Les directeurs de conscience de la chaîne
à financement franco-allemand doivent tirer
de longues et tristes figures. Imaginez-vous :
pendant plusieurs jours, il a été question
de la "chance" que représentait, pour
une interdiction du NPD (parti national-
démocrate d'Allemagne) un attentat
perpétré par un prétenu militant d'extrême-
droite contre un "policier" bavarois qui
s'était illustré en faisant ouvrir la tombe
(oui, oui) d'un autre activiste politique
dont le cercueil, pourtant à l'abri du
regard public, était enveloppé d'un
drapeau....interdit (sic).
Arte (Des)Info signalait que le nouveau
ministre-président de Bavière, M. Seehofer
semblait favorable à une dissolution du
NPD. A aucun moment, bien sûr, un
lien n'était établi entre l'attentat contre
le "policier" très zélé de la Pensée, et
le NPD ou l'un de ses membres, mais
peu importait à Arte (Des)Info.
Et patatras ! La candidate des partis
de gauche à l'élection du président de
la République fédérale, Mme Gesine
Schwan se prononce contre une
interdiction du NPD qu'elle juge
inefficace !
A qui se fier ? Femme, rejeton d'un
"résistant" anti-nazi, acceptant que
les voix de Die Linke se portent sur
son nom en mai prochain, Mme
Gesine Schwan avait tout pour plaire,
pour devenir une "conscience", une
autorité morale pour les sponsors
idéologiques d'Arte. Mais voilà, les
attentes de la chaîne à financement
(mais à financement seulement...)
franco-allemand ont été douchées
net.
Mme Schwan juge
qu'une éventuelle interdiction du
NPD serait "inefficace". C'est
qu'elle ne comprend pas comment
raisonnent les stratèges d'Arte
(Des)Info : une dissolution du NPD
permettrait à Arte (Des)Info de
faire planer sur les autres partis
qu'Arte (Des)Info n'aime pas, ou
dont elle se méfie (ceux que la
chaîne n'appelle pas par leur
nom, mais désigne par une
étiquette) l'accusation d'avoir
recueilli les voix des anciens
électeurs du NPD ! Si la
candidate des Gauches à
l'élection présidentielle de
mai 2009 ne comprend pas
cela.....à quoi ça sert qu'Arte,
elle se décarcasse ?.....
(fin décembre 2008)
samedi 26 février 2011
Arte Desinfo : Arte déçue par Frau Schwan : who can be trusted ?
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vendredi 25 février 2011
Arte Desinfo : le "pire" selon Arte (Des)Info
AVERTISSEMENT
Ce message est rédigé et envoyé depuis le territoire de ce qu'il
convenu d'appeler la république française sur lequel s'applique la loi
90-615 du 13 juillet 1990, dite loi Fabius-Rocard-Gayssot, qui a
supprimé la liberté de recherche historique, fortement restreint les
libertés d'opinion et d'expression, suscité une Milice Zélote de la
Pensée qui interdit toute revisitation de certains aspects de la
guerre 5700 – 5705 du calendrier hébaïque. L'auteur du message est
soumis malgré lui aux contraintes posées par cette loi à l'abolition
de laquelle il a à coeur d'apporter sa pierre.
-----------------------------------------------------------------------
Le problème avec la chaîne Arte, qui n'a de franco-allemand que le
financement, mais dont l'inspiration vient d'ailleurs, c'est que la
productivité de l'émission Arte (Des)Info en matière de deconantum,
de mésinformation et de désinformation, est telle qu'il est difficile
de suivre jour après jour. On est obligé de trier et de se limiter aux
cas les plus graves ou les plus significatifs.
Arte (Des)Info a ses chouchous : les partis politiques qu'elle désigne
par leur nom, par le nom qu'ils se sont donnés (les autres sont
désignés par une étiquette qu'Arte choisit dans le champ lexical de la
science politique : « conservateur », « ultra-conservateur » etc...,
ou pire...).
Arte (Des)Info a ses "satans" : Silvio Berlusconi, George W.
Bush, et Benoît XVI pourrait rapidement rejoindre ce club très sélect.
En cause, son projet de lever l'excommunication portée contre prélats
catholiques qui s'étaient séparés de la ligne du Vatican entre 1976 et
1988, et notamment des évêques sacrés par Mgr Marcel Lefebvre. Arte
(Des)Info, qui n'est pourtant pas une chaîne confessionnelle en veut à
ces gens : il paraît qu'ils sont « fanatiques » (en matière de
fanatisme, Arte peut donner des leçons), refusent la messe en langue
vernaculaire (FAUX : l'abbé Ducaud-Bourget disait qu'il accepterait la
messe tridentine traduite en français, mais refuserait celle de Paul
VI en latin, l'important étant le contenu, non la langue), la liberté
religieuse (mais Arte est contre la liberté de croire à la Création
selon la Genèse et de ne pas croire à la Shoah selon les Klarsfeld,
d'ouverture au monde" voulue par Vatican II.
Le samedi 24 janvier 2009, l'emploi d'un adverbe sur Arte (Des)Info
trahit les priorités et les obsessions de la chaîne à financement
franco-allemand : « pire ».
Après avoir énuméré tout ce qui peut être infâme à ses yeux chez les
catholiques de tradition auxquels Benoît XVI tend la main après plus
de 20 ans d'éloignement, Arte (Des)Info termine ainsi son sujet :
« Pire (sic), l'un d'eux, Mgr Williamson nie l'existence des chambres
à gaz » homicides pendant la guerre 5699 – 5705 du calendrier juif.
C'est là un mensonge : Mgr Williamson ne nie rien; il a simplement dit
qu' il ne croyait pas que les Nationaux-Socialistes ait utilisé les
chambres à gaz à des fins homicides.
Pour Arte (Des)Info, le positionnement théologique de Mgr Williamson
importe moins que l'expression publique de son incroyance sur un sujet
profane. Mgr Williamson est en état de péché contre le shoacentrisme
et le culte yad-vashémite. Arte (Des)Info le place en enfer. C'est à
mon avis un honneur que d'être détesté par les directeurs de
conscience d'Arte. On est en bonne compagnie.
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jeudi 24 février 2011
Arte Desinfo : subversion humanitaire : Arte à Lampedusa dès janvier 2009
Samedi 24 janvier MMIX, avant-dernier jour de la présentation d'Arte
(Des)Info par Jürgen Biehle pour la semaine en cours. Une semaine sans
William Irigoyen, ça fait quand même du bien !
(Des)Info par Jürgen Biehle pour la semaine en cours. Une semaine sans
William Irigoyen, ça fait quand même du bien !
L'édition de 19h45 s'ouvre sur une sorte de mutinerie, présentée comme
spontanée, de personnes retenues dans un camp de rétention sur l'île
de Lampedusa, relevant de l'Italie, et située entre Malte et la
Tunisie.
La spontanéité de la révolte est douteuse : un des ses porte-parole
s'exprime dans un italien très compréhensible, alors que les mutins
sont présentés comme originaires du Maghreb, arrivés très récemment.
On ne rappelle pas qu'ils se sont introduits de force, et
illégalement, sur une île européenne pour ne pas que soit relevé
qu'ils ont à nouveau recours à la force pour rester en Europe, et
n'admettent aucune résistance à leur détermination à repeupler
l'Europe.
Arte (Des)Info essaie de nous faire croire que la mutinerie des
Maghrébins échoués et detenus à Lampedusa aurait le soutien des
habitants autochtones de l'île. Arte (Des)Info nous emmène en bateau
avec ces boat-people : les habitants européens de Lampedusa souhaitent
être débarrassés de la présence de ces envahisseurs par le transfert
de ceux-ci vers le Continent, et plus au Nord : des pancartes brandies
par d'apparents naturels de Lampedusa l'indiquent clairement. Comme on
ne se donne pas les moyens de les renvoyer, de gré ou de force, d'où
ils viennent et où ils auraient dû rester, que la Conscience
Universelle empêche qu'on les renvoie en mer, eh bien, les
Lampedusiens demandent à ne pas être les seuls Italiens et Européens à
devoir supporter la cohabitation avec ces envahisseurs.
Et Arte (Des)Info, qui, durant l'été 2004, nous a joué la comédie des
boat-people du Cap Anamur prétendument du Darfour, et qui étaient en
réalité majoritairement d'Afrique occidentale, profite de cette émeute
pour s'en prendre à une de ses bêtes noires les plus constantes :
Silvio Berlusconi, qui a promis aux habitants de Lampedusa de les
indemniser des destructions perpétrées par ces protégés de la CIMADE,
du CCFD et d'Arte réunis. Ce qu'Arte voudrait conduire son public à
penser, c'est que ces envahisseurs ont droit à être admis à séjourner
en Europe comme ils le veulent, puis à être "intégrés", c'est-à-dire
éventuellement à devenir vos voisins de quartier, voire d'immeuble, à
faire venir auprès d'eux leur famille, leurs conjoints actuels ou
futurs, à devenir vos gendres. Et à penser que c'est là une réparation
que l'Europe doit bien au "sud" du monde, et un bienfait. Arte (Des)
Info, n'est pas une chaîne franco-allemande, sinon par le financement.
Son inspiration vient d'ailleurs.
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In Memoriam : Charles Trénet (1913-2001) et les obsessions d'Arte
Les médiats ont évoqué durant le mois de février l'anniversaire de la disparition de Charles Trénet (1913-2001), auteur de chansons, compositeur de musique et interprète de la chanson.
Cette évocation m'a remis en mémoire la couverture de l'évènement par Arte (Des)Info le 19 ou le 20 février 2001.
Faisant semblant d'interroger des passants, des quidams, sur leur réaction à la nouvelle de la disparition de l'auteur-compositeur-interprète, Arte (Des)Info tombe tout de suite sur une dame un peu corpulente, plus très jeune, qui déclare : "C'est un grand artiste, mais c'est un collabo". Quelle "autocensuré" ! Peut-être même a-t-elle dit : c'était un grand artiste (à l'imparfait, puisqu'il vient de disparaître), mais c'est un collabo (au présent, puisque l'opprobre qui s'attache à cette qualité doit être permanente, par delà la mort).
Manifestement, cette prétendue passante a été sélectionnée par la c'Haine encultureuse.
En somme, il n'a pas suffi à Charles Trénet de se commettre pour Jack Lang en composant en 1989 une chanson de campagne sur l'air de "La Mer" : "Le maire, le maire de Blois, sera Jack Lang je crois", voire de permettre à un groupe Beur d'ânnoner "Douce France" avec l'accent arabe et une mimique agressive dans une manifestation parainnée par l'officine S.O.S. Racisme. Non, rien de tout ça n'a pu dédouaner Charles Trénet d'avoir chanté devant un public de civils français et de soldats allemands pendant la Deuxième Guerre Mondiale. Pour Arte, c'est le péché irrémissible, indélébile.
Arte, c'est la c'Haine du shoacentrisme : le principal évènement du 20ème siècle est la guerre de 5699-5705 du calendrier hébraïque et le principal détail (au sens pictural) du tableau de cette guerre est ce qu'il est convenu d'appeler la Shoah. Encore quelques dizaines de secondes, et je m'attendais à entendre la dame interrogée par Arte (Des)Info déclarer qu'elle avait perdu touts les siens dans "l'Holocauste", même si elle était née trois ans après le fin de la guerre, accédant ainsi à une sorte de nouvelle noblesse.
J'aimais bien Charles Trénet. Il me rappelait l'âge d'or de la radio, l'époque où l'ancêtre de Télérama (un autre vecteur de la conception shoacentrique), Radio-Télé-Ciné ou quelque chose comme ça, comptait un certain abbé François Tagliani parmi ses collaborateurs. On écoutait Radio Luxembourg presque toute la journée. La guerre était chronologiquement plus proche qu'elle ne l'est maintenant, mais ce qu'il est convenu d'appeler la Shoah n'en était pas le principal aspect. On mettait en doute la sagesse des vainqueurs occidentaux de s'être compromis avec le communisme et l'URSS qui était devenue notre ennemie, elle et ses satellites.
Voir aussi : http://jeanmarielallau.blogspot.fr/2012/09/jean-lebrun-versus-fernandel.html
Cette évocation m'a remis en mémoire la couverture de l'évènement par Arte (Des)Info le 19 ou le 20 février 2001.
Faisant semblant d'interroger des passants, des quidams, sur leur réaction à la nouvelle de la disparition de l'auteur-compositeur-interprète, Arte (Des)Info tombe tout de suite sur une dame un peu corpulente, plus très jeune, qui déclare : "C'est un grand artiste, mais c'est un collabo". Quelle "autocensuré" ! Peut-être même a-t-elle dit : c'était un grand artiste (à l'imparfait, puisqu'il vient de disparaître), mais c'est un collabo (au présent, puisque l'opprobre qui s'attache à cette qualité doit être permanente, par delà la mort).
Manifestement, cette prétendue passante a été sélectionnée par la c'Haine encultureuse.
En somme, il n'a pas suffi à Charles Trénet de se commettre pour Jack Lang en composant en 1989 une chanson de campagne sur l'air de "La Mer" : "Le maire, le maire de Blois, sera Jack Lang je crois", voire de permettre à un groupe Beur d'ânnoner "Douce France" avec l'accent arabe et une mimique agressive dans une manifestation parainnée par l'officine S.O.S. Racisme. Non, rien de tout ça n'a pu dédouaner Charles Trénet d'avoir chanté devant un public de civils français et de soldats allemands pendant la Deuxième Guerre Mondiale. Pour Arte, c'est le péché irrémissible, indélébile.
Arte, c'est la c'Haine du shoacentrisme : le principal évènement du 20ème siècle est la guerre de 5699-5705 du calendrier hébraïque et le principal détail (au sens pictural) du tableau de cette guerre est ce qu'il est convenu d'appeler la Shoah. Encore quelques dizaines de secondes, et je m'attendais à entendre la dame interrogée par Arte (Des)Info déclarer qu'elle avait perdu touts les siens dans "l'Holocauste", même si elle était née trois ans après le fin de la guerre, accédant ainsi à une sorte de nouvelle noblesse.
J'aimais bien Charles Trénet. Il me rappelait l'âge d'or de la radio, l'époque où l'ancêtre de Télérama (un autre vecteur de la conception shoacentrique), Radio-Télé-Ciné ou quelque chose comme ça, comptait un certain abbé François Tagliani parmi ses collaborateurs. On écoutait Radio Luxembourg presque toute la journée. La guerre était chronologiquement plus proche qu'elle ne l'est maintenant, mais ce qu'il est convenu d'appeler la Shoah n'en était pas le principal aspect. On mettait en doute la sagesse des vainqueurs occidentaux de s'être compromis avec le communisme et l'URSS qui était devenue notre ennemie, elle et ses satellites.
