalent leur haine recuite des non-républicains.

Arte Journal donne ainsi la parole à un républicain de......
103 ans, ancien combattant de la Guerra Civil qui exhibe
devant les caméras d'Arte ses varices pour essayer de
nous montrer la malfaisance des franquistes qui l'auraient
blessé à une jambe. Les méchants ! Chacun sait que les
frères d'armes de ce centenaire (j'ai l'impression que la
méchanceté conserve, et est un facteur de longévité) qui
déterraient les corps des religieuses dans les cimetières
à Barcelone étaient des non-violents incapables de faire
du mal à une mouche.....

Puis Arte Journal donne la parole à un Rouge un peu
plus jeune, un "républicain" qui accuse l'ancien roi
Juan Carlos Ier de s'être "enrichi" personnellement
lors de voyages à l'étranger payés par le contribuable
espagnol. Ce bonhomme porte une accusation absurde
née de son imagination et nourrie par le ressentiment.
Tous les chefs d'Etat, F. Hollande en tête, voyagent à
l'étranger accompagnés de missions économiques
dont le but est de conclure des contrats, de prendre
des commandes en faveur de l'économie du pays
qu'ils représentent. C'est ce qu'a fait Juan Carlos Ier.
Ce que font tous les chefs d'Etat. L'accusation ne
tient pas debout, mais Arte Journal laisse le dernier
mot à ce quidam, sans remise en contexte, sans
contestation.

Ayant satisfait à son "devoir de mémoire" indirectement
nourri par le shoacentrisme de ses directeurs de
conscience, Arte Journal nous emmène plus au Nord,
à Calais. Là, Arte Journal va pouvoir satisfaire à une
autre de ses obsessions : la défense de l'immigration
intercontinentale sud-nord vers l'Europe et la
diabolisation, au nom de l'antiracisme, de toute
attitude de résistance à cette immigration.

Ce jour-là, Arte Journal essaye de nous démontrer
qu'il est non seulement immoral, mais encore inutile
de déplacer les immigrés qui nous font le cadeau de
vouloir vivre parmi nous : ils reviennent toujours,
soutenus par un essaim d'associations et d'activistes
qui veulent imposer leur présence et les coûts
matériels et moraux (3) de leur intégration à tous, à vous,
à moi. Arte Journal ne donne la parole qu'aux militants
associatifs qui tiennent à aider, à retenir les résidents
illégaux en-quête-d'-une-vie-meilleure et dont nous
aurions....besoin. Ces militants des lobbies migratoires
sont généreux avec ce qui n'est pas qu'à eux, donc pas
à eux. Il n'est pas question pour Arte Journal de donner
la parole aux Calaisiens exaspérés de vivre en territoire
occupé par les protégés de la CIMADE, et d'autres
associations malfaisantes. Ce serait "libérer une parole
de haine" (sic). Les directeurs de conscience d'Arte
Journal ne pourraient le supporter.
 
NOTES

(1) William Irigoyen peut bien porter un nom basque,
son odorat a l'acuité, appliquée à la politique, d'un
nez grassois : il a ainsi qualifié de "nauséabonds" :
l'appel du cardinal Glemp à ses "chers frères juifs" à
cesser d'attiser la querelle du Carmel d'Auschwitz;
l'affirmation de Joe Biden, concurrent d'Obama à la
primaire démocrate de 2008, et futur co-listier de ce
dernier, selon laquelle sa mélanodermie (=peau noire)
était le seul atout, médiatiquement exploité, d'Obama;


(2) en 2004, couvrant les commémorations de ce
qu'a été en août 1944 la prétendue "libération de
Paris" (sic), boucherie militairement inutile à
l'initiative des bandes de Rol-Tanguy et de ses
acolytes, William Irigoyen avance que les combats
ont fait....environ 400 morts. C'est-à-dire que sont
deshumanisés les plus de 3 000 morts et blessés,
dont certains intransportables, du côté allemand.
La prétendue "libération de Paris" de 1944, c'est
d'abord celle d'une rage germanochtone;


(3) lors de la crise sociale de l'hiver 2009 aux Antilles
et plus particulièrement en Guadeloupe, un porte-
parole des agitateurs en France d'Europe, un
médecin guadeloupéen de l'Hôpital Necker expliquait
ainsi la crise : vous nous avez mis en esclavage, vous
nous avez affranchis en 1848, mais....vous en êtes
restés là (sic). Autrement dit, on n'en a jamais fini avec
l'intégration de personnes issues de groupes
tels que les victimes de l'esclavage, les immigrés
illégaux. Bien des générations plus tard, leurs
descendants n'hésiteront pas à réclamer aux vôtres
"encore un effort" pour "réparer" une injustice réelle
ou fantasmée, désignée comme l'origine de leurs
difficultés. Les descendants des immigrés illégaux
d'aujourd'hui ne seront pas gênés de prétendre que
l'intégration de leurs ancêtres en Europe a été baclée
et imparfaite, et qu'ils ont droit à des réparations,
encore et encore. C'est ce que je désigne comme
le coût moral des flux migratoires. Qui pésera sur
les descendants de ceux qui ont vu accueillir leurs
ancêtres et n'ont pas pu s'opposer à cette
colonisation de peuplement.

