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vendredi 21 mars 2014

Merdiapart

Edwy Plenel (°1952) et son collaborateur Fabrice Arfi (°1981) sont à l'honneur : leur site d'information en ligne, Mediapart, est encensé par certains confrères et surtout les zautorités morales pour son acharnement dans ses campagnes ciblant un ancien président de la république après un ancien ministre du budget.

Mais qui est Edwy Plenel ?

Le fils d'un ancien vice-recteur des Antilles qui fut limogé dans les années 1960 pour son appui à la cause de certains intellectuels et activistes de la cause d'Afro-Antillais. Il en est rest(é à son fils une hyper-sensibilité à tout ce qui touche au prétendu racisme.....dès lors qu'il serait le fait d'Européens.

Edwy Plenel est aussi un ancien (?) trotskyste fidèle à ses amitiés dans cette famille et non guéri de ses méthodes. Edwy Plenel était journaliste au quotidien Le Monde en 1997. Le Salon du Livre du mois de mars de cette année-là accueillait de nombreux éditeurs, dont l'éditeur de National Hebdo, périodique aujourd'hui disparu, et qui passait pour être un des médiats du Front National. Le Monde, à la direction duquel appartenait Edwy Plenel, émit en première page une fatwa en forme de billet éditorial, dénonçant la présence de "l'extrêêêêêêême-droite" au Salon du Livre. Brrr....de quoi donner la chair de poule aux directeurs de conscience d'Arte TV. Las, les organisateurs du Salon du Livre n'obtempérèrent pas assez vite à l'exigence du Monde. C'est alors qu'intervint le romancier-émeutier dénommé Didier Daeninckx qui exécuta la fatwa du Monde. Daeninckx et une escouade de gros bras se rendirent au Salon du Livre où ils saccagèrent le stand de l'éditeur incriminé et y mirent le feu. Quelqu'un n'aurait-il pas pu leur rappeler que quand on commence à brûler des livres, on finit par brûler des gens ? (voir le film de François Truffaut : Fahrenheit 451). Je n'ai rien entendu de tel. "Mieux", si on peut dire....les organisateurs du Salon et les éditeurs durent s'engager à ne plus accueillir à l'avenir de maisons d'édition qui déplairaient au Monde, aux amis de Monsieur Plenel et aux zautorités morales auto-proclamées.

Edwy Plenel, c'était, et c'est encore un chroniqueur de France Culture, radio du service public, où on lui a offert une tribune hebdomadaire du nom de "Lignes de fuite" (sic). De cette tribune, Edwy Plenel ne craignait pas de dénoncer la main-mise (sic) du pouvoir sur les médiats (alors que "le pouvoir", par direction de radio interposée, lui avait offert cette tribune), de se livrer à des appels à la censure, de prononcer des oraisons funèbres en l'honneur de ses anciens (?) amis et camarades trotskystes.

Edwy Plenel utilisa notamment sa chronique "Lignes de fuite" pour dénoncer la publication "chez un grand éditeur", "dans une grande collection" d'un essai dont il ne donna ni l'auteur ni le titre, pour ne pas leur faire de publicité. "Que nous est-il arrivé ? Mais que nous est-il donc arrivé pour que nous ne réagissions pas et laissions publier de tels écrits ?" s'emportait Edwy Plenel, la gorge serrée et la voix tremblante d'indignation, au micro de France Culture. Appel à la mise au pilon voire à l'autodafé du livre incriminé ? En tout cas, à la mise à l'index, voire à la censure. De quoi s'agissait-il ? D'un livre d'un polygraphe nommé Richard Millet, publié chez Gallimard, dans je ne sais quelle collection. Dans quelques lignes de cet ouvrage, Richard Millet évoquait son expérience d'usager du R.E.R. francilien et constatait simplement qu'à certaines heures, il pouvait avoir le sentiment d'y être le seul Européen. Simple constat que nous avons tous pu faire. Mais pour l'ancien (?) trotskyste Edwy Plenel l'expression publique d'un tel constat ouvre la voie à la stigmatisation de certaines populations qui ont sa préférence. En somme, selon Plenel, pour ne pas inciter à la discrimination, voire à la stigmatisation, ou à la haine envers certaines populations, il conviendrait de s'auto-censurer et de ne pas remarquer leur présence croissante ....sauf bien sûr si c'est pour s'en féliciter. Et le Révérend Père Plenel de tonner de sa voix de prédicateur contre le retard de l'intelligentsia à dénoncer cette...absence d'auto-censure chez un essayiste, son éditeur, son directeur de collection et le public en général : "Que nous est-il arrivé ?".