Voir aussi : http://jeanmarielallau.blogspot.fr/2012/09/jean-lebrun-versus-fernandel.html
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mercredi 23 février 2011
Arte Desinfo : les sueurs froides des directeurs de conscience de la c'Haine
Selon l'édition vespérale d'Arte (Des)Info du mardi 17 mars 2009, un
danger très grave menace les seize Länder des Allemagnes : 17 % des
garçons d'une quinzaine d'années et 10 % des filles du même âge
résidant dans ces seize régions....... Devinez !......Défauts de
croissance ? Non ! Puberté trop précoce ou trop tardive ? Vous n'y
êtes pas. Accros aux jeux vidéo ? Non ! Ne maîtrisent pas les
fonctions arithmétiques ? Non ! Sont battus par Papa ou Maman ? Non !
Vous donnez votre langue au chat ?
Eh bien voilà : ces garçons et ces filles auraient des tendances
xénophobes. 83% seulement des garçons et seulement 90 % des filles ne
verraient aucun inconvénient à la colonisation de peuplement massive
des Allemagnes dans leurs seize régions par le sud du Monde. Les
directeurs de conscience d'Arte (Des)Info, la chaîne de la diversité à
financement franco-allemand, en ont des sueurs froides. Bien sûr, il
aurait été incongru, que dis-je, indécent de sonder les Kurdes, les
Anatoliens, les Rroms, les Claque-la-Dalle du sud et du sud-est du
monde qui peuplent les Allemagnes pour connaître le pourcentage de la
population âgée de 15 ans issue de l'immigration qui a une opinion
négative, non des richesses du pays où ils s'installent, mais de ses
habitants plus anciennement installés.
Pendant que Jürgen Biehle, souriant Nestor de Moulinsart, fait part au
public de la "chaîne de la diversité" de cette alarmante nouvelle, le
portrait du ministre fédéral de l'Intérieur, Wolfgang Schäuble
apparaît à l'écran. En France, c'est une femme qui occupe cette
fonction; en Allemagne, c'est un handicapé physique suite à un
attentat. Mais il est chrétien-démocrate (sur Arte (Des)Info, on dit
conservateur. Evidemment, ce serait mieux si Mme Knoblauch, présidente
du Zentralrat (le CRIF allemand), ou Michel Friedman (°1956 à Neuilly-
sur-Seine), professeur de morale des Allemands par la grâce des
médiats se chargeait du travail de prévention de la prétendue
xénophobie chez les adolescents, prévention qu'Arte (Des)Info appelle
de ses voeux. Les "prévenus" doivent pouvoir se rendre à l'école en
récitant : "je m'appelle Kai et Murat est mon meilleur ami", "je
m'appelle Gertrud et je suis amoureuse d'Attila", "quand je serais
grande, je voudrais que Kemal me passe sur le ventre et me donne des
enfants"
Télé Arte ment, Télé Arte ment,
En français comme en allemand.
danger très grave menace les seize Länder des Allemagnes : 17 % des
garçons d'une quinzaine d'années et 10 % des filles du même âge
résidant dans ces seize régions....... Devinez !......Défauts de
croissance ? Non ! Puberté trop précoce ou trop tardive ? Vous n'y
êtes pas. Accros aux jeux vidéo ? Non ! Ne maîtrisent pas les
fonctions arithmétiques ? Non ! Sont battus par Papa ou Maman ? Non !
Vous donnez votre langue au chat ?
Eh bien voilà : ces garçons et ces filles auraient des tendances
xénophobes. 83% seulement des garçons et seulement 90 % des filles ne
verraient aucun inconvénient à la colonisation de peuplement massive
des Allemagnes dans leurs seize régions par le sud du Monde. Les
directeurs de conscience d'Arte (Des)Info, la chaîne de la diversité à
financement franco-allemand, en ont des sueurs froides. Bien sûr, il
aurait été incongru, que dis-je, indécent de sonder les Kurdes, les
Anatoliens, les Rroms, les Claque-la-Dalle du sud et du sud-est du
monde qui peuplent les Allemagnes pour connaître le pourcentage de la
population âgée de 15 ans issue de l'immigration qui a une opinion
négative, non des richesses du pays où ils s'installent, mais de ses
habitants plus anciennement installés.
Pendant que Jürgen Biehle, souriant Nestor de Moulinsart, fait part au
public de la "chaîne de la diversité" de cette alarmante nouvelle, le
portrait du ministre fédéral de l'Intérieur, Wolfgang Schäuble
apparaît à l'écran. En France, c'est une femme qui occupe cette
fonction; en Allemagne, c'est un handicapé physique suite à un
attentat. Mais il est chrétien-démocrate (sur Arte (Des)Info, on dit
conservateur. Evidemment, ce serait mieux si Mme Knoblauch, présidente
du Zentralrat (le CRIF allemand), ou Michel Friedman (°1956 à Neuilly-
sur-Seine), professeur de morale des Allemands par la grâce des
médiats se chargeait du travail de prévention de la prétendue
xénophobie chez les adolescents, prévention qu'Arte (Des)Info appelle
de ses voeux. Les "prévenus" doivent pouvoir se rendre à l'école en
récitant : "je m'appelle Kai et Murat est mon meilleur ami", "je
m'appelle Gertrud et je suis amoureuse d'Attila", "quand je serais
grande, je voudrais que Kemal me passe sur le ventre et me donne des
enfants"
Télé Arte ment, Télé Arte ment,
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Étampes, France
Muammar Khadafi : la courte mémoire des médiats
L'opinion dite publique, c'est-à-dire l'opinion médiatique, voue Muammar Khadafi aux gémonies (février 2011).
Et pourtant.....Il n'y a pas si longtemps, tout ce que la classe politico-médiatique comptait de fans des "mouvements de libération nationale" du Tiers-Monde (aujourd'hui, on dirait : du Sud), de professeurs de morale, de simili Stephane Hessels, de donneurs de leçon d'éthique, de professeurs de "valeurs" humanistes etc...étaient très énamourés du leader de la révolution libyenne.
En 1984, les deux dirigeants socialistes François Mitterrand et Andréas Papandréou ont rencontré Khadafi en Crète. Les médiats louaient l'ouverture et l'intelligence des deux dirigeants socialistes, qu'ils opposaient à l'infantilisme et à l'étroitesse de Ronald Reagan envers le même Khadafi. Il y avait sur FR3 (aujourd'hui France 3) un journaliste communiste (que, stupidement, Le Monde comparait au Bel Ami (sic) de Maupassant). Etant parvenu à établir la liaison entre le studio de FR3 et la Crète, le journaliste communiste ne se sentait plus de joie lorsqu'ayant adressé une question au dirigeant libyen, celui-ci lui fit l'honneur de lui répondre. Ca me faisait penser à l'histoire narrée par Maurice Clavel dans "Dieu est Dieu, nom de Dieu" : une religieuse catholique progressiste revenait folle de joie d'un meeting auquel participait le syndicaliste CGT Krasucki parce que celui-ci l'avait tutoyée.
Il fut un temps où il en était de Khadafi comme il en avait été de Mao-Ze-Dong : chaque fois qu'il lui prenait d'exprimer une idée qui pouvait surprendre, il y avait là quelques commentateurs pour s'extasier de la dernière enormité du bédouin et faire savoir que ceux qui s'étonnaient étaient trop bêtes pour comprendre le génie de Khadafi. Ainsi, me semble-t-il, l'essayiste Gabriel Matzneff qui s'était essayé à commenter et à justifier un appel de Khadafi aux Chrétiens leur demandant de devenir Musulmans pour la bonne entente islamo-chrétienne : Matzneff assurait ses lecteurs que Khadafi ne demandait nullement aux Chrétiens de porter le turban; mais d'aller jusqu'au bout de leurs convictions, ou quelque chose comme ça. Bref, le propos provocateur du bédouin était une manifestation de la profondeur de son génie.
Et le démagogue cocardier Jacques Chirac, Premier ministre, se rendant à Tripoli dans les années 1970, déclarait y être venu "avec un préjugé favorable" et y donnait l'accolade au commandant Jelloul, un des compagnons de Khadafi. Chirac, de presque dix ans l'aîné de Khadafi, jouait sur une sorte de complicité générationnelle avec l'excentrique guide de la révolution libyenne qui représentait pour les médiats "progressistes" et DeGaullards une nouvelle et prometteuse génération de dirigeants arabes.
Dès 1970, sous Pompidou, Khadafi était un excellent client des marchands français d'armement. On l'avait dit fils d'une Juive yéménite razziée.
En 1982, Khadafi suggérait aux dirigeants palestiniens chassés du Liban par l'intervention israélienne de se suicider. Depuis, il a inventé le concept d'un Etat unique commun aux Israéliens et aux Palestiniens : l'Isratine, qui n'enthousiasme ni les uns ni les autres.
Qu'est-ce-que Khadafi a fait de bien ?
Il a renoncé aux armes de destruction massive et a ralenti la colonisation de peuplement de l'Europe par l'Afrique par ses camps de rétention et de tri.
L'adulation dont il a un temps été l'objet de la part de l'imbecillentsia "progressiste" l'a ridiculisée une fois de plus pour quiconque a assez de mémoire, et c'est bien ainsi.
Et pourtant.....Il n'y a pas si longtemps, tout ce que la classe politico-médiatique comptait de fans des "mouvements de libération nationale" du Tiers-Monde (aujourd'hui, on dirait : du Sud), de professeurs de morale, de simili Stephane Hessels, de donneurs de leçon d'éthique, de professeurs de "valeurs" humanistes etc...étaient très énamourés du leader de la révolution libyenne.
En 1984, les deux dirigeants socialistes François Mitterrand et Andréas Papandréou ont rencontré Khadafi en Crète. Les médiats louaient l'ouverture et l'intelligence des deux dirigeants socialistes, qu'ils opposaient à l'infantilisme et à l'étroitesse de Ronald Reagan envers le même Khadafi. Il y avait sur FR3 (aujourd'hui France 3) un journaliste communiste (que, stupidement, Le Monde comparait au Bel Ami (sic) de Maupassant). Etant parvenu à établir la liaison entre le studio de FR3 et la Crète, le journaliste communiste ne se sentait plus de joie lorsqu'ayant adressé une question au dirigeant libyen, celui-ci lui fit l'honneur de lui répondre. Ca me faisait penser à l'histoire narrée par Maurice Clavel dans "Dieu est Dieu, nom de Dieu" : une religieuse catholique progressiste revenait folle de joie d'un meeting auquel participait le syndicaliste CGT Krasucki parce que celui-ci l'avait tutoyée.
Il fut un temps où il en était de Khadafi comme il en avait été de Mao-Ze-Dong : chaque fois qu'il lui prenait d'exprimer une idée qui pouvait surprendre, il y avait là quelques commentateurs pour s'extasier de la dernière enormité du bédouin et faire savoir que ceux qui s'étonnaient étaient trop bêtes pour comprendre le génie de Khadafi. Ainsi, me semble-t-il, l'essayiste Gabriel Matzneff qui s'était essayé à commenter et à justifier un appel de Khadafi aux Chrétiens leur demandant de devenir Musulmans pour la bonne entente islamo-chrétienne : Matzneff assurait ses lecteurs que Khadafi ne demandait nullement aux Chrétiens de porter le turban; mais d'aller jusqu'au bout de leurs convictions, ou quelque chose comme ça. Bref, le propos provocateur du bédouin était une manifestation de la profondeur de son génie.
Et le démagogue cocardier Jacques Chirac, Premier ministre, se rendant à Tripoli dans les années 1970, déclarait y être venu "avec un préjugé favorable" et y donnait l'accolade au commandant Jelloul, un des compagnons de Khadafi. Chirac, de presque dix ans l'aîné de Khadafi, jouait sur une sorte de complicité générationnelle avec l'excentrique guide de la révolution libyenne qui représentait pour les médiats "progressistes" et DeGaullards une nouvelle et prometteuse génération de dirigeants arabes.
Dès 1970, sous Pompidou, Khadafi était un excellent client des marchands français d'armement. On l'avait dit fils d'une Juive yéménite razziée.
En 1982, Khadafi suggérait aux dirigeants palestiniens chassés du Liban par l'intervention israélienne de se suicider. Depuis, il a inventé le concept d'un Etat unique commun aux Israéliens et aux Palestiniens : l'Isratine, qui n'enthousiasme ni les uns ni les autres.
Qu'est-ce-que Khadafi a fait de bien ?
Il a renoncé aux armes de destruction massive et a ralenti la colonisation de peuplement de l'Europe par l'Afrique par ses camps de rétention et de tri.
L'adulation dont il a un temps été l'objet de la part de l'imbecillentsia "progressiste" l'a ridiculisée une fois de plus pour quiconque a assez de mémoire, et c'est bien ainsi.
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mardi 22 février 2011
Arte Desinfo : crachat diffamatoire et subversion humanitaire
Télé Arte ment, Télé Arte ment,
En français comme en allemand.
A faire téchouva, chaque jour elle nous invite,
Ce faisant, plus que notre mépris elle mérite.
Le lundi 5 juillet 2004, Arte Info était présenté par Nathalie
Georges.
Le procès intenté à Slobodan Milosevic a été, pour Arte, l'occasion
d'insinuer que l'état de santé de l'ancien président yougoslave
pourrait venir de ce qu'il ne prend pas ses médicaments; Arte n'est
pas à un crachat diffamatoire près. L'ajournement du procès Milosevic
est une mauvaise nouvelle pour Arte, qui se raccroche cependant à un
espoir : le nouveau président élu de Serbie - Monténégro, serait un
"démocrate" selon le coeur d' Arte, et tiendrait à ce que le procès de
son prédecesseur s'achève (traduisez : que Milosevic soit condamné une
fois pour toutes); est-ce à dire que le Tribunal de La Haye prendrait
ses ordres à Belgrade rendu à la déesse Démocratie ?
Arte Info a enchaîné sur les Musulmans bosniaques réfugiés en
Allemagne; après avoir rappelé que certains d'entre eux sont retournés
au pays, Arte s'est intéressé au sort de ceux qui n'entendent pas
retourner en Bosnie-Herzégovine. A aucun moment, la rationalité de ce
choix, sa légitimité, ses répercussions pour la population allemande
ou plus anciennement installée en Allemagne n'est évoquée par Arte
Info : ce sont des questions qu'il est politiquement incorrect de
poser. Ces Bosniaques musulmanes veulent s'installer en Allemagne et
Arte considère qu'elles doivent en avoir le droit, et c'est tout ! Et
Arte Info de lancer sa grosse artillerie culpabilisante : la police
allemande inspirerait de la peur à ces dames, et, horresco referens,
leur rappelerait les milices serbes ! Une psychologue du centre
berlinois pour l'Europe du sud-est expliquait que le succès de
son travail thérapeutique était hypothéqué par l'insatisfaction
de la revendication de ces femmes de rester en
Allemagne.
Toute cette séquence était une pression exercée par Arte sur l'opinion
publique et l'administration allemandes pour faire reconnaître le
droit des Bosniaques et d'autres à faire de l'Allemagne et d'autres
pays d'Europe leur colonie de peuplement. Et les télespectateurs des
autres pays devaient se sentir amenés à établir des comparaisons avec
d'autres situations plus près d'eux.
"Si la vérité n'est pas libre, la liberté n'est pas vraie" (Jacques Prévert)
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Slobodan Milosevic
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Étampes, France
lundi 21 février 2011
On ne leur en doit pas tant : la Tounsimania, ça suffit !