 

lundi 10 septembre 2012

Jean Lebrun versus Fernandel

L'émission La Marche de l'Histoire sur France Inter, actuellement diffusée de 13h30 à 14h et animée par l'agrégé d'Histoire Jean Lebrun, est pour celui-ci une tribune lui permettant de régler quelques comptes dans une perspective shoacentrique.

Quelques jours avant de consacrer une émission au "juste" Raoul Wallenberg, La Marche de l'Histoire s'intéresse au comédien et chanteur Fernandel (1903-1971). Le taliban radiophonique de la Mémouare reproche à Fernandel d'avoir continué à travailler pendant la Seconde Guerre Mondiale, d'avoir prêté sa voix à une publicité pour une manifestation du Secours National à Paris, au Gaumont Palace et...., mais oui, d'avoir eu un collègue juif qui, lui, a été déporté. Jean Lebrun exprime son engagement politico-idéologique et exhale son fanatisme en déclarant : "Il ne s'agit pas de s'ériger en justicier (ouf, je respire...), mais de ne pas être amnésique non plus". On aurait pu s'attendre à ce que ce soit éventuellement l'invité de Jean Lebrun qui porte un jugement sur Fernandel, mais non l'animateur de l'émission qui s'en sert comme d'une tribune.

Dans le cours de l'émission, on a rappelé la collaboration de Fernandel dans les années 1930 au journal communiste Ce Soir. Je suis content qu'il n'ait pas collaboré à L'Humanité : j'aurais été attristé que son nom soit lié à un journal qui, en août 1944, appelait à l'assassinat : "A chacun son Boche", "Aucun Boche ne doit sortir vivant de Paris". Je suis le conseil de Jean Lebrun de me garder de l'amnésie, et n'oublierai pas comment il a mésusé de son émission. Je le remercie de m'avoir conduit à aimer encore plus Fernandel qu'auparavant et d'avoir plus encore en aversion la petite cantate "Que ma Shoah demeure".

Voir aussi : http://jeanmarielallau.blogspot.fr/2011/02/arte-desinfo-les-obsessions-de-la.html

vendredi 25 février 2011

Arte Desinfo : le "pire" selon Arte (Des)Info

                                               
                                   AVERTISSEMENT
Ce message est rédigé et envoyé depuis le territoire de ce qu'il
convenu d'appeler la république française sur lequel s'applique la loi
90-615 du 13 juillet 1990, dite loi Fabius-Rocard-Gayssot, qui a
supprimé la liberté de recherche historique, fortement restreint les
libertés d'opinion et d'expression, suscité une Milice Zélote de la
Pensée qui interdit toute revisitation de certains aspects de la
guerre 5700 – 5705 du calendrier hébaïque. L'auteur du message est
soumis malgré lui aux contraintes posées par cette loi à l'abolition
de laquelle il a à coeur d'apporter sa pierre.
-----------------------------------------------------------------------
Le problème avec la chaîne Arte, qui n'a de franco-allemand que le
financement, mais dont l'inspiration vient d'ailleurs, c'est que la
productivité de l'émission Arte (Des)Info en matière de deconantum,
de mésinformation et de désinformation, est telle qu'il est difficile
de suivre jour après jour. On est obligé de trier et de se limiter aux
 cas les plus graves ou les plus significatifs.

Arte (Des)Info a ses chouchous : les partis politiques qu'elle désigne
par leur nom, par le nom qu'ils se sont donnés (les autres sont
désignés par une étiquette qu'Arte choisit dans le champ lexical de la
science politique : « conservateur », « ultra-conservateur » etc...,
ou pire...).