Mediapart et Edwy Plenel sont les promoteurs d'un journalisme de délation, d'appels à la censure et au lynchâge médiatique.

Edwy Plenel et Fabrice Arfi ne sont ni des chevaliers blancs du journalisme, ni des héros. Ce sont des délateurs, et dans le cas de Plenel, un censeur fanatique aux dangereuses méthodes.

mardi 2 avril 2013

Cahuzac : Non à Robesplenel Edwy !

Edwy Plenel (°1952) est à l'honneur : son site d'information de m.... en ligne, Mediapart, est encensé par les confrères et les zautorités morales pour son acharnement dans des campagnes visant un ancien président de la rép' et un ancien ministre du budget.

 Mais qui est Edwy Plenel ?

Le fils d'un ancien vice-recteur des Antilles qui fut limogé dans les années 1960 pour son appui à certains intellectuels et activistes de la cause d'Afro-antillais. Il en est resté à son fils une hyper-sensibilité à tout ce qui touche au prétendu racisme... dès lors qu'il serait le fait d'Européens.

 Edwy Plenel est aussi un ancien (?) trotskyste fidèle à ses amitiés et non guéri de leurs méthodes.

 Edwy Plenel était au journal Le Monde en 1997. Le Salon du Livre de Paris du mois de mars de cette année-là accueillait de nombreux éditeurs, dont l'éditeur de National-Hebdo, périodique aujourd'hui disparu, et qui passait pour être un des médiats du Front National. Le Monde, à la direction duquel appartenait Edwy Plenel, émit en première page une fatwa en forme de billet, dénonçant la présence de.... "l'extrêêêêême-droite" au Salon du Livre. Brrr... de quoi donner la chair de poule aux directeurs de conscience d'Arte TV. Las, les organisateurs du Salon n'obtempérèrent pas assez vite à l'exigence du Monde. C'est alors qu'intervint un romancier-émeutier du nom de Didier Daeninckx qui exécuta la fatwa du Monde : Daeninckx et une escorte de gros bras se rendirent au Salon du Livre où ils saccagèrent le stand de l'éditeur incriminé et y mirent le feu. Quelqu'un leur aura-t-il rappelé que quand on commence à brûler des livres, on finit par brûler des gens ? (voir le film de François Truffaut : Fahrenheit 451). Je n'ai rien entendu de tel. Par contre, les organisateurs du Salon et les éditeurs durent s'engager à ne plus accueillir à l'avenir de maison d'édition qui déplairaient au Monde et aux zautorités morales auto-proclamées.


Edwy Plenel, c'était, et c'est encore un chroniqueur de France Culture, radio du service public, où on lui a offert une tribune hebdomadaire du nom de "Lignes de fuite" (sic). De cette tribune, Edwy Plenel ne craignait pas de dénoncer la main-mise (sic) du pouvoir sur les médiats (alors que "le pouvoir", par direction de radio interposée, lui a offert ladite tribune), de se livrer à des appels à la censure, et de prononcer des oraisons funèbres en l'honneur de ses amis trotskystes.

Edwy Plenel utilisa notamment sa chronique "Lignes de fuite" pour dénoncer la publication "chez un grand éditeur", "dans une grande collection", d'un essai dont il ne donna ni le titre ni l'auteur pour ne pas leur faire de publicité. "Que nous est-il arrivé ? Mais que nous est-il arrivé pour que nous nous ne réagissions pas et laissions publier de tels écrits ?" s'emportait Edwy Plenel, la gorge serrée et la voix tremblante d'indignation. Appel à la censure, voire à la mise au pilon ou à l'autodafé du livre incriminé ? En tout cas, mise à l'index. De quoi s'agissait-il ? D'un essai de Richard Millet, publié chez Gallimard, dans je ne sais quelle collection. Dans quelques lignes de cet ouvrage, Richard Millet évoquait son expérience d'usager du R.E.R. francilien et constatait qu'à certaines heures, il pouvait avoir le sentiment d'y être le seul Européen. Simple constat. Mais pour l'ancien (?) trotskyste Edwy Plenel, l'expression publique d'un tel constat ouvre la voie à la stigmatisation de certaines populations qui ont sa préférence. En somme, selon Plenel, pour ne pas inciter à la discrimination, voire à la stigmatisation, ou à la haine envers certaines populations, il conviendrait de s'auto-censurer et de ne pas remarquer leur présence ... si ce n'est pas pour s'en féliciter. Et le Révérend Père Plenel de tonner de sa voix de prédicateur contre le retard de l'intelligentsia à dénoncer cette ... absence d'auto-censure chez un essayiste, son éditeur, son directeur de collection et le public en général. "Que nous est-il arrivé ?".