La Tunisie est sans doute un beau pays. Ses habitants semblent avoir mis en marche une évolution qui va toucher une partie du monde arabe : le "satan" n'est plus à l'extérieur (anciens colonisateurs, l'Occident, le sionisme etc...). Bon, tout ça, ça peut être bon pour eux et pour nous. Vive la Tunisie ? Oui, d'accord, mais...
Mais on en fait trop. Avant même que l'on sache si l'assaut de clandestins à l 'île européenne de Lampedusa était spontané ou organisé (4000 clandestins d'un coup, ça fait beaucoup tout de même), la ville de Paris attribue le nom de Bouzizi à l'une de ses voies, Bouzizi étant le marchand ambulant qui s'est suicidé par le feu parce que la police lui avait confisqué sa charette. Delanoë est certes né en Tunisie et est énamoué (1) d'une partie de ses habitants. Tant mieux pour eux, mais que ça ne soit pas à nous d'en faire les frais.
L'incident opposant le nouvel ambassadeur de France en Tunisie à des journalistes tunisiens excités et arrogants (ce n'est pas entièrement de leur faute : les médiats internationaux leur ont gonflé la tête) et la couverture donnée à cette affaire me rappelle la tempête médiatique qui s'est abattue sur le journaliste sportif Thierry Roland dans les années 1980. Commentant un match de football dont l'arbitre était tunisien et mécontent de l'arbitrage rendu, Thierry Roland avait évoqué la médiocre culture footballistique de la Tunisie (qui n'est tout de même pas le Brésil). Aussitôt, plaintes et protestations fusèrent, dont celles de l'officine SOS Racisme alors dirigé par "Harlem" Désir. On exigeait les excuses, voire le déplacement, la révocation de Thierry Roland, des poursuites pour avoir offensé l'amour-propre tounsi.
On ne leur en doit pas tant. Certes, l'établissement du protectorat français sur la Régence s'est effectué dans des conditions immorales d'un multiple point de vue, vis-à-vis de l' Italie, vis-à-vis de la Tunisie. Mais on doit prendre en compte aussi la persistance d'un profond ressentiment tunisien envers ce qu'il est convenu d'appeler la Vrôôônce : l'auteur de l'attentat récent (janvier 2011) contre l' ambassade de France au Mali n'était-il pas un "jeune Tunisien" qui avait "la haine de la France" ? un match Tunisie-France relativement récent n'a-t-il pas été marqué par des sifflets à l'encontre de l'hymne français (2) à l'initiative de Tunisiens, voire de Franco-Tunisiens résidant en France, en Seine Saint-Denis, et non repentants ? Ils ont leurs raisons qui interdisent à la raison comme au coeur de succomber au Tounsienthousiasme ambiant : attendons davantage pour faire le bilan de "la révolution de jasmin" : s'il y a plus de Tunisiens en Tunisie et moins en Europe, si la démographie tunisienne ralentit sa progression, si les pays du Maghreb reprennent leur marche vers l'unité, voire vers l'unité panarabe, si le niveau de vie général s'améliore, le bilan sera très positif.
NOTES
(1) j'ai entendu et vu Bertrand Delanoë narrer son émotion d'avoir vu "des gamins" tunisiens "qui ne voulaient qu'être chez eux dans leur pays" pourchassés ou tabassés, ou pire, par l'armée française; ces "gamins" étaient volontaires pour harceler l' "armée française", non les soldats de celle-ci; j'aurais pu être de ceux-ci, non de ceux-là;
(2) ce sont les Gwères, les "Gaulois" qui auraient pu, voire dû, siffler cet hymne qui est prétendument un des symboles de cette "république" au nom des valeurs de laquelle ils doivent se résigner à voir l' Europe devenir la colonie de peuplement de ses anciennes colonies ou de pays qui auraient pu en être.
Mais on en fait trop. Avant même que l'on sache si l'assaut de clandestins à l 'île européenne de Lampedusa était spontané ou organisé (4000 clandestins d'un coup, ça fait beaucoup tout de même), la ville de Paris attribue le nom de Bouzizi à l'une de ses voies, Bouzizi étant le marchand ambulant qui s'est suicidé par le feu parce que la police lui avait confisqué sa charette. Delanoë est certes né en Tunisie et est énamoué (1) d'une partie de ses habitants. Tant mieux pour eux, mais que ça ne soit pas à nous d'en faire les frais.
L'incident opposant le nouvel ambassadeur de France en Tunisie à des journalistes tunisiens excités et arrogants (ce n'est pas entièrement de leur faute : les médiats internationaux leur ont gonflé la tête) et la couverture donnée à cette affaire me rappelle la tempête médiatique qui s'est abattue sur le journaliste sportif Thierry Roland dans les années 1980. Commentant un match de football dont l'arbitre était tunisien et mécontent de l'arbitrage rendu, Thierry Roland avait évoqué la médiocre culture footballistique de la Tunisie (qui n'est tout de même pas le Brésil). Aussitôt, plaintes et protestations fusèrent, dont celles de l'officine SOS Racisme alors dirigé par "Harlem" Désir. On exigeait les excuses, voire le déplacement, la révocation de Thierry Roland, des poursuites pour avoir offensé l'amour-propre tounsi.
On ne leur en doit pas tant. Certes, l'établissement du protectorat français sur la Régence s'est effectué dans des conditions immorales d'un multiple point de vue, vis-à-vis de l' Italie, vis-à-vis de la Tunisie. Mais on doit prendre en compte aussi la persistance d'un profond ressentiment tunisien envers ce qu'il est convenu d'appeler la Vrôôônce : l'auteur de l'attentat récent (janvier 2011) contre l' ambassade de France au Mali n'était-il pas un "jeune Tunisien" qui avait "la haine de la France" ? un match Tunisie-France relativement récent n'a-t-il pas été marqué par des sifflets à l'encontre de l'hymne français (2) à l'initiative de Tunisiens, voire de Franco-Tunisiens résidant en France, en Seine Saint-Denis, et non repentants ? Ils ont leurs raisons qui interdisent à la raison comme au coeur de succomber au Tounsienthousiasme ambiant : attendons davantage pour faire le bilan de "la révolution de jasmin" : s'il y a plus de Tunisiens en Tunisie et moins en Europe, si la démographie tunisienne ralentit sa progression, si les pays du Maghreb reprennent leur marche vers l'unité, voire vers l'unité panarabe, si le niveau de vie général s'améliore, le bilan sera très positif.
NOTES
(1) j'ai entendu et vu Bertrand Delanoë narrer son émotion d'avoir vu "des gamins" tunisiens "qui ne voulaient qu'être chez eux dans leur pays" pourchassés ou tabassés, ou pire, par l'armée française; ces "gamins" étaient volontaires pour harceler l' "armée française", non les soldats de celle-ci; j'aurais pu être de ceux-ci, non de ceux-là;
(2) ce sont les Gwères, les "Gaulois" qui auraient pu, voire dû, siffler cet hymne qui est prétendument un des symboles de cette "république" au nom des valeurs de laquelle ils doivent se résigner à voir l' Europe devenir la colonie de peuplement de ses anciennes colonies ou de pays qui auraient pu en être.
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dimanche 20 février 2011
Arte Desinfo : Djézaïrolatrie, quand tu les tiens !
Au moment (seconde décade de février 2011) où la Djézaïrie
(= Algérie) démocratique et populaire semble modestement
gagnée par le prétendu "printemps (en hiver) arabe", il est
opportun de se souvenir de l'empathie de la c'Haine Arte
prétendument franco-allemande pour la Djézaïrie.
Arte Info du 9 août 2004 était présenté par Nathalie Georges .
L'édition de 18h45, relayée par le satellite Astra, ne semblait pas
devoir appeler d'observations particulières quant à la qualité de
l'information; il faut même relever que la séquence consacrée aux
manifestations hebdomadaires du lundi dans les Länder de l'ancienne
zone soviétique d'occupation en Allemagne, pour protester contre la
diminution de certaines aides sociales évoquait la récusation par
certains d'une comparaison entre les manifestations de 2004 et celles
de 1989, qui ont contribué à la chute du régime "antifasciste" de
Berlin-Est : les manifestants de 1989 risquaient l'arrestation (au
moins), les organisateurs de celles de 2004 ne risquent que de devenir
célèbres. Il me semble qu' Arte Info aurait pu évoquer le contexte
politique des manifestations de 2004 : l'appel de l'ancien président
du parti social-démocrate Oskar Lafontaine au retrait de Gerhard
Schröder, et son projet de soutenir un nouveau parti de gauche qui,
selon des enquêtes d'opinion, pourrait, avec Lafontaine comme tête de
liste, obtenir de 15 à 20 % des suffrages; ce n'est peut-être qu'une
question de manque de temps : la durée d'une émission d' Arte Info
est limitée à un quart d'heure.
L'édition de 19h45 comportait un ajout : un intello français devait
évoquer une image de Jeux Olympiques du passé récent; ce sont les Jeux
Olympiques de Barcelone, en 1992, qui furent choisies par notre
intello qui se pâmait d'admiration et peut-être d'amour, devant
l'image d' une athlète algérienne qui venait de se distinguer dans une
course et manifestait sa joie dans une pose plutôt inélégante, mais
qui réjouit fort notre intello qui y voit un défi aux "islamistes";
l'algérolâtrie de l' intellectuel sollicité par la chaîne encultureuse
s'exprimait ensuite dans l'évocation de photos ou de tableaux tirés de
photos illustrant des femmes algériennes.
La Djézaïrie démocratique et populaire fait fantasmer une partie
des tenants du pouvoir culturel.
On ne doit rien à l' Algérie et aux Algériens, sinon un minimum de
respect qui devrait se traduire par la récusation de l'imposteur qui
préside leur Etat, l'ignoble Bouteflika, que le sire de Bity (un
château du Limousin) a invité aux cérémonies commémoratives du
"débarquement de Provence" du 15 août 1944. Certains médiats et
autorités morales feront la promotion de l'idée d'une participation
algérienne à la "libération" du territoire français. Oui, dans une
certaine mesure, et à un certain niveau, les mondes politiques de la
Métropole et de l'Algérie ont connu quelque chose comme qui dirait une
"intégration" : des deux côtés de la Méditerranée, il y a eu des gens
qui ont fait le choix des vainqueurs, et d'autres celui des vaincus.
Le sieur Chevènement, qui aime tant, mais à sa façon, l'Algérie et les
Algériens, disait il y a quelques années qu'il se sentait plus proche
d'un Algérien (ou d'un Sénégalais ?) dont les ancêtres ont combattu
pour la "libération" de la France, que de tel ou tel ressortissant
d'un pays européen.
Il est curieux qu'un élu de Franche-Comté ne se souvienne pas de la
"Brigade Nord-Africaine", "les SS à Mohammed" comme on les appelait,
qui furent notamment en charge de la surveillance des usines de
Sochaux en 1944 pour le compte de la Waffen SS; la Brigade
Nord-Africaine avait pour chef militaire un certain Ouali, et pour
commissaire politique un dénommé Ben Ali Zoubib; sa principale caserne
est située à Neuilly-sur-Seine, au 21 avenue de Madrid. Après la
guerre, des survivants prendront, les uns, le parti de l'indépendance
de l'Algérie (L'Aurore, de Robert Lazurick, s'en prenait souvent à un
dignitaire FLN qui avait porté le casque allemand, et hantait les
couloirs de l'ONU pendant la guerre d'Algérie), les autres le parti
inverse, tel Amar Naroun, élu en 1948 dans le Constantinois, et qui
était un ami de l'hebdomadaire Rivarol.
(= Algérie) démocratique et populaire semble modestement
gagnée par le prétendu "printemps (en hiver) arabe", il est
opportun de se souvenir de l'empathie de la c'Haine Arte
prétendument franco-allemande pour la Djézaïrie.
Arte Info du 9 août 2004 était présenté par Nathalie Georges .
L'édition de 18h45, relayée par le satellite Astra, ne semblait pas
devoir appeler d'observations particulières quant à la qualité de
l'information; il faut même relever que la séquence consacrée aux
manifestations hebdomadaires du lundi dans les Länder de l'ancienne
zone soviétique d'occupation en Allemagne, pour protester contre la
diminution de certaines aides sociales évoquait la récusation par
certains d'une comparaison entre les manifestations de 2004 et celles
de 1989, qui ont contribué à la chute du régime "antifasciste" de
Berlin-Est : les manifestants de 1989 risquaient l'arrestation (au
moins), les organisateurs de celles de 2004 ne risquent que de devenir
célèbres. Il me semble qu' Arte Info aurait pu évoquer le contexte
politique des manifestations de 2004 : l'appel de l'ancien président
du parti social-démocrate Oskar Lafontaine au retrait de Gerhard
Schröder, et son projet de soutenir un nouveau parti de gauche qui,
selon des enquêtes d'opinion, pourrait, avec Lafontaine comme tête de
liste, obtenir de 15 à 20 % des suffrages; ce n'est peut-être qu'une
question de manque de temps : la durée d'une émission d' Arte Info
est limitée à un quart d'heure.
L'édition de 19h45 comportait un ajout : un intello français devait
évoquer une image de Jeux Olympiques du passé récent; ce sont les Jeux
Olympiques de Barcelone, en 1992, qui furent choisies par notre
intello qui se pâmait d'admiration et peut-être d'amour, devant
l'image d' une athlète algérienne qui venait de se distinguer dans une
course et manifestait sa joie dans une pose plutôt inélégante, mais
qui réjouit fort notre intello qui y voit un défi aux "islamistes";
l'algérolâtrie de l' intellectuel sollicité par la chaîne encultureuse
s'exprimait ensuite dans l'évocation de photos ou de tableaux tirés de
photos illustrant des femmes algériennes.
La Djézaïrie démocratique et populaire fait fantasmer une partie
des tenants du pouvoir culturel.
On ne doit rien à l' Algérie et aux Algériens, sinon un minimum de
respect qui devrait se traduire par la récusation de l'imposteur qui
préside leur Etat, l'ignoble Bouteflika, que le sire de Bity (un
château du Limousin) a invité aux cérémonies commémoratives du
"débarquement de Provence" du 15 août 1944. Certains médiats et
autorités morales feront la promotion de l'idée d'une participation
algérienne à la "libération" du territoire français. Oui, dans une
certaine mesure, et à un certain niveau, les mondes politiques de la
Métropole et de l'Algérie ont connu quelque chose comme qui dirait une
"intégration" : des deux côtés de la Méditerranée, il y a eu des gens
qui ont fait le choix des vainqueurs, et d'autres celui des vaincus.
Le sieur Chevènement, qui aime tant, mais à sa façon, l'Algérie et les
Algériens, disait il y a quelques années qu'il se sentait plus proche
d'un Algérien (ou d'un Sénégalais ?) dont les ancêtres ont combattu
pour la "libération" de la France, que de tel ou tel ressortissant
d'un pays européen.