Arte (Des)Info a ses "satans" : Silvio Berlusconi, George W.
Bush, et Benoît XVI pourrait rapidement rejoindre ce club très sélect.
En cause, son projet de lever l'excommunication portée contre prélats
catholiques qui s'étaient séparés de la ligne du Vatican entre 1976 et
1988, et notamment des évêques sacrés par Mgr Marcel Lefebvre. Arte
(Des)Info, qui n'est pourtant pas une chaîne confessionnelle en veut à
ces gens : il paraît qu'ils sont « fanatiques » (en matière de
fanatisme, Arte peut donner des leçons), refusent la messe en langue
vernaculaire (FAUX : l'abbé Ducaud-Bourget disait qu'il accepterait la
messe tridentine traduite en français, mais refuserait celle de Paul
VI en latin, l'important étant le contenu, non la langue), la liberté
religieuse (mais Arte est contre la liberté de croire à la Création
selon la Genèse et de ne pas croire à la Shoah selon les Klarsfeld,
d'ouverture au monde" voulue par Vatican II.

Le samedi 24 janvier 2009, l'emploi d'un adverbe sur Arte (Des)Info
trahit les priorités et les obsessions de la chaîne à financement
franco-allemand : « pire ».

Après avoir énuméré tout ce qui peut être infâme à ses yeux chez les
catholiques de tradition auxquels Benoît XVI tend la main après plus
de 20 ans d'éloignement, Arte (Des)Info termine ainsi son sujet :
« Pire (sic), l'un d'eux, Mgr Williamson nie l'existence des chambres
à gaz » homicides pendant la guerre 5699 – 5705 du calendrier juif.
C'est là un mensonge : Mgr Williamson ne nie rien; il a simplement dit
qu' il ne croyait pas que les Nationaux-Socialistes ait utilisé les
chambres à gaz à des fins homicides.

Pour Arte (Des)Info, le positionnement théologique de Mgr Williamson
importe moins que l'expression publique de son incroyance sur un sujet
profane. Mgr Williamson est en état de péché contre le shoacentrisme
et le culte yad-vashémite. Arte (Des)Info le place en enfer. C'est à
mon avis un honneur que d'être détesté par les directeurs de
conscience d'Arte. On est en bonne compagnie.

jeudi 24 février 2011

In Memoriam : Charles Trénet (1913-2001) et les obsessions d'Arte

Les médiats ont évoqué durant le mois de février l'anniversaire de la disparition de Charles Trénet (1913-2001), auteur de chansons, compositeur de musique et interprète de la chanson.

Cette évocation m'a remis en mémoire la couverture de l'évènement par Arte (Des)Info le 19 ou le 20 février 2001.

Faisant semblant d'interroger des passants, des quidams, sur leur réaction à la nouvelle de la disparition de l'auteur-compositeur-interprète, Arte (Des)Info tombe tout de suite sur une dame un peu corpulente, plus très jeune, qui déclare : "C'est un grand artiste, mais c'est un collabo". Quelle "autocensuré" ! Peut-être même a-t-elle dit : c'était un grand artiste (à l'imparfait, puisqu'il vient de disparaître), mais c'est un collabo (au présent, puisque l'opprobre qui s'attache à cette qualité doit être permanente, par delà la mort).

Manifestement, cette prétendue passante a été sélectionnée par la c'Haine encultureuse.

En somme, il n'a pas suffi à Charles Trénet de se commettre pour Jack Lang en composant en 1989 une chanson de campagne sur l'air de "La Mer" : "Le maire, le maire de Blois, sera Jack Lang je crois", voire de permettre à un groupe Beur d'ânnoner "Douce France" avec l'accent arabe et une mimique agressive dans une manifestation parainnée par l'officine S.O.S. Racisme. Non, rien de tout ça n'a pu dédouaner Charles Trénet d'avoir chanté devant un public de civils français et de soldats allemands pendant la Deuxième Guerre Mondiale. Pour Arte, c'est le péché irrémissible, indélébile.

Arte, c'est la c'Haine du shoacentrisme : le principal évènement du 20ème siècle est la guerre de 5699-5705 du calendrier hébraïque et le principal détail (au sens pictural) du tableau de cette guerre est ce qu'il est convenu d'appeler la Shoah. Encore quelques dizaines de secondes, et je m'attendais à entendre la dame interrogée par Arte (Des)Info déclarer qu'elle avait perdu touts les siens dans "l'Holocauste", même si elle était née trois ans après le fin de la guerre, accédant ainsi à une sorte de nouvelle noblesse.

J'aimais bien Charles Trénet. Il me rappelait l'âge d'or de la radio, l'époque où l'ancêtre de Télérama (un autre vecteur de la conception shoacentrique), Radio-Télé-Ciné ou quelque chose comme ça, comptait un certain abbé François Tagliani parmi ses collaborateurs. On écoutait Radio Luxembourg presque toute la journée. La guerre était chronologiquement plus proche qu'elle ne l'est maintenant, mais ce qu'il est convenu d'appeler la Shoah n'en était pas le principal aspect. On mettait en doute la sagesse des vainqueurs occidentaux de s'être compromis avec le communisme et l'URSS qui était devenue notre ennemie, elle et ses satellites.