 Edwy Plenel est le promoteur et l'acteur d'un journalisme de délation, d'appels au lynchâge médiatique et à la censure.

Il n'est ni un chevalier blanc du journalisme, ni un héros. C'est un délateur, un censeur fanatique aux dangereuses méthodes. Il ne mérite pas l'honneur que de malheureuses affaires lui donnent l'occasion de recevoir ces temps-ci.

lundi 30 avril 2012

L'hôpital qui se moque de la charité : le cas Edwy Plenel et Mediapart

Je ne sais pas si les animateurs de Mediapart sont riches ou non,
s'ils sont ou non des amis sincères du président du Conseil Général de
la Corrèze, mais ils en sont des soutiens zélés dans le cadre du
processus électoral en cours.


A Mediapart est associé le nom d' Edwy Plenel. Ce monsieur dispose, ou
a disposé d'une tribune hebdomadaire sur la chaîne publique de radio
France Culture (dont le directeur, un Poivre d'Arvor, a eu l'honnêteté
de se déclarer en faveur du président de Corrèze), le samedi un peu
avant les journal de 18h; depuis cette tribune que lui offre une radio
d'Etat, il ne manque pas de sonner le tocsin contre .... la mainmise
du "pouvoir" sur les médiats, les dangers pesant sur les libertés
publiques (projet Edwyge). Sa tribune d'où il lance ses prêches à la
Savonarole, s'appelle "Lignes de fuite".


Ce prédicateur laïque est un pitoyable censeur et un ennemi des
libertés publiques.


En 1997, il sévissait au quotidien Le Monde. En mars de cette année-là
devait se tenir à Paris le Salon du Livre. Parmi les exposants Le
Monde avait noté la présence des éditions de National-Hebdo, un
éditeur proche du Front National. Aussitôt, parut dans "le quotidien
de référence" un article dénonçant la présence de "l'extrême-droite"
au Salon du Livre de Paris. Suite à cette dénonciation, des émeutiers
conduits par l'excité Didier Daeninckx  envahit le pavillon de Paris-
Expo qui accueillait le Salon du Livre, saccagèrent le stand de
National-Hebdo et y mirent le feu.


Le Monde de Monsieur Plenel avait dénoncé l'intolérable présence d'une
prétendue extrême-droite, les émeutiers de Monsieur Daeninckx avaient
exécuté la fatwa. Mieux : ils arrachèrent aux autres éditeurs présents
au Salon une déclaration selon laquelle ils demandaient aux
organisateurs de ne plus accepter l'"extrême-droite" (catégorie
commode et fourre-tout) dans de futurs salons.


Depuis sa chaire "Lignes de fuite" de la radio d'Etat France Culture,
Edwy Plenel a appelé à la censure, à des réactions contre l'essai d'un
écrivain publié chez Gallimard dans lequel l'auteur constatait qu'à
certaines heures il était le seul Européen dans les couloirs du RER
francilien. Edwy Plenel s'inquiétait de l'absence de protestations contre la
publication d'un essai qui contenait de telles....incongruités. Edwy
Plenel rêvait-il d'un autodafé de livres de cet auteur qui décrivait
une expérience que cxhacun peut faire quotidiennement ?


Nul doute que le sieur Plenel, misérable censeur, sinistre prêcheur et
incitateur à des autodafés de livres (en attendant de faire subir le
même sort à leurs auteurs ?) va tenter de se défendre contre la
plainte déposée à l'encontre de Mediapart en invoquant les libertés
publiques. Ce serait gros, ce serait énorme. Vous êtes informés de ce
qu'est ce personnage et de ses propres appels à la censure et à la
violence contre ceux qui pensent autrement que lui et ses amis. Vous
ne serez pas dupes.

vendredi 29 avril 2011

Bons et mauvais quotas, ou la balance faussée du sieur Plenel

Dans l'euphorie médiatique qui a suivi la victoire de ce qu'il est convenu d'appeler l'équipe de France de football en 1998, largement attribuée aux joueurs issus de la "diversité", un de ces joueurs, issus de l'immigration ultramarine avait profité d'un entretien d'un de ses camarades européens avec des journalistes pour, se tenant à ses côtés, réclamer des quotas en faveur des "minorités visibles" dans les mass media.

Cette revendication de quotas en faveur des "Français issus de l'immigration" n'avait entraîné aucune protestation ... et Mediapart (ou du moins Edwy Plenel là où il sévissait s'il n'avait pas encore créé Médiapart) n'en avait soufflé mot.