Il est curieux qu'un élu de Franche-Comté ne se souvienne pas de la
"Brigade Nord-Africaine", "les SS à Mohammed" comme on les appelait,
qui furent notamment en charge de la surveillance des usines de
Sochaux en 1944 pour le compte de la Waffen SS; la Brigade
Nord-Africaine avait pour chef militaire un certain Ouali, et pour
commissaire politique un dénommé Ben Ali Zoubib; sa principale caserne
est située à Neuilly-sur-Seine, au 21 avenue de Madrid. Après la
guerre, des survivants prendront, les uns, le parti de l'indépendance
de l'Algérie (L'Aurore, de Robert Lazurick, s'en prenait souvent à un
dignitaire FLN qui avait porté le casque allemand, et hantait les
couloirs de l'ONU pendant la guerre d'Algérie), les autres le parti
inverse, tel Amar Naroun, élu en 1948 dans le Constantinois, et qui
était un ami de l'hebdomadaire Rivarol.
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Arte Desinfo : coassements politiquement corrects
Arte Journal a succédé à Arte Info.
Voici comment, en juillet 2004, Willian Irigoyen présentait
l'actualité sur Arte (Des)Info :
Voici comment, en juillet 2004, Willian Irigoyen présentait
l'actualité sur Arte (Des)Info :
Télé Arte ment, Télé Arte ment,
En français comme en allemand.
A faire téchouva, chaque jour elle nous invite,
Ce faisant, plus que notre mépris, elle mérite.
Le présentateur francophone d' Arte Info du 3 juillet 2004, William
Irigoyen, était très à son aise.
L'émission s'ouvrait sur la démission du ministre italien des
Finances, issu de Forza Italia, le parti fondé par Silvio Berlusconi,
qui est un des ennemis publics numéro un, ex aequo avec quelques
autres, de la chaîne encultureuse Arte.
Après les coassements anti-berlusconiens habituels, on eut droit à une
démolition de la politique du ministre démissionnaire.
Le plus significatif est venu un peu après. Arte Info expliquait que
cette démission était intervenue sous la pression d'un des partis de
la coalition gouvernementale. Lequel ? Selon Arte Info, il s'agit de
"l' Alliance Nationale, néo-fasciste".
A quoi donc a servi à Gianfranco Fini, vice-président du Conseil et
dirigeant de ce parti, d'aller faire ses dévotions dans l'antre de Yad
Vashem, de se séparer de la petite-fille du Duce, de faire des ronds
de jambe à Shimon Peres, de proposer le droit de vote des étrangers
non Européens ?
A rien : pour les talibans du Politiquement Correct qui sévissent à la
rédaction d'Arte, Fini et son parti sont à jamais des néo-fascistes,
quoi qu'ils fassent; aucun de leurs reniements n'y changera quoi que
ce soit.
Au cours de l'automne 2010, cependant, comme on attendait de
Gianfranco Fini qui s'était séparé du nouveau parti de Silvio
Berlusconi et avait fondé le sien propre (Futur et Liberté pour
l'Italie), certains comme Daniel Cohn-Bendit, ont paru considérer
qu'en provoquant la chute du gouvenement Berlusconi, Gianfrano
pouvait faire un pas de plus vers une respectabilité historique.
Fort heureusement, il n'en a rien été et Il Cavaliere a une
nouvelle fois franchi l'obstacle à la frustration de Gianfranco
Fini.
Ce faisant, Arte se situe, en matière de monomanie antifasciste,
au-delà des anciens communistes italiens.
En 2000, lors de la grande campagne hystérique contre la
participation au gouvernement autrichien du Parti libéral FPÖ de Jörg
Haider, le gouvernement italien était dirigé par Massimo d'Alema, un
ancien communiste. Le Chancelier autrichien, Wolfgang Schüssel, un
démocrate-chrétien, défendant son droit de gouverner son pays avec qui
lui convenait, rappelait qu'en 1994, le parti de Gianfranco Fini avait
participé au gouvernement italien, sans que l'Italie soit frappée des
sanctions appliquées six ans plus tard à l'Autriche.
Massimo d'Alema avait alors protesté, alléguant qu'Alleanza Nazionale
n'avait plus rien à voir avec le fascisme, néo ou paléo, ou un
quelconque extrêmisme.
La ch'Haine Arte est plus enragée que les anciens communistes
italiens : pour elle, un ex-communiste est bel et bien un ex-communiste :
plus aucune filiation avec Staline, les répressions de Berlin-Est,
de Poznan, de Budapest ou de Prague ne saurait entâcher l'honorabilité
d'un parti issu d'un parti communiste qui a changé de nom, et sa
vocation à gouverner. Par contre, pour la chaîne encultureuse, anciens
ou néo-fascistes sont, et seront à jamais, des fascistes, des
extrêmistes de droite, même si, dès 1979, ils ont voté pour porter
Simone Veil à la présidence du premier Parlement européen élu au
suffrage universel direct.
"Si la vérité n'est pas libre, la liberté n'est pas vraie" (Jacques Prévert)
En français comme en allemand.
A faire téchouva, chaque jour elle nous invite,
Ce faisant, plus que notre mépris, elle mérite.
Le présentateur francophone d' Arte Info du 3 juillet 2004, William
Irigoyen, était très à son aise.
L'émission s'ouvrait sur la démission du ministre italien des
Finances, issu de Forza Italia, le parti fondé par Silvio Berlusconi,
qui est un des ennemis publics numéro un, ex aequo avec quelques
autres, de la chaîne encultureuse Arte.
Après les coassements anti-berlusconiens habituels, on eut droit à une
démolition de la politique du ministre démissionnaire.
Le plus significatif est venu un peu après. Arte Info expliquait que
cette démission était intervenue sous la pression d'un des partis de
la coalition gouvernementale. Lequel ? Selon Arte Info, il s'agit de
"l' Alliance Nationale, néo-fasciste".
A quoi donc a servi à Gianfranco Fini, vice-président du Conseil et
dirigeant de ce parti, d'aller faire ses dévotions dans l'antre de Yad
Vashem, de se séparer de la petite-fille du Duce, de faire des ronds
de jambe à Shimon Peres, de proposer le droit de vote des étrangers
non Européens ?
A rien : pour les talibans du Politiquement Correct qui sévissent à la
rédaction d'Arte, Fini et son parti sont à jamais des néo-fascistes,
quoi qu'ils fassent; aucun de leurs reniements n'y changera quoi que
ce soit.
Au cours de l'automne 2010, cependant, comme on attendait de
Gianfranco Fini qui s'était séparé du nouveau parti de Silvio
Berlusconi et avait fondé le sien propre (Futur et Liberté pour
l'Italie), certains comme Daniel Cohn-Bendit, ont paru considérer
qu'en provoquant la chute du gouvenement Berlusconi, Gianfrano
pouvait faire un pas de plus vers une respectabilité historique.
Fort heureusement, il n'en a rien été et Il Cavaliere a une
nouvelle fois franchi l'obstacle à la frustration de Gianfranco
Fini.
Ce faisant, Arte se situe, en matière de monomanie antifasciste,
au-delà des anciens communistes italiens.
En 2000, lors de la grande campagne hystérique contre la
participation au gouvernement autrichien du Parti libéral FPÖ de Jörg
Haider, le gouvernement italien était dirigé par Massimo d'Alema, un
ancien communiste. Le Chancelier autrichien, Wolfgang Schüssel, un
démocrate-chrétien, défendant son droit de gouverner son pays avec qui
lui convenait, rappelait qu'en 1994, le parti de Gianfranco Fini avait
participé au gouvernement italien, sans que l'Italie soit frappée des
sanctions appliquées six ans plus tard à l'Autriche.
Massimo d'Alema avait alors protesté, alléguant qu'Alleanza Nazionale
n'avait plus rien à voir avec le fascisme, néo ou paléo, ou un
quelconque extrêmisme.
La ch'Haine Arte est plus enragée que les anciens communistes
italiens : pour elle, un ex-communiste est bel et bien un ex-communiste :
plus aucune filiation avec Staline, les répressions de Berlin-Est,
de Poznan, de Budapest ou de Prague ne saurait entâcher l'honorabilité
d'un parti issu d'un parti communiste qui a changé de nom, et sa
vocation à gouverner. Par contre, pour la chaîne encultureuse, anciens
ou néo-fascistes sont, et seront à jamais, des fascistes, des
extrêmistes de droite, même si, dès 1979, ils ont voté pour porter
Simone Veil à la présidence du premier Parlement européen élu au
suffrage universel direct.
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Étampes, France
samedi 19 février 2011
Arte Desinfo : carton jaune à William Irigoyen
Arte Info a été remplacé par Arte Journal, présenté par les mêmes,
à d'autres heures. Voici ce qu'on pouvait dire d'Arte (Des)Info en
2009 :
Le présentateur de l'édition vespérale d'Arte (Des)Info une semaine
sur deux, William Irigoyen, a la mauvaise habitude, pour un
présentateur d'une chaîne prétendument franco-allemande, de se situer
d'un point de vue stato-national : il dit "nos voisins", "notre
voisine" pour se référer aux résidents de l'Allemagne et à l'espace
géographique qui porte ce nom. Ce travers ne se retrouve pas chez
l'autre présentateur de l'édition du soir Jürgen Biehle.
Ce travers de langage est une broutille en comparaison de l'engagement
politique de la chaîne : shoacentrisme, immigrolâtrie, culpabilisation
des Européens, promotion des gauches sociétales et dévalorisation
ou diabolisation de leurs adversaires, qui s'exprime par la voix des
présentateurs d'Arte (Des)Info au premier rang desquels William
Irigoyen.
à d'autres heures. Voici ce qu'on pouvait dire d'Arte (Des)Info en
2009 :
Le présentateur de l'édition vespérale d'Arte (Des)Info une semaine
sur deux, William Irigoyen, a la mauvaise habitude, pour un
présentateur d'une chaîne prétendument franco-allemande, de se situer
d'un point de vue stato-national : il dit "nos voisins", "notre
voisine" pour se référer aux résidents de l'Allemagne et à l'espace
géographique qui porte ce nom. Ce travers ne se retrouve pas chez
l'autre présentateur de l'édition du soir Jürgen Biehle.
Ce travers de langage est une broutille en comparaison de l'engagement
politique de la chaîne : shoacentrisme, immigrolâtrie, culpabilisation
des Européens, promotion des gauches sociétales et dévalorisation
ou diabolisation de leurs adversaires, qui s'exprime par la voix des
présentateurs d'Arte (Des)Info au premier rang desquels William
Irigoyen.
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vendredi 18 février 2011
Arte Desinfo : Lindon l'histrion
AVERTISSEMENT
Ce message est rédigé et envoyé depuis le territoire de ce qu'il
convenu d'appeler la république française sur lequel s'applique
la loi 90-615 du 13 juillet 1990, dite loi Fabius-Rocard-Gayssot,
qui a supprimé la liberté de recherche historique, fortement restreint
les libertés d'opinion et d'expression, suscité une Milice Zélote de la
Pensée qui interdit toute revisitation de certains aspects de la
guerre 5699 – 5705 du calendrier hébraïque. L'auteur du message est
soumis malgré lui aux contraintes posées par cette loi à l'abolition
de laquelle il a à coeur d'apporter sa pierre.
---------------------------------------------------------------------------------------------------------
Février 2009
Sur Arte (Des)Info, la parole était donnée à un histrion nommé
Lindon, de la race des signeurs de pétitions (est-il apparenté au sinistre
éditeur des Editions de Minuit ?). Lindon a fait un film qui met en scène un
"jeune Kurde", sa dulcinée qui a franchi la Manche, un type qui
apprend la natation au "jeune Kurde", et apporte une aide au séjour
irrégulier de l'intéressé dans ce qu'il est convenu d'appeler la
république vrôôônsaise.
Cette apologie des lobbies immigrationniste "représente" (sic)
la Vrôôônce à un festival cinématographique qui s'est tenu
à Berlin en février 2009.
Et Lindon d'exprimer son "indignation" : aujourd'hui, en
Vrôôônce, on peut être poursuivi pour avoir caché, ou aidé
au séjour irrégulier d'un clandestin, c'est-à-dire de quelqu'un
qui s'est introduit et se maintient par la force sur le territoire
du pays. Et notre histrion de comparer audacieusement
cette situation à celle des premières années du 58ème
siècle du calendrier hébraïque : la non assistance en
5702 ou 5703 de ce calendrier, à un "Juif" qui risquait
d'atterrir à Drancy.
Un clandestion aidé, Monsieur Lindon, une personne
dont on permet la prolongation du séjour irrégulier
(jusqu'à ce qu'elle soit régularisée), ou dont on
entrave le refoulement, empêche l'expulsion,
c'est une personne qu'on aura ensuite, le prétendu
"devoir" d'intégrer.
Sans papier aujourd'hui,
Régularisé demain,
C'est le voisin qu'on vous imposera après-demain.
M. Lindon et ses amis sont généreux avec ce qui n'est pas
à eux : la politique d'intégration, tout le monde la paie :
par les impôts, par une moindre part du marché de
l'emploi et de l'habitat qu'il faut se partager entre
autochtones et personnes issues de flux migratoires
plus anciens etc...
Les Kurdes sans papiers chez Lindon !
Ce message est rédigé et envoyé depuis le territoire de ce qu'il
convenu d'appeler la république française sur lequel s'applique
la loi 90-615 du 13 juillet 1990, dite loi Fabius-Rocard-Gayssot,
qui a supprimé la liberté de recherche historique, fortement restreint
les libertés d'opinion et d'expression, suscité une Milice Zélote de la
Pensée qui interdit toute revisitation de certains aspects de la
guerre 5699 – 5705 du calendrier hébraïque. L'auteur du message est
soumis malgré lui aux contraintes posées par cette loi à l'abolition
de laquelle il a à coeur d'apporter sa pierre.
---------------------------------------------------------------------------------------------------------
Février 2009
Sur Arte (Des)Info, la parole était donnée à un histrion nommé
Lindon, de la race des signeurs de pétitions (est-il apparenté au sinistre
éditeur des Editions de Minuit ?). Lindon a fait un film qui met en scène un
"jeune Kurde", sa dulcinée qui a franchi la Manche, un type qui
apprend la natation au "jeune Kurde", et apporte une aide au séjour
irrégulier de l'intéressé dans ce qu'il est convenu d'appeler la
république vrôôônsaise.
Cette apologie des lobbies immigrationniste "représente" (sic)
la Vrôôônce à un festival cinématographique qui s'est tenu
à Berlin en février 2009.
Et Lindon d'exprimer son "indignation" : aujourd'hui, en
Vrôôônce, on peut être poursuivi pour avoir caché, ou aidé
au séjour irrégulier d'un clandestin, c'est-à-dire de quelqu'un
qui s'est introduit et se maintient par la force sur le territoire
du pays. Et notre histrion de comparer audacieusement
cette situation à celle des premières années du 58ème
siècle du calendrier hébraïque : la non assistance en
5702 ou 5703 de ce calendrier, à un "Juif" qui risquait
d'atterrir à Drancy.
Un clandestion aidé, Monsieur Lindon, une personne
dont on permet la prolongation du séjour irrégulier
(jusqu'à ce qu'elle soit régularisée), ou dont on
entrave le refoulement, empêche l'expulsion,
c'est une personne qu'on aura ensuite, le prétendu
"devoir" d'intégrer.