Voir aussi : http://jeanmarielallau.blogspot.fr/2012/09/jean-lebrun-versus-fernandel.html

samedi 19 février 2011

Arte Desinfo : carton jaune à William Irigoyen

Arte Info a été remplacé par Arte Journal, présenté par les mêmes,
à d'autres heures. Voici ce qu'on pouvait dire d'Arte (Des)Info en
2009 :

Le présentateur de l'édition vespérale d'Arte (Des)Info une semaine
sur deux, William Irigoyen, a la mauvaise habitude, pour un
présentateur d'une chaîne prétendument franco-allemande, de se situer
d'un point de vue stato-national : il dit "nos voisins", "notre
voisine" pour se référer aux résidents de l'Allemagne et à l'espace
géographique qui porte ce nom. Ce travers ne se retrouve pas chez
l'autre présentateur de l'édition du soir Jürgen Biehle.
Ce travers de langage est une broutille en comparaison de l'engagement
politique de la chaîne : shoacentrisme, immigrolâtrie, culpabilisation
des Européens, promotion des gauches sociétales et dévalorisation
 ou diabolisation de leurs adversaires, qui s'exprime par la voix des
présentateurs d'Arte (Des)Info au premier rang desquels William
Irigoyen.

vendredi 18 février 2011

Arte Desinfo : Lindon l'histrion

                                 AVERTISSEMENT

 Ce message est rédigé et envoyé depuis le territoire de ce qu'il
convenu d'appeler la république française sur lequel s'applique
 la loi 90-615 du 13 juillet 1990, dite loi Fabius-Rocard-Gayssot,
 qui a supprimé la liberté de recherche historique, fortement restreint
 les libertés d'opinion et d'expression, suscité une Milice Zélote de la
Pensée qui interdit toute revisitation de certains aspects de la
guerre 5699 – 5705 du calendrier hébraïque. L'auteur du message est
soumis malgré lui aux contraintes posées par cette loi à l'abolition
de laquelle il a à coeur d'apporter sa pierre.
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Février 2009

Sur Arte (Des)Info, la parole était donnée à un histrion nommé
 Lindon, de la race des signeurs de pétitions (est-il apparenté au sinistre
éditeur des Editions de Minuit ?). Lindon a fait un film qui met en scène un
"jeune Kurde", sa dulcinée qui a franchi la Manche, un type qui
apprend la natation au "jeune Kurde", et apporte une aide au séjour
irrégulier de l'intéressé dans ce qu'il est convenu d'appeler la
république vrôôônsaise.


Cette apologie des lobbies immigrationniste "représente" (sic)
la Vrôôônce à un festival cinématographique qui s'est tenu
à Berlin en février 2009.


Et Lindon d'exprimer son "indignation" : aujourd'hui, en
Vrôôônce, on peut être poursuivi pour avoir caché, ou aidé
au séjour irrégulier d'un clandestin, c'est-à-dire de quelqu'un
qui s'est introduit et se maintient par la force sur le territoire
du pays. Et notre histrion de comparer audacieusement
cette situation à celle des premières années du 58ème
siècle du calendrier hébraïque : la non assistance en
5702 ou 5703 de ce calendrier, à un "Juif" qui risquait
d'atterrir à Drancy.


Un clandestion aidé, Monsieur Lindon, une personne
dont on permet la prolongation du séjour irrégulier
(jusqu'à ce qu'elle soit régularisée), ou dont on
entrave le refoulement, empêche l'expulsion,
c'est une personne qu'on aura ensuite, le prétendu
"devoir" d'intégrer
.


Sans papier aujourd'hui,
Régularisé demain,
C'est le voisin qu'on vous imposera après-demain
.


M. Lindon et ses amis sont généreux avec ce qui n'est pas
à eux
: la politique d'intégration, tout le monde la paie :
par les impôts, par une moindre part du marché de
l'emploi et de l'habitat qu'il faut se partager entre
autochtones et personnes issues de flux migratoires
plus anciens etc...