 Conclusion : les quotas c'est bon quand ça promeut l'immigration très, ou relativement récente, et c'est mal quand ça garantit un minimum de présence aux issus de vagues d'immigration beaucoup plus anciennes (par exemple les descendants des premiers homo sapiens sapiens arrivés en Europe puisqu'il paraît que l'humanité est d'abord apparue en Afrique); en 2007, un [autocensuré] de psychologue, questionné par France Inter, attribuait à notre (?) origine africaine (sic) le retentissement négatif sur le psychisme des étés au temps peu estival, ce qui était le cas cette année-là.

Aux dernières nouvelles (le surlendemain du lancement de la polémique), il s'agirait du contraire du racisme : ne plus faire venir des apprentis joueurs des suds du monde ... parce qu 'ils rentrent ensuite chez eux et ne restent pas en France, et que ça coûte cher. J'appelle cela de l'aide au développement.

Il se peut que ça coûte trop cher en regard des moyens de la Fédération de Football, mais globalement ça coûte moins cher que les politiques d'intégration des populations pour lesquelles Mediapart et Edwy Plenel marquent tant de sollicitude.

Je suggère que la Guyane, la Martinique, la Guadeloupe, la Réunion, Mayotte, la Polynésie, la Kanaky (et peut-être la Seine Saint-Denis) ait chacune leur équipe nationale, indépendante de l'équipe de France, comme l'ont le Pays de Galles, l' Ecosse, l' Irlande du Nord, Gibraltar etc...

mercredi 16 février 2011

21 février 2009 : mort sans importance à La Courneuve ?

Un casting familier : un mort, quelques personnes issues de
l'immigration, du sous-continent indien en l'occurence, un policier.
 
Le soir même du 21 février 2009 où un policier de trente-trois ans a
été assassiné à La Courneuve, l'ayatollah de la correction politique
Edwy Plenel pérorait sur France Culture (tribune d'une partie des
oppositions sur le service public de radio) dans son émission "Ligne
de fuite" (chaque samedi un peu avant 18h00). L'ancien compagnon de
route d' Alain Krivine et ancien membre de la direction du journal Le
Monde interpellait les auditeurs en leur demandant d'imaginer ce qui
se passerait si les troubles en cours à La Guadeloupe avaient lieu
dans un département de ce que j'appelle la France d'Europe. Le fils de
l'ancien vice-recteur des Antilles, élevé aux Antilles puis éduqué
dans l' Algérie du FLN exhalait son infatuation des anciens pays
colonisés et appelait...à l'imagination de ses auditeurs.


Alors, j'ai imaginé...En appliquant mon imagination à la tragédie de
La Courneuve. Si le mort avait été un des originaires du sous-
continent indien (Pakistanais, ou Sri Lankais, on ne sait plus), et si
le policier avait été à l'origine de cette mort, la thèse de
l'accident n'aurait pas convaincu les élus de La Courneuve, le milieu
associatif antiraciste local, la famille de la "victime",
indépendamment de ses antécédents éventuels. La Courneuve aurait été
le théâtre d'une "marche" de solidarité avec le mort, avec le gratin
du prétendu antiracisme. Les stations de radio et de télévision (je
pense surtout à Arte (Des)Info, la "chaîne de la diversité" à
financement, mais à financement seulement.. franco-allemand, à France
Culture) auraient consacré de longs développements à cette...bavure
policière, et une évocation de l'intoxication éventuelle à l'alcool de
la victime aurait été jugée indécente. La victime aurait pu avoir
trente-cinq ans ou plus, elle aurait été "un jeune". Et puis, le
classique "deus ex machina" se serait peut être manifesté : le
vidéaste amateur dont Mme Matausch (sur France quelque chose) ou le
très engagé William Irigoyen sur Arte (Des)Info nous aurait annoncé
avec gourmandise que son film vidéo infirmait, bien sûr, la version
du, ou des policiers.


Une question : ces gens qui ont été interpellés étaient-ils tous en
situation de séjour régulier, et notamment l'assassin ? Si la réponse
était négative, le fonctionnaire assassiné serait d'abord une victime
des associations du type Réseau Education Sans Frontières, CIMADE,
CCFD, SOS Racisme etc..., des collectifs qui s'opposent à, et
entravent partout les débuts de commencements de velléités de
résistance à la colonisation de peuplement de l'Europe par ses
anciennes colonies ou des pays qui auraient pu en être.

 
Mai dimenticare l'infamia dei nemici dell'Europa