Sans papier aujourd'hui,
Régularisé demain,
C'est le voisin qu'on vous imposera après-demain.
M. Lindon et ses amis sont généreux avec ce qui n'est pas
à eux : la politique d'intégration, tout le monde la paie :
par les impôts, par une moindre part du marché de
l'emploi et de l'habitat qu'il faut se partager entre
autochtones et personnes issues de flux migratoires
plus anciens etc...
Les Kurdes sans papiers chez Lindon !
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Pays/territoire :
Étampes, France
jeudi 17 février 2011
Arte Desinfo : la Mémouare et l'amnésie (le cas de Dresde 1945)
Arte Info a pris le nom d'Arte Journal.
Voici comment, en 2006, la c'Haine prétendument franco-allemande
présentait l'actualité à 2 jours de l' anniversaire du massacre de Dresde
par les futurs vainqueurs de la Seconde Guerre Mondiale.
Arte "Info" du samedi 11 février 2006 était présenté par le très
militant William Irigoyen
En cet anniversaire des criminels bombardements des
futurs vainqueurs sur Dresde, on aurait pu s'attendre à ce que la
chaîne prétendument franco-allemande (dont le coeur est ailleurs...)
ouvre son émission d'information sur le rappel de ce crime. Eh bien,
pas du tout : Arte "Info" nous emmène d'abord à Jérusalem (si je
t'oublie, Jérusalem...). Fort heureusement, il ne s'agissait pas d'une
énième représentation publique de dirigeants européens faisant
allégeance à [autocensuré pour cause de loi Fabius-Gayssot du 13
juillet 1990] dans l'antre hiérosolomitain de Yad Vashem, comme
Angela Merkel et son ministre des Affaires Etrangères ont dû
s'y prêter à 14 jours d'intervalle, mais de la santé du Premier ministre.
Il s'agissait d' Ariel Sharon. Les nouvelles ne sont pas trop alarmantes.
Tant mieux. On peut passer à autre chose.
Le souvenir de la destruction et des massacres du 13 février 1945 est
indirectement évoqué en fin d'émission. Pour Arte "Info", l'évènement,
ce n'est pas le souvenir du crime allié, mais que des
manifestants, immédiatement qualifiés par Arte "Info" de néo-nazis,
ou de gens d'extrême-droite, aient osé descendre dans la rue pour
rappeler le 13 février d'il y 61 ans. Arte "Info" se rassurait en
annonçant la présence de contre-manifestants dont des "gens de
Dresde" et des défenseurs de la "démocratie". En démocratie, selon
Arte "Info" , toutes les mémoires ne se valent pas. Le premier
commandement du Décalogue médiatique dans ce type de démocrassie,
c'est "Tu n'auras pas d'autre Mémouare que celle dont le haut-lieu est
à Yad Vashem; elle est incomparable"
"Si la vérité n'est pas libre, la liberté n'est pas vraie" (Jacques Prévert)
Voici comment, en 2006, la c'Haine prétendument franco-allemande
présentait l'actualité à 2 jours de l' anniversaire du massacre de Dresde
par les futurs vainqueurs de la Seconde Guerre Mondiale.
Arte "Info" du samedi 11 février 2006 était présenté par le très
militant William Irigoyen
En cet anniversaire des criminels bombardements des
futurs vainqueurs sur Dresde, on aurait pu s'attendre à ce que la
chaîne prétendument franco-allemande (dont le coeur est ailleurs...)
ouvre son émission d'information sur le rappel de ce crime. Eh bien,
pas du tout : Arte "Info" nous emmène d'abord à Jérusalem (si je
t'oublie, Jérusalem...). Fort heureusement, il ne s'agissait pas d'une
énième représentation publique de dirigeants européens faisant
allégeance à [autocensuré pour cause de loi Fabius-Gayssot du 13
juillet 1990] dans l'antre hiérosolomitain de Yad Vashem, comme
Angela Merkel et son ministre des Affaires Etrangères ont dû
s'y prêter à 14 jours d'intervalle, mais de la santé du Premier ministre.
Il s'agissait d' Ariel Sharon. Les nouvelles ne sont pas trop alarmantes.
Tant mieux. On peut passer à autre chose.
Le souvenir de la destruction et des massacres du 13 février 1945 est
indirectement évoqué en fin d'émission. Pour Arte "Info", l'évènement,
ce n'est pas le souvenir du crime allié, mais que des
manifestants, immédiatement qualifiés par Arte "Info" de néo-nazis,
ou de gens d'extrême-droite, aient osé descendre dans la rue pour
rappeler le 13 février d'il y 61 ans. Arte "Info" se rassurait en
annonçant la présence de contre-manifestants dont des "gens de
Dresde" et des défenseurs de la "démocratie". En démocratie, selon
Arte "Info" , toutes les mémoires ne se valent pas. Le premier
commandement du Décalogue médiatique dans ce type de démocrassie,
c'est "Tu n'auras pas d'autre Mémouare que celle dont le haut-lieu est
à Yad Vashem; elle est incomparable"
"Si la vérité n'est pas libre, la liberté n'est pas vraie" (Jacques Prévert)
mercredi 16 février 2011
Pour ne pas oublier : l'odyssée du Cap Anamur sur Arte (juillet 2004)
La présentatrice d'Arte Info de ce jour, mardi 6 juillet 2004, est
Nathalie George(s).
Son patron, Gérard Saint-Paul, chef de la rédaction, est parvenu à
faire d'une pierre, deux coups : avec un seul sujet, réaffirmer deux
obsessions de la chaîne encultureuse Arte : la malfaisance du
gouvernement Berlusconi, et le droit des peuples des anciennes
colonies à faire de l'Europe leur colonie de peuplement.
Le sujet a trait à l'odyssée d'un cargo battant pavillon allemand, qui
serait affrêté par une organisation non gouvernementale, naviguant en
Méditerranée. Ce navire a recueilli des Africains qui prétendent venir
de la région du Darfour dans l'est du Soudan. Si cette prétention
correspond à une réalité, ils ont dû transiter par un pays ayant une
façade maritime. Au lieu de ramener ces Africains sur les côtes d'où
ils se sont embarqués dans l'intention d'entrer en Europe, le Cap
Anamur tente de les imposer à l' Italie.
Evidemment, les autorités italiennes refusent de laisser le navire
entrer dans leurs eaux territoriales pour y débarquer ses passagers
illégaux qu' on-n'a-pas-le-droit-d'appeler-des-envahisseurs.
Indignation du capitaine du Cap Anamur : "je devrais pouvoir débarquer
dans n'importe quel port européen sans que les autorités s'en mêlent";
comme le Cap Anamur ne s'éloigne pas, des vedettes s'approchent et un
avion de reconnaissance survole le navire : nouveau cri d'indignation
du capitaine qu'on ne savait pas si chatouilleux sur les questions de
droit : "nous sommes pourtant encore dans les eaux internationales !"
les gardes-côtes italiens se tenant prêts à intervenir en cas
d'approche du Cap Anamur, le capitaine expose sa doctrine en matière
de colonisation de peuplement de l' Europe par d'anciennes colonies :
"c'est une réaction totalement inadéquate à un problème humanitaire";
autrement dit : la politique d'immigration doit être déléguée aux
organisations non gouvernementales à prétention humanitaire.
A aucun moment, Arte n'envisage que le Cap Anamur puisse et doive
reconduire ces Africains candidats à l'immigration en Europe sur les
côtes d'où ils se sont embarqués : les populations de ce qu'on a
appelé naguère le Tiers-Monde ont un droit imprescriptible à venir
faire de l' Europe leur colonie de peuplement; c'est le message qu'
Arte, avec l'argent des télespectateurs français et allemands qui
acquittent une redevance, entend faire passer auprès du public.
In fine, Arte rassure son public : les gouvernements italien et
allemand seraient en discussion pour que le Cap Anamur puisse
débarquer ses passagers en Italie, ou à Malte; le chantage à habillage
humanitaire aura donc payé, un précédent aura été créé, et vous aurez
peut-être le privilège de croiser dans vos rues, dans vos quartiers,
ces gens entrés de force (mais il est interdit de les qualifier
d'envahisseurs sous peine de poursuites pour incitation à la haine
raciale, à la discrimination etc... en vertu des lois de la
ripoublique française) chez nous : tant Malte que l' Italie
appartiennent à l' Union européenne, n'est-ce pas ?
Télé Arte ment, Télé Arte ment,
En français comme en allemand.
A faire téchouva, chaque jour elle nous invite,
Ce faisant, plus que notre mépris, elle mérite.
"Si la vérité n'est pas libre, la liberté n'est pas vraie" (Jacques Prévert)
Nathalie George(s).
Son patron, Gérard Saint-Paul, chef de la rédaction, est parvenu à
faire d'une pierre, deux coups : avec un seul sujet, réaffirmer deux
obsessions de la chaîne encultureuse Arte : la malfaisance du
gouvernement Berlusconi, et le droit des peuples des anciennes
colonies à faire de l'Europe leur colonie de peuplement.
Le sujet a trait à l'odyssée d'un cargo battant pavillon allemand, qui
serait affrêté par une organisation non gouvernementale, naviguant en
Méditerranée. Ce navire a recueilli des Africains qui prétendent venir
de la région du Darfour dans l'est du Soudan. Si cette prétention
correspond à une réalité, ils ont dû transiter par un pays ayant une
façade maritime. Au lieu de ramener ces Africains sur les côtes d'où
ils se sont embarqués dans l'intention d'entrer en Europe, le Cap
Anamur tente de les imposer à l' Italie.
Evidemment, les autorités italiennes refusent de laisser le navire
entrer dans leurs eaux territoriales pour y débarquer ses passagers
illégaux qu' on-n'a-pas-le-droit-d'appeler-des-envahisseurs.
Indignation du capitaine du Cap Anamur : "je devrais pouvoir débarquer
dans n'importe quel port européen sans que les autorités s'en mêlent";
comme le Cap Anamur ne s'éloigne pas, des vedettes s'approchent et un
avion de reconnaissance survole le navire : nouveau cri d'indignation
du capitaine qu'on ne savait pas si chatouilleux sur les questions de
droit : "nous sommes pourtant encore dans les eaux internationales !"
les gardes-côtes italiens se tenant prêts à intervenir en cas
d'approche du Cap Anamur, le capitaine expose sa doctrine en matière
de colonisation de peuplement de l' Europe par d'anciennes colonies :
"c'est une réaction totalement inadéquate à un problème humanitaire";
autrement dit : la politique d'immigration doit être déléguée aux
organisations non gouvernementales à prétention humanitaire.
A aucun moment, Arte n'envisage que le Cap Anamur puisse et doive
reconduire ces Africains candidats à l'immigration en Europe sur les
côtes d'où ils se sont embarqués : les populations de ce qu'on a
appelé naguère le Tiers-Monde ont un droit imprescriptible à venir
faire de l' Europe leur colonie de peuplement; c'est le message qu'
Arte, avec l'argent des télespectateurs français et allemands qui
acquittent une redevance, entend faire passer auprès du public.
In fine, Arte rassure son public : les gouvernements italien et
allemand seraient en discussion pour que le Cap Anamur puisse
débarquer ses passagers en Italie, ou à Malte; le chantage à habillage
humanitaire aura donc payé, un précédent aura été créé, et vous aurez
peut-être le privilège de croiser dans vos rues, dans vos quartiers,
ces gens entrés de force (mais il est interdit de les qualifier
d'envahisseurs sous peine de poursuites pour incitation à la haine
raciale, à la discrimination etc... en vertu des lois de la
ripoublique française) chez nous : tant Malte que l' Italie
appartiennent à l' Union européenne, n'est-ce pas ?
Télé Arte ment, Télé Arte ment,
En français comme en allemand.
A faire téchouva, chaque jour elle nous invite,
Ce faisant, plus que notre mépris, elle mérite.
"Si la vérité n'est pas libre, la liberté n'est pas vraie" (Jacques Prévert)
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Pays/territoire :
Étampes, France
21 février 2009 : mort sans importance à La Courneuve ?
Un casting familier : un mort, quelques personnes issues de
l'immigration, du sous-continent indien en l'occurence, un policier.
Le soir même du 21 février 2009 où un policier de trente-trois ans a
été assassiné à La Courneuve, l'ayatollah de la correction politique
Edwy Plenel pérorait sur France Culture (tribune d'une partie des
oppositions sur le service public de radio) dans son émission "Ligne
de fuite" (chaque samedi un peu avant 18h00). L'ancien compagnon de
route d' Alain Krivine et ancien membre de la direction du journal Le
Monde interpellait les auditeurs en leur demandant d'imaginer ce qui
se passerait si les troubles en cours à La Guadeloupe avaient lieu
dans un département de ce que j'appelle la France d'Europe. Le fils de
l'ancien vice-recteur des Antilles, élevé aux Antilles puis éduqué
dans l' Algérie du FLN exhalait son infatuation des anciens pays
colonisés et appelait...à l'imagination de ses auditeurs.
Alors, j'ai imaginé...En appliquant mon imagination à la tragédie de
La Courneuve. Si le mort avait été un des originaires du sous-
continent indien (Pakistanais, ou Sri Lankais, on ne sait plus), et si
le policier avait été à l'origine de cette mort, la thèse de
l'accident n'aurait pas convaincu les élus de La Courneuve, le milieu
associatif antiraciste local, la famille de la "victime",
indépendamment de ses antécédents éventuels. La Courneuve aurait été
le théâtre d'une "marche" de solidarité avec le mort, avec le gratin
du prétendu antiracisme. Les stations de radio et de télévision (je
pense surtout à Arte (Des)Info, la "chaîne de la diversité" à
financement, mais à financement seulement.. franco-allemand, à France
Culture) auraient consacré de longs développements à cette...bavure
policière, et une évocation de l'intoxication éventuelle à l'alcool de
la victime aurait été jugée indécente. La victime aurait pu avoir
trente-cinq ans ou plus, elle aurait été "un jeune". Et puis, le
classique "deus ex machina" se serait peut être manifesté : le
vidéaste amateur dont Mme Matausch (sur France quelque chose) ou le
très engagé William Irigoyen sur Arte (Des)Info nous aurait annoncé
avec gourmandise que son film vidéo infirmait, bien sûr, la version
du, ou des policiers.
Une question : ces gens qui ont été interpellés étaient-ils tous en
situation de séjour régulier, et notamment l'assassin ? Si la réponse
était négative, le fonctionnaire assassiné serait d'abord une victime
des associations du type Réseau Education Sans Frontières, CIMADE,
CCFD, SOS Racisme etc..., des collectifs qui s'opposent à, et
entravent partout les débuts de commencements de velléités de
résistance à la colonisation de peuplement de l'Europe par ses
anciennes colonies ou des pays qui auraient pu en être.
Mai dimenticare l'infamia dei nemici dell'Europa
l'immigration, du sous-continent indien en l'occurence, un policier.