 
Les Kurdes sans papiers chez Lindon !

mercredi 16 février 2011

Arte Desinfo : déception sarde pour la c'haine culturelle (février 2009)

La "chaîne de la Diversité" à financement franco-allemand s'est
notoirement intéressée à ce qu'on appelle les élections
administratives en Sardaigne. La présidence de cette région était
assurée par les amis politiques des directeurs de conscience de la
"chaîne de la Diversité". Arte (Des)Info exprimait son espoir qu'une
reconduction du co-fondateur de Tiscali, candidat de la gôche,
permettrait à celui-ci de s'imposer en rival dangereux pour Silvio
Berlusconi qui est un des "satans" d' Arte.


La "chaîne de la Diversité" hait Silvio Berlusconi qui a commis aux
yeux de ses directeurs de conscience deux péchés irrémissibles :


1) avoir, 51 ans après la chute du fascisme, sorti de la léproserie
    politique dans laquelle il était confiné depuis 1946 par les
    fusilleurs de 1943 à 1945 le parti qui se reconnaissait dans le
    refus de l'armistice conclu en 1943 entre le Maréchal Badoglio et
    les futurs vainqueurs de la guerre; ce parti a fait du chemin depuis
    lors : son animateur Gianfranco Fini (pour moi, Gianfranco, c'est
    fini !) est allé faire, kippa vissée sur la tête, allégeance au Mémorial
    hiérosolomitain de Yad Vashem;

2) gouverner avec la Lega Nord, le parti européen qui refuse
    la colonisation de peuplement de l'Europe par ses anciennes
    colonies et le "sud" du monde en général.
    en général.


A ces deux péchés mortels selon Arte s'ajoutent d'autres crimes : la
majorité de centre-droit est opposée à la légalisation de l'euthanasie
et au mariage proprement dit entre personnes du
même sexe, cause pour laquelle s'est croisé un des présentateurs
masculins d' Arte Culture.

Ce sont des questions controversées, mais les choix du gouvernement
Berlusconi n'empêchent pas, que je sache, deux personnes de même sexe
de vivre en couple, et les dérives possibles d'une légalisation de
l'euthanasie ne sont pas pris en compte par la "chaîne de la
Diversité" qui ignore la diversité des points de vue sur ce qui touche
à ses dogmes : shoacentrisme, primat du culte yad-vashémite,
xénolâtrie, racisme anti-leucoderme, repentance européenne etc...
Les partis de la majorité de Silvio Berlusconi ont gagné la présidence
de la Sardaigne. Arte est déçue. C'est bon signe.

 W Sardegna !

lundi 14 février 2011

Loi Fabius-Rocard-Gayssot : 247 mois d'infamie

Le Journal Officiel de ce qu'il est convenu d'appeler la république vrôôônsaise, dans son édition Lois & Décrets datée du 14 juillet 1990, publiait la loi 90-615 du 13 juillet 1990, dite loi Fabius-Rocard-Gayssot, ou plus simplement et par commodité mais injustement loi Gayssot.

Cette loi extraordinaire a supprimé la liberté de recherche historique sur le territoire de ce qu'il est convenu la Vrôôônse, y a considérablement restreint la liberté d'expression, a institué une milice zélote de la Pensée, et fait des petits en dehors des frontières de cet infortuné pays : loi Eerdekens Mayeur qui sévit dans l'Etat belge, un article du Code Pénal suisse, autres lois mémorielles etc...

Rappelons que cette loi criminalise l'expression publique de l'incroyance en la version officielle des crimes contre l'humanité attribués par les vainqueurs de la Seconde Guerre Mondiale aux vaincus.

Cette loi proposée par le député communiste Gayssot, avec la complicité du président de l'Assemblée Fabius et du Premier ministre Rocard a établi des interdictions professionnelles dans les faits, et sert de test au papier tournesol à certains politologues militants pour définir les limites de la correction politique : un dénommé  J.-Y.  Camus fait de la dénonciation de la loi Fabius-Rocard-Gayssot comme liberticide un critère d'extrémisme idéologique. C'est le monde à l'envers !

dimanche 13 février 2011

A four-letter answer to Serge K. and his like-minded

"De nous, s'il reste le mot "merde", ce sera déjà beau" (Louis-Ferdinand Céline) 


The gang led by Serge K. has issued a fatwa ordering state agencies not to commemorate the death of L.-F. Céline half a century ago; I never read any full book from Céline. But I  live in a world and at a time in which Serge K., his family and his like-minded are enough powerful or influential to tell who we are allowed to pay tribute to as an artist, and who we are not, and this arrogance must meet some measure of resistance. To teach them a lesson, I subscribe for one year to Le Bulletin Célinien (forty-eight euros). To upset Serge K., his family, his gang and his like-minded for just forty-eight euros is a bargain .








http://louisferdinandceline.free.fr/bulletin/bulletin.htm