Le soir même du 21 février 2009 où un policier de trente-trois ans a
été assassiné à La Courneuve, l'ayatollah de la correction politique
Edwy Plenel pérorait sur France Culture (tribune d'une partie des
oppositions sur le service public de radio) dans son émission "Ligne
de fuite" (chaque samedi un peu avant 18h00). L'ancien compagnon de
route d' Alain Krivine et ancien membre de la direction du journal Le
Monde interpellait les auditeurs en leur demandant d'imaginer ce qui
se passerait si les troubles en cours à La Guadeloupe avaient lieu
dans un département de ce que j'appelle la France d'Europe. Le fils de
l'ancien vice-recteur des Antilles, élevé aux Antilles puis éduqué
dans l' Algérie du FLN exhalait son infatuation des anciens pays
colonisés et appelait...à l'imagination de ses auditeurs.
Alors, j'ai imaginé...En appliquant mon imagination à la tragédie de
La Courneuve. Si le mort avait été un des originaires du sous-
continent indien (Pakistanais, ou Sri Lankais, on ne sait plus), et si
le policier avait été à l'origine de cette mort, la thèse de
l'accident n'aurait pas convaincu les élus de La Courneuve, le milieu
associatif antiraciste local, la famille de la "victime",
indépendamment de ses antécédents éventuels. La Courneuve aurait été
le théâtre d'une "marche" de solidarité avec le mort, avec le gratin
du prétendu antiracisme. Les stations de radio et de télévision (je
pense surtout à Arte (Des)Info, la "chaîne de la diversité" à
financement, mais à financement seulement.. franco-allemand, à France
Culture) auraient consacré de longs développements à cette...bavure
policière, et une évocation de l'intoxication éventuelle à l'alcool de
la victime aurait été jugée indécente. La victime aurait pu avoir
trente-cinq ans ou plus, elle aurait été "un jeune". Et puis, le
classique "deus ex machina" se serait peut être manifesté : le
vidéaste amateur dont Mme Matausch (sur France quelque chose) ou le
très engagé William Irigoyen sur Arte (Des)Info nous aurait annoncé
avec gourmandise que son film vidéo infirmait, bien sûr, la version
du, ou des policiers.
Une question : ces gens qui ont été interpellés étaient-ils tous en
situation de séjour régulier, et notamment l'assassin ? Si la réponse
était négative, le fonctionnaire assassiné serait d'abord une victime
des associations du type Réseau Education Sans Frontières, CIMADE,
CCFD, SOS Racisme etc..., des collectifs qui s'opposent à, et
entravent partout les débuts de commencements de velléités de
résistance à la colonisation de peuplement de l'Europe par ses
anciennes colonies ou des pays qui auraient pu en être.
Mai dimenticare l'infamia dei nemici dell'Europa
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Étampes, France
Arte Desinfo : déception sarde pour la c'haine culturelle (février 2009)
La "chaîne de la Diversité" à financement franco-allemand s'est
notoirement intéressée à ce qu'on appelle les élections
administratives en Sardaigne. La présidence de cette région était
assurée par les amis politiques des directeurs de conscience de la
"chaîne de la Diversité". Arte (Des)Info exprimait son espoir qu'une
reconduction du co-fondateur de Tiscali, candidat de la gôche,
permettrait à celui-ci de s'imposer en rival dangereux pour Silvio
Berlusconi qui est un des "satans" d' Arte.
La "chaîne de la Diversité" hait Silvio Berlusconi qui a commis aux
yeux de ses directeurs de conscience deux péchés irrémissibles :
1) avoir, 51 ans après la chute du fascisme, sorti de la léproserie
politique dans laquelle il était confiné depuis 1946 par les
fusilleurs de 1943 à 1945 le parti qui se reconnaissait dans le
refus de l'armistice conclu en 1943 entre le Maréchal Badoglio et
les futurs vainqueurs de la guerre; ce parti a fait du chemin depuis
lors : son animateur Gianfranco Fini (pour moi, Gianfranco, c'est
fini !) est allé faire, kippa vissée sur la tête, allégeance au Mémorial
hiérosolomitain de Yad Vashem;
2) gouverner avec la Lega Nord, le parti européen qui refuse
la colonisation de peuplement de l'Europe par ses anciennes
colonies et le "sud" du monde en général.
en général.
A ces deux péchés mortels selon Arte s'ajoutent d'autres crimes : la
majorité de centre-droit est opposée à la légalisation de l'euthanasie
et au mariage proprement dit entre personnes du
même sexe, cause pour laquelle s'est croisé un des présentateurs
masculins d' Arte Culture.
Ce sont des questions controversées, mais les choix du gouvernement
Berlusconi n'empêchent pas, que je sache, deux personnes de même sexe
de vivre en couple, et les dérives possibles d'une légalisation de
l'euthanasie ne sont pas pris en compte par la "chaîne de la
Diversité" qui ignore la diversité des points de vue sur ce qui touche
à ses dogmes : shoacentrisme, primat du culte yad-vashémite,
xénolâtrie, racisme anti-leucoderme, repentance européenne etc...
Les partis de la majorité de Silvio Berlusconi ont gagné la présidence
de la Sardaigne. Arte est déçue. C'est bon signe.
W Sardegna !
notoirement intéressée à ce qu'on appelle les élections
administratives en Sardaigne. La présidence de cette région était
assurée par les amis politiques des directeurs de conscience de la
"chaîne de la Diversité". Arte (Des)Info exprimait son espoir qu'une
reconduction du co-fondateur de Tiscali, candidat de la gôche,
permettrait à celui-ci de s'imposer en rival dangereux pour Silvio
Berlusconi qui est un des "satans" d' Arte.
La "chaîne de la Diversité" hait Silvio Berlusconi qui a commis aux
yeux de ses directeurs de conscience deux péchés irrémissibles :
1) avoir, 51 ans après la chute du fascisme, sorti de la léproserie
politique dans laquelle il était confiné depuis 1946 par les
fusilleurs de 1943 à 1945 le parti qui se reconnaissait dans le
refus de l'armistice conclu en 1943 entre le Maréchal Badoglio et
les futurs vainqueurs de la guerre; ce parti a fait du chemin depuis
lors : son animateur Gianfranco Fini (pour moi, Gianfranco, c'est
fini !) est allé faire, kippa vissée sur la tête, allégeance au Mémorial
hiérosolomitain de Yad Vashem;
2) gouverner avec la Lega Nord, le parti européen qui refuse
la colonisation de peuplement de l'Europe par ses anciennes
colonies et le "sud" du monde en général.
en général.
A ces deux péchés mortels selon Arte s'ajoutent d'autres crimes : la
majorité de centre-droit est opposée à la légalisation de l'euthanasie
et au mariage proprement dit entre personnes du
même sexe, cause pour laquelle s'est croisé un des présentateurs
masculins d' Arte Culture.
Ce sont des questions controversées, mais les choix du gouvernement
Berlusconi n'empêchent pas, que je sache, deux personnes de même sexe
de vivre en couple, et les dérives possibles d'une légalisation de
l'euthanasie ne sont pas pris en compte par la "chaîne de la
Diversité" qui ignore la diversité des points de vue sur ce qui touche
à ses dogmes : shoacentrisme, primat du culte yad-vashémite,
xénolâtrie, racisme anti-leucoderme, repentance européenne etc...
Les partis de la majorité de Silvio Berlusconi ont gagné la présidence
de la Sardaigne. Arte est déçue. C'est bon signe.
W Sardegna !
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Sardaigne,
shoacentrisme
Pays/territoire :
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Arte Desinfo : du Cap Anamur à Lampedusa, en passant par Berlin
La récente (mi-février 2011) arrivée massive de prétendus réfugiés
tunisiens sur l'île de Lampedusa et son traitement médiatique rappellent
dans une certaine mesute le traitement accordé par la chaîne Arte à
l'affaire du Cap Anamur durant l'été 2004.
Pourquoi parler d' Arte Desinfo ?
L'explication ci-après est dédiée aux visiteurs anglophones de ces pages.
Through "Arte Desinfo", we expose the exercises in mesinformation and
desinformation of the TV channel Arte.
This so-called "cultural" channel is funded with the money of German
and French tax-payers.
Our money is used to spread a guilt culture among the European public
:
1) obsession about what is called the Shoah to which Arte gives a
central position in History and in its political analysis;
2) extreme pro-immigration stand : the rest of the world should be
free to settle in Europe, especially people coming from countries
which have been, or could have been under the colonial rule of a
European country;
3) misuse of the notion of racism : any attempt to resist the flux of
non European immigration to our countries is labelled "racist";
4) political conditioning through semantics : left-wing parties are
called by their names : socialists, social-democrats, greens and so
on; their nominal opponents are all put in the same bag with the label
"conservatives"; their real opponents are demonized as "populists", or
"far-right.
================================================== =============
Simone von Stosch présentait Arte Info du 12 juillet 2004
Selon Arte Info, le 37 "boat people" recueillis par Cap Anamur (et non
reconduits par celui-ci vers leur port de départ) ont été autorisés à
débarquer en Sicile, et non en Italie continentale, comme précedemment
annoncé. Les lobbies à couverture humanitaire et Arte entretiennent
toujours l'incertitude sur la provenance de ces Africains : "la
plupart" viendraient du Darfour, contrée sans façade maritime; ils ont
bien dû transiter par un pays africain tiers où Cap Anamur aurait pu
les reconduire, puisqu'il paraît qu'ils avaient fait naufrage. Le but
de toute cette affaire était de créer un gros coup médiatique et un
précédent, et si possible un précédent mettant l'actuel gouvernement
italien, véritable bête noire de certains médiats, dont Arte au
premier rang, en difficulté. La subversion humanitaire a remporté la
victoire : les 37 ont pu débarquer sur le territoire italien. C'est un
signal que d'autres auront bien reçu. Gageons que la Méditerranée va
connaître une augmentation de candidats au naufrage, naviguant du sud
vers le nord, et que des bâteaux affrêtés par des organisations
privées dites ONG, silloneront la mer pour les recueillir, si
toutefois ils ne se donnent pas rendez-vous. C'est plus pratique ! Des
pressions seront exercées sur les pays de la rive nord de la
Méditerranée pour que ces gens soient inconditionnellement accueillis,
et toute résistance sera dénoncée, avec des références à
l'inexistante (hélas !) Forteresse Europe, au caractère prétendûment
inadéquat, anachronique, contraire à la "modernité", qu'au XXIème
siècle, il y ait encore des gouvernements qui osent contrarier des
organisations humanitaires qui veulent faire cadeau à l'Europe d'un
peu de la misère du monde.Les opinions publiques amènent les
gouvernements à faire ainsi "de la résistance" ?
Les médiats, dont Arte, conditionneront les opinions publiques pour
les "retourner", à grands coups de culpabilisation "à l'estomac". Il
est urgent de relire "Le camp des Saints", de Jean Raspail.
Le prochain "os à ronger" que les médiats, et peut-être Arte,
jetteront au public, aura vraisemblablement trait aux suites
judiciaires de l'arrestation du dirigeant de Cap Anamur, et du
capitaine Elias Bierdel; ces malfaiteurs ont en effet été inculpés
pour aide à l'immigration clandestine en Italie. La Conscience
Universelle, relayée par les médiats de type Arte, se commettra
avocate d'office.
Le Cap Anamur est un cap turc; c'est le nom qu'a pris une association
basée en Allemagne, qui avait affrêté un bateau du même nom pour
recueillir les candidats africains à l'immigration vers l'Europe et contraindre
les pays de la rive nord de la Méditerranée, et en premier lieu l'Italie, à
les accueillir et plus tard, probablement aussi, à les "intégrer", quel qu'en
soit le coût : quand on aime, on ne compte pas, c'est bien connu, surtout
s'il s'agit d' être généreux avec ce qui n'est pas à soi.
Bien sûr, Arte Info a évoqué l'avancement des travaux du Mémorial de
l'Holocauste à Berlin. Avoir un Yad Vashem près de chez soi, le pied !
C'est Monsieur Delanoë qui va envier Monsieur Vovereit, le bourgmeste
regnant de Berlin (majorité municipale socialo-communiste, comme à
Paris; avec ou sans les Verts, je l'ignore). Il risque de ne pas
s'écouler beaucoup de temps avant que d'autres villes européennes ne
se dotent d'un machin aussi hideux. L'émulation dans la complaisance
envers la Mémouare.
Télé Arte ment, Télé Arte ment,
En français comme en allemand.
A demander pardon, chaque jour elle nous invite,
Ce faisant, plus que notre mépris, elle mérite.
tunisiens sur l'île de Lampedusa et son traitement médiatique rappellent
dans une certaine mesute le traitement accordé par la chaîne Arte à
l'affaire du Cap Anamur durant l'été 2004.
Pourquoi parler d' Arte Desinfo ?
L'explication ci-après est dédiée aux visiteurs anglophones de ces pages.
Through "Arte Desinfo", we expose the exercises in mesinformation and
desinformation of the TV channel Arte.
This so-called "cultural" channel is funded with the money of German
and French tax-payers.
Our money is used to spread a guilt culture among the European public
:
1) obsession about what is called the Shoah to which Arte gives a
central position in History and in its political analysis;
2) extreme pro-immigration stand : the rest of the world should be
free to settle in Europe, especially people coming from countries
which have been, or could have been under the colonial rule of a
European country;
3) misuse of the notion of racism : any attempt to resist the flux of
non European immigration to our countries is labelled "racist";
4) political conditioning through semantics : left-wing parties are
called by their names : socialists, social-democrats, greens and so
on; their nominal opponents are all put in the same bag with the label
"conservatives"; their real opponents are demonized as "populists", or
"far-right.
================================================== =============
Simone von Stosch présentait Arte Info du 12 juillet 2004
Selon Arte Info, le 37 "boat people" recueillis par Cap Anamur (et non
reconduits par celui-ci vers leur port de départ) ont été autorisés à
débarquer en Sicile, et non en Italie continentale, comme précedemment
annoncé. Les lobbies à couverture humanitaire et Arte entretiennent
toujours l'incertitude sur la provenance de ces Africains : "la
plupart" viendraient du Darfour, contrée sans façade maritime; ils ont
bien dû transiter par un pays africain tiers où Cap Anamur aurait pu
les reconduire, puisqu'il paraît qu'ils avaient fait naufrage. Le but
de toute cette affaire était de créer un gros coup médiatique et un
précédent, et si possible un précédent mettant l'actuel gouvernement
italien, véritable bête noire de certains médiats, dont Arte au
premier rang, en difficulté. La subversion humanitaire a remporté la
victoire : les 37 ont pu débarquer sur le territoire italien. C'est un
signal que d'autres auront bien reçu. Gageons que la Méditerranée va
connaître une augmentation de candidats au naufrage, naviguant du sud
vers le nord, et que des bâteaux affrêtés par des organisations
privées dites ONG, silloneront la mer pour les recueillir, si
toutefois ils ne se donnent pas rendez-vous. C'est plus pratique ! Des
pressions seront exercées sur les pays de la rive nord de la
Méditerranée pour que ces gens soient inconditionnellement accueillis,
et toute résistance sera dénoncée, avec des références à
l'inexistante (hélas !) Forteresse Europe, au caractère prétendûment
inadéquat, anachronique, contraire à la "modernité", qu'au XXIème
siècle, il y ait encore des gouvernements qui osent contrarier des
organisations humanitaires qui veulent faire cadeau à l'Europe d'un
peu de la misère du monde.Les opinions publiques amènent les
gouvernements à faire ainsi "de la résistance" ?
Les médiats, dont Arte, conditionneront les opinions publiques pour
les "retourner", à grands coups de culpabilisation "à l'estomac". Il
est urgent de relire "Le camp des Saints", de Jean Raspail.
Le prochain "os à ronger" que les médiats, et peut-être Arte,
jetteront au public, aura vraisemblablement trait aux suites
judiciaires de l'arrestation du dirigeant de Cap Anamur, et du
capitaine Elias Bierdel; ces malfaiteurs ont en effet été inculpés
pour aide à l'immigration clandestine en Italie. La Conscience
Universelle, relayée par les médiats de type Arte, se commettra
avocate d'office.
Le Cap Anamur est un cap turc; c'est le nom qu'a pris une association
basée en Allemagne, qui avait affrêté un bateau du même nom pour
recueillir les candidats africains à l'immigration vers l'Europe et contraindre
les pays de la rive nord de la Méditerranée, et en premier lieu l'Italie, à
les accueillir et plus tard, probablement aussi, à les "intégrer", quel qu'en
soit le coût : quand on aime, on ne compte pas, c'est bien connu, surtout
s'il s'agit d' être généreux avec ce qui n'est pas à soi.
Bien sûr, Arte Info a évoqué l'avancement des travaux du Mémorial de
l'Holocauste à Berlin. Avoir un Yad Vashem près de chez soi, le pied !
C'est Monsieur Delanoë qui va envier Monsieur Vovereit, le bourgmeste
regnant de Berlin (majorité municipale socialo-communiste, comme à
Paris; avec ou sans les Verts, je l'ignore). Il risque de ne pas
s'écouler beaucoup de temps avant que d'autres villes européennes ne
se dotent d'un machin aussi hideux. L'émulation dans la complaisance
envers la Mémouare.
Télé Arte ment, Télé Arte ment,
En français comme en allemand.
A demander pardon, chaque jour elle nous invite,
Ce faisant, plus que notre mépris, elle mérite.
Libellés :
Allemagne,
Arte,
Berlin,
Cap Anamur,
désinformartion,
Europe,
immigration,
Italie,
Yad Vashem
Pays/territoire :
Étampes, France
Arte et France 3 : concours de désinformation
Certains bons espits s'inquiètaient naguère de l'éventuelle comparution de
complices présumés des auteurs des attentats de septembre 2001 aux
Etats-Unis devant des tribunaux d'exception (traduisez : des tribunaux
militaires, dont, en France, Robert Badinter, "juste entre les justes,
sage entre les sages", nous a délivrés); cela se passait au début des
complices présumés des auteurs des attentats de septembre 2001 aux
Etats-Unis devant des tribunaux d'exception (traduisez : des tribunaux
militaires, dont, en France, Robert Badinter, "juste entre les justes,
sage entre les sages", nous a délivrés); cela se passait au début des
années qui ont suivi les attentats de septembre 2001.
Savaient-ils, ces bons esprits qu'en juillet 1990, était promulguée une
loi, dite loi Gayssot (elle aurait pu s'appeler la loi Sarre, du nom
président de l'activiste chevènementiste, lié aux Klarsfeld), et ce
qu'elle signifie en France et dans les pays qui l'ont imitée ?
La loi Gayssot criminalise l'expression du doute, de l'incroyance en
la version du prétendu tribunal militaire international ayant siégé à
Nuremberg en 1946 relative à ce qu'il est convenu d'appeler les
"crimes contre l'humanité" attribués aux vaincus par les vainqueurs de
la Seconde Guerre Mondiale.
Le Statut de ce "tribunal", continuation de la guerre par d'autres
moyens que les opérations militaires, dispose en son article 19 que
l'institution ne sera pas liée "par les règles techniques relatives à
l'administration des preuves", et, en son article 21, que "le tribunal
n'exigera pas que soit rapportée la preuve de faits de notoriété
publique mais les tiendra pour acquis", le même article 21 disposant
en outre que tout rapport accusatoire aurait, sans discussion
possible, valeur de "preuve authentique".
Il paraît que la loi Gayssot vise à criminaliser un "discours de
haine". Si tel était son objectif, elle est singulièrement inefficace.
haine". Si tel était son objectif, elle est singulièrement inefficace.
Le 10 décembre 2000, la chaîne publique France 3 diffusait vers 17h00
un documentaire sur Lyon, "capitale du révisionnisme" (ce qui est
faire beaucoup d'honneur à la capitale des Gaules). On y montrait le
professeur Faurisson, cible de plusieurs agressions et attentats dans
un passé récent, sous les traits d'un personnage odieux qui, au moyen
de sa "plume acérée" tue . On voit une plume d'or tracer des mots.
Soudain, une pluie de gouttes de sang tombe sur un texte au bas duquel
on aperçoit, en grandes lettres de sang, le mot "Mythe". Juste
auparavant, on a montré en plan rapproché, le visage du professeur :
l'homme à abattre, en quelque sorte.
C'est digne d'Arte, mais c'était sur France 3.
La loi Gayssot a supprimé la liberté de recherche historique, engendré
un climat de chasse aux sorcières et de délation, rétabli le délit
d'opinion, considérablement amoindri la liberté d'expression, et
permet à certaines officines, se portant "parties civiles", de se
faire financer par les dommages-intérêts réclamés aux personnes
poursuivies et condamnées au titre de cette loi:
Elle consacre la juridiction d'exception ayant sévi à Nuremberg en
1946 dont elle fait une référence.
Libellés :
Arte,
Badinter,
désinformation,
Etats-Unis,
France 3,
Guantanamo,
Klarsfeld,
loi Fabius-Rocard-Gayssot
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Étampes, France
mardi 15 février 2011
Arte, la chaîne chochotte
Ce samedi soir, 19 janvier MMVIII, Arte (Des)Info fournissait
au public un échantillon de ce qu'on pourrait appeler la
télé-chochotte
Figurez-vous qu'il se passe en Rhénanie des choses très
choquantes pour Arte
Que se passe-t-il donc en Rhénanie ?
Tout simplement ceci : il y existe une association qui
dénonce le recours, abusif selon elle, à la cessation
volontaire de grossesse, et qui le fait savoir;
elle le fait savoir en mettant sous enveloppe une
petite brochure qui rappelle ce qu'est l'avortement,
tout légal qu'il soit, et une petite figurine de
plastique transparent représentant un foetus de
10 semaines; ces enveloppes sont déposées
dans les boites au lettres des villes du Land
Rhin du Nord - Westphalie.
Arte (Des)Info
est très contrariée par cette action qui est jugée
choquante, de mauvais goût, qui " va trop loin "
selon elle.
Et Arte (Des)Info de prodiguer blâme et leçon de
bon goût et d'éthique à ces participants non
violents à une campagne "pro-vie".
Arte (Des)Info s'est-elle jamais déclarée choquée,
ou émue des campagnes démentes du Réseau
Education Sans Frontières comparant les
enfants en instance d'expulsion avec leurs
parents en séjour illégal, entrés par ruse ou
par force, aux enfants juifs cachés par des
" justes" dans la première moitié des années
1940 ?
Pourquoi "Arte Desinfo" ?
Parce qu'il faut signaler les opérations de
mésinformation et de désinformation de la chaîne Arte,
particulièrement à travers des émissions d'information Arte Info.
Aujourd'hui (MMXI), cette émission s'appelle Arte Journal.
Cette prétendue chaîne culturelle est financée par l'argent des
contribuables allemands et français; ses initiales signifient
"Association pour la Réalisation d'une Télévision Européenne";
sa création est intervenue en application, tardive, de certaines
dispositions du traité d'amitié et de coopération signé le 22
janvier 1963.
Notre argent est utilisé pour répandre une culture de culpabilité :
1) mémoire shoacentrée : sur Arte, ce qu'il est convenu d'appeler
la Shoah occupe une place centrale dans l'Histoire et dans les
références politiques : la Mémouare a complètement phagocyté
l'Histoire;
2) position extrémiste en matière d'immigration : c'est comme si le
reste du monde devait pouvoir s'installer à son gré en Europe, tout
particulièrement s'il s'agit de populations originaires d'anciennes
colonies de pays européens, ou de parties du monde que les Européens
auraient pu coloniser;
3) manipulation abusive de la notion de "racisme" : toute résistance à
la colonisation de peuplement de l'Europe par les pays dits du "Sud" du
monde est réputée être inspirée par le prétendu "racisme" des
Européens;
4) conditionnement politique par le vocabulaire :
les partis politiques qui ont la faveur d'Arte sont désignés par
Arte selon le nom qu'ils se sont eux-mêmes donné : "socialiste",
"social-démocrate", "vert" etc....;
les organisations qui n'ont pas la faveur d'Arte sont habituellement
désignées sur Arte par une étiquette correspondant à un jugement
politique d'Arte sur elles-mêmes plutôt que par leur nom :
"conservateur", "populiste", "ultra-conservateur" (étiquette accollée
par Arte "Info" tout uniment au ministre-président de l'Etat libre de
Bavière, Edmund Stoiber et au président de la République islamique
d'Iran Mahmoud Ahmadinedjab);
les adversaires de la "correction politique" selon Arte sont
carrément diabolisés :
"néo-fascistes", "racistes", "xénophobes", "néo-nazis";
pour Arte "Info" et en général sur Arte tout court, un ancien
communiste, ou un ancien parti communiste, est ce qu'il dit être :
démocrate de gauche, refondateur, ancien qui a évolué, mais
quiconque, individu ou parti, qui a pu, un moment, se situer, ou être
situé par ses adversaires, dans ce qu'il est convenu d'appeler
approximativement la droite radicale sera toujours suspecté d'agir
sous un camouflage et est, par nature, pourrait-on dire, destiné à
"rechuter" après avoir trompé son monde, éclairé par Arte
au public un échantillon de ce qu'on pourrait appeler la
télé-chochotte
Figurez-vous qu'il se passe en Rhénanie des choses très
choquantes pour Arte
Que se passe-t-il donc en Rhénanie ?
Tout simplement ceci : il y existe une association qui
dénonce le recours, abusif selon elle, à la cessation
volontaire de grossesse, et qui le fait savoir;
elle le fait savoir en mettant sous enveloppe une
petite brochure qui rappelle ce qu'est l'avortement,
tout légal qu'il soit, et une petite figurine de
plastique transparent représentant un foetus de
10 semaines; ces enveloppes sont déposées
dans les boites au lettres des villes du Land
Rhin du Nord - Westphalie.
Arte (Des)Info
est très contrariée par cette action qui est jugée
choquante, de mauvais goût, qui " va trop loin "
selon elle.
Et Arte (Des)Info de prodiguer blâme et leçon de
bon goût et d'éthique à ces participants non
violents à une campagne "pro-vie".
Arte (Des)Info s'est-elle jamais déclarée choquée,
ou émue des campagnes démentes du Réseau
Education Sans Frontières comparant les
enfants en instance d'expulsion avec leurs
parents en séjour illégal, entrés par ruse ou
par force, aux enfants juifs cachés par des
" justes" dans la première moitié des années
1940 ?
Pourquoi "Arte Desinfo" ?
Parce qu'il faut signaler les opérations de
mésinformation et de désinformation de la chaîne Arte,
particulièrement à travers des émissions d'information Arte Info.
Aujourd'hui (MMXI), cette émission s'appelle Arte Journal.
Cette prétendue chaîne culturelle est financée par l'argent des
contribuables allemands et français; ses initiales signifient
"Association pour la Réalisation d'une Télévision Européenne";
sa création est intervenue en application, tardive, de certaines
dispositions du traité d'amitié et de coopération signé le 22
janvier 1963.
Notre argent est utilisé pour répandre une culture de culpabilité :
1) mémoire shoacentrée : sur Arte, ce qu'il est convenu d'appeler
la Shoah occupe une place centrale dans l'Histoire et dans les
références politiques : la Mémouare a complètement phagocyté
l'Histoire;
2) position extrémiste en matière d'immigration : c'est comme si le
reste du monde devait pouvoir s'installer à son gré en Europe, tout
particulièrement s'il s'agit de populations originaires d'anciennes
colonies de pays européens, ou de parties du monde que les Européens
auraient pu coloniser;
3) manipulation abusive de la notion de "racisme" : toute résistance à
la colonisation de peuplement de l'Europe par les pays dits du "Sud" du
monde est réputée être inspirée par le prétendu "racisme" des
Européens;
4) conditionnement politique par le vocabulaire :
les partis politiques qui ont la faveur d'Arte sont désignés par
Arte selon le nom qu'ils se sont eux-mêmes donné : "socialiste",
"social-démocrate", "vert" etc....;
les organisations qui n'ont pas la faveur d'Arte sont habituellement
désignées sur Arte par une étiquette correspondant à un jugement
politique d'Arte sur elles-mêmes plutôt que par leur nom :
"conservateur", "populiste", "ultra-conservateur" (étiquette accollée
par Arte "Info" tout uniment au ministre-président de l'Etat libre de
Bavière, Edmund Stoiber et au président de la République islamique
d'Iran Mahmoud Ahmadinedjab);
les adversaires de la "correction politique" selon Arte sont
carrément diabolisés :
"néo-fascistes", "racistes", "xénophobes", "néo-nazis";
pour Arte "Info" et en général sur Arte tout court, un ancien
communiste, ou un ancien parti communiste, est ce qu'il dit être :
démocrate de gauche, refondateur, ancien qui a évolué, mais
quiconque, individu ou parti, qui a pu, un moment, se situer, ou être
situé par ses adversaires, dans ce qu'il est convenu d'appeler
approximativement la droite radicale sera toujours suspecté d'agir
sous un camouflage et est, par nature, pourrait-on dire, destiné à
"rechuter" après avoir trompé son monde, éclairé par Arte
Libellés :
Arte,
avortement,
désinformation
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lundi 14 février 2011
Arte Desinfo : Arte Indignidad (mars 2005)
Un soir de la semaine se terminant le 12 mars 2005, Arte (Des)Info était présenté par William Irigoyen.
Parmi les sujets abordés dans le traitement desquels Arte (Des)Info affirme sa spécificité désinformatrice :
a) l'affaire d'un ressortissant sud-américain, né allemand, menacé d'extradition d'Argentine vers le Chili; cet octogénaire qui se meut en fauteuil roulant est qualifié par la chaîne à financement (mais à financement seulement...) franco-allemand d' "ancien caporal nazi". Comprenez qu'il a effectué son service militaire dans la Wehrmacht avant 1945; s'il n'a jamais dépassé le grade de caporal, cela tendrait à indiquer soit qu'il n'était pas "nazi", soit que l'influence du parti de ce nom dans l'armée était très réduite pour la promotion de ses membres ou sympathisants. Il est vraisemblable que dans leur zèle, les rédacteurs d' Arte (Des)Info s'emmêlent les pieds : comme les gens qui méprisaient Hitler le qualifiaient de "caporal bohêmien", les rédacteurs d' Arte (Des)Info associent de façon pavlovienne, mécanique, le grade de caporal au national-socialisme, comme pour unir dans la réprobation et le mépris l'horreur politique que représente pour eux le national-socialisme, et la médiocrité (le grade de caporal). Que reproche-t-on à ce monsieur qui se nomme Schäfer ?
D'avoir participé à la Shoah ? Que nenni ! On lui reproche d'avoir eu des activités pédophiles.
Si ces accusations sont fondées, ce qu' Arte (Des)Info n'établit nullement, le "nazisme" de Monsieur Schäfer ne comportait aucune référence raciale : le type physique nettement exotique des enfants dont les parents se sont portés parties civiles (y'a bon les dommages-intérêts et les gros sous) l'atteste.
On reproche aussi à Monsieur Schäfer d'avoir participé à la répression des opposants au général Pinochet. Ces accusations sont seulement évoquées, non développées. Rappelons que Pinochet fut placé à la tête de l'armée chilienne par Salvador Allende lui-même, qu'il renversa ensuite, qu'il passe pour franc-maçon, et a toujours été un ami fidèle de l'Angleterre.
Ce Monsieur Schäfer avait fondé, ou co-fondé, une institution dénommée Colonia Dignidad qui hébergeait et fournissait du travail à des ressortissants allemands expatriés en Amérique du Sud, une sorte de kibboutz austral si l'on veut. Selon Arte (Des)Info, il y régnait un stricte discipline, façon Amish ou "vieille mennonite" si j'ai bien compris. Et les directeurs de conscience d' Arte (Des)Info n'aiment pas ça du tout. De toute façon, des Européens expatriés depuis des décennies à l'autre bout du monde ont raté des changements culturels auxquels Arte (Des)Info est très attaché et qu'il promeut. Ces Européens ne sont pas "formatés" selon les normes de la correction politique dont Arte (Des)Info est l'un des chiens de garde les plus teigneux. Pensez : un ancien combattant de la Wehrmacht accusé de pédophilie et d'anciennes sympathies pinochetiennes, Arte (Des)Info se défoule !
Le samedi 24 avril 2010, on annonçait le décès, en prison, dans sa quatre-vingt-neuvième année de M. Schäfer. Puisse-t-il avoir trouvé la paix, maintenant qu'il est hors de portée des enragés que relaie Arte.
b) la séquence prétendument antiraciste de ce soir-là traitait de déboires rencontrés par des ressortissants turcs en Allemagne : ces gens avaient demandé et obtenu la nationalité allemande, mais avaient conservé la nationalité turque, ce que la loi allemande sur la nationalité mise en place par le gouvernement "rouge-vert" (septembre 1998- novembre 2005) en 1999 ne permet pas; il est inexact de dire que la loi allemande interdit toute double nationalité, mais elle ne la permet pas, en général, pour la plupart des pays, dont la Turquie.
Cette loi du gouvernement "rouge-vert" remplaçait une loi de 1913, et marquait une évolution vers le système français. Pour les directeurs de conscience d' Arte (Des)Info, cette évolution est insuffisante.
Arte (Des)Info monte en épingle les déboires de quelques dizaines de ressortissants turcs qui ont violé la loi du pays qui les héberge, et dont ils avaient demandé et obtenu la nationalité : il s'agit de faire pression sur le gouvernement allemand (dont le ministre de l'Intérieur sous la coalition rouge-verte, Otto Schilly, fut l'un des avocats de la Bande à Baader) pour que la binationalité de ces Turcs soit régularisée, et que la législation allemande se rapproche encore plus des normes françaises (quand on a vu qu'à la dernière élection de Miss Europe, l'Allemagne était représentée par...une Iranienne, on se dit qu'il y a de l'espoir pour Arte).
Les consulats turcs en Allemagne ont délibérément provoqué cette situation en fournissant des passeports turcs à des gens qui venaient de prendre la nationalité allemande : en 2005, Ankara fait à nouveau pression sur l'Allemagne. Arte (Des)Info tait naturellement cet aspect de la question.
En 1998, Mesut Yilmaz, premier ministre turc, avait appelé les électeurs allemands d'origine turque, encore rares à l'époque, à voter socialiste ou vert, et à renverser la coalition chrétienne-démocrate et libérale du chancelier Helmut Kohl. Et c'est ce qui s'est produit. Arte (Des)Info rappellait en mars 2005, à sa manière, au gouvernement rouge-vert qu'il lui restait à renvoyer plus franchement l'ascenseur à son "grand électeur" d'Asie Mineure, pour rester dans le cadre de la correction politique.
Du point de vue des directeurs de conscience d'Arte (Des)Info, la correction politique impose que Berlin fasse au moins pour la Turquie ce que Paris a fait, et continue à faire pour l'Algérie" démocratique et populaire" (le nom officiel de l'Etat algérien est : République Algérienne Démocratique et Populaire).
Parmi les sujets abordés dans le traitement desquels Arte (Des)Info affirme sa spécificité désinformatrice :
a) l'affaire d'un ressortissant sud-américain, né allemand, menacé d'extradition d'Argentine vers le Chili; cet octogénaire qui se meut en fauteuil roulant est qualifié par la chaîne à financement (mais à financement seulement...) franco-allemand d' "ancien caporal nazi". Comprenez qu'il a effectué son service militaire dans la Wehrmacht avant 1945; s'il n'a jamais dépassé le grade de caporal, cela tendrait à indiquer soit qu'il n'était pas "nazi", soit que l'influence du parti de ce nom dans l'armée était très réduite pour la promotion de ses membres ou sympathisants. Il est vraisemblable que dans leur zèle, les rédacteurs d' Arte (Des)Info s'emmêlent les pieds : comme les gens qui méprisaient Hitler le qualifiaient de "caporal bohêmien", les rédacteurs d' Arte (Des)Info associent de façon pavlovienne, mécanique, le grade de caporal au national-socialisme, comme pour unir dans la réprobation et le mépris l'horreur politique que représente pour eux le national-socialisme, et la médiocrité (le grade de caporal). Que reproche-t-on à ce monsieur qui se nomme Schäfer ?
D'avoir participé à la Shoah ? Que nenni ! On lui reproche d'avoir eu des activités pédophiles.
Si ces accusations sont fondées, ce qu' Arte (Des)Info n'établit nullement, le "nazisme" de Monsieur Schäfer ne comportait aucune référence raciale : le type physique nettement exotique des enfants dont les parents se sont portés parties civiles (y'a bon les dommages-intérêts et les gros sous) l'atteste.
On reproche aussi à Monsieur Schäfer d'avoir participé à la répression des opposants au général Pinochet. Ces accusations sont seulement évoquées, non développées. Rappelons que Pinochet fut placé à la tête de l'armée chilienne par Salvador Allende lui-même, qu'il renversa ensuite, qu'il passe pour franc-maçon, et a toujours été un ami fidèle de l'Angleterre.
Ce Monsieur Schäfer avait fondé, ou co-fondé, une institution dénommée Colonia Dignidad qui hébergeait et fournissait du travail à des ressortissants allemands expatriés en Amérique du Sud, une sorte de kibboutz austral si l'on veut. Selon Arte (Des)Info, il y régnait un stricte discipline, façon Amish ou "vieille mennonite" si j'ai bien compris. Et les directeurs de conscience d' Arte (Des)Info n'aiment pas ça du tout. De toute façon, des Européens expatriés depuis des décennies à l'autre bout du monde ont raté des changements culturels auxquels Arte (Des)Info est très attaché et qu'il promeut. Ces Européens ne sont pas "formatés" selon les normes de la correction politique dont Arte (Des)Info est l'un des chiens de garde les plus teigneux. Pensez : un ancien combattant de la Wehrmacht accusé de pédophilie et d'anciennes sympathies pinochetiennes, Arte (Des)Info se défoule !
Le samedi 24 avril 2010, on annonçait le décès, en prison, dans sa quatre-vingt-neuvième année de M. Schäfer. Puisse-t-il avoir trouvé la paix, maintenant qu'il est hors de portée des enragés que relaie Arte.
b) la séquence prétendument antiraciste de ce soir-là traitait de déboires rencontrés par des ressortissants turcs en Allemagne : ces gens avaient demandé et obtenu la nationalité allemande, mais avaient conservé la nationalité turque, ce que la loi allemande sur la nationalité mise en place par le gouvernement "rouge-vert" (septembre 1998- novembre 2005) en 1999 ne permet pas; il est inexact de dire que la loi allemande interdit toute double nationalité, mais elle ne la permet pas, en général, pour la plupart des pays, dont la Turquie.
Cette loi du gouvernement "rouge-vert" remplaçait une loi de 1913, et marquait une évolution vers le système français. Pour les directeurs de conscience d' Arte (Des)Info, cette évolution est insuffisante.
Arte (Des)Info monte en épingle les déboires de quelques dizaines de ressortissants turcs qui ont violé la loi du pays qui les héberge, et dont ils avaient demandé et obtenu la nationalité : il s'agit de faire pression sur le gouvernement allemand (dont le ministre de l'Intérieur sous la coalition rouge-verte, Otto Schilly, fut l'un des avocats de la Bande à Baader) pour que la binationalité de ces Turcs soit régularisée, et que la législation allemande se rapproche encore plus des normes françaises (quand on a vu qu'à la dernière élection de Miss Europe, l'Allemagne était représentée par...une Iranienne, on se dit qu'il y a de l'espoir pour Arte).
Les consulats turcs en Allemagne ont délibérément provoqué cette situation en fournissant des passeports turcs à des gens qui venaient de prendre la nationalité allemande : en 2005, Ankara fait à nouveau pression sur l'Allemagne. Arte (Des)Info tait naturellement cet aspect de la question.
En 1998, Mesut Yilmaz, premier ministre turc, avait appelé les électeurs allemands d'origine turque, encore rares à l'époque, à voter socialiste ou vert, et à renverser la coalition chrétienne-démocrate et libérale du chancelier Helmut Kohl. Et c'est ce qui s'est produit. Arte (Des)Info rappellait en mars 2005, à sa manière, au gouvernement rouge-vert qu'il lui restait à renvoyer plus franchement l'ascenseur à son "grand électeur" d'Asie Mineure, pour rester dans le cadre de la correction politique.
Du point de vue des directeurs de conscience d'Arte (Des)Info, la correction politique impose que Berlin fasse au moins pour la Turquie ce que Paris a fait, et continue à faire pour l'Algérie" démocratique et populaire" (le nom officiel de l'Etat algérien est : République Algérienne Démocratique et Populaire).
Libellés :
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France,
immigration,
pédophilie,
Turquie
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Loi Fabius-Rocard-Gayssot : 247 mois d'infamie
Le Journal Officiel de ce qu'il est convenu d'appeler la république vrôôônsaise, dans son édition Lois & Décrets datée du 14 juillet 1990, publiait la loi 90-615 du 13 juillet 1990, dite loi Fabius-Rocard-Gayssot, ou plus simplement et par commodité mais injustement loi Gayssot.
Cette loi extraordinaire a supprimé la liberté de recherche historique sur le territoire de ce qu'il est convenu la Vrôôônse, y a considérablement restreint la liberté d'expression, a institué une milice zélote de la Pensée, et fait des petits en dehors des frontières de cet infortuné pays : loi Eerdekens Mayeur qui sévit dans l'Etat belge, un article du Code Pénal suisse, autres lois mémorielles etc...
Rappelons que cette loi criminalise l'expression publique de l'incroyance en la version officielle des crimes contre l'humanité attribués par les vainqueurs de la Seconde Guerre Mondiale aux vaincus.
Cette loi proposée par le député communiste Gayssot, avec la complicité du président de l'Assemblée Fabius et du Premier ministre Rocard a établi des interdictions professionnelles dans les faits, et sert de test au papier tournesol à certains politologues militants pour définir les limites de la correction politique : un dénommé J.-Y. Camus fait de la dénonciation de la loi Fabius-Rocard-Gayssot comme liberticide un critère d'extrémisme idéologique. C'est le monde à l'envers !
Cette loi extraordinaire a supprimé la liberté de recherche historique sur le territoire de ce qu'il est convenu la Vrôôônse, y a considérablement restreint la liberté d'expression, a institué une milice zélote de la Pensée, et fait des petits en dehors des frontières de cet infortuné pays : loi Eerdekens Mayeur qui sévit dans l'Etat belge, un article du Code Pénal suisse, autres lois mémorielles etc...
Rappelons que cette loi criminalise l'expression publique de l'incroyance en la version officielle des crimes contre l'humanité attribués par les vainqueurs de la Seconde Guerre Mondiale aux vaincus.
Cette loi proposée par le député communiste Gayssot, avec la complicité du président de l'Assemblée Fabius et du Premier ministre Rocard a établi des interdictions professionnelles dans les faits, et sert de test au papier tournesol à certains politologues militants pour définir les limites de la correction politique : un dénommé J.-Y. Camus fait de la dénonciation de la loi Fabius-Rocard-Gayssot comme liberticide un critère d'extrémisme idéologique. C'est le monde à l'envers !
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dimanche 13 février 2011
W Il Cavaliere
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Le Guépéou de la Pensée et Usenet, il y a quelques années
Les médiats qui paraissent vers la mi-novembre 2010 relataient la mésaventure survenue à des salariés d'une entreprise qui ont été licenciés pour avoir, sur Facebook, critiqué ou ridiculisé la direction de leur entreprise.
Je connais un dénommé J.-M. L. qui, il y a quelques années, a failli être révoqué de son emploi public, non pour avoir critiqué l'institution dans laquelle il servait et qui était alors administrée par le ministre socialiste Allègre, ou pour avoir émis des opinions hétérodoxes sur le contenu et la pratique de sa profession, mais pour des contributions à des forums de discussion sur Internet, portant notamment sur l'Histoire, disons, du second tiers du XXème siècle, et qui auraient contrevenu aux dispositions de la loi 90-615 du 13 juillet 1990 dite loi Fabius-Rocard-Gayssot.
DELATION "CITOYENNE" SOUS ANONYMAT
De "courageux" collègues jamais identifiés (-ées) semblent s'être effarouchés (-ées) de ces contributions, et ont alerté leur hiérarchie commune qui s'est fait pendant quelques semaines l'auxiliaire du Guépéou de la Pensée. Comment éliminer le mal pensant, la "brebis galeuse" ? D'abord en le privant d'une possible protection : notre impertinent personnage représentait alors un syndicat dans une instance en charge de "l'hygiène et de la sécurité" dans les établissements scolaires et universitaires du département. Le représentant de l'administration dans le département profite d'une audience accordée à une délégation du syndicat de J.-M. L. pour le "balancer" en faisant lecture de morceaux choisis ses contributions sur des forums Internet, et signifie à la délégation syndicale qu'il s'attend à ce qu'elle ne défende plus désormais ce dangereux personnage, et envisage, selon des témoins présents à l'audience, sa suspension très rapide de ses fonctions avant révocation, compte tenu de la gravité et de l'urgence attribuées à l'affaire.
J.-M. L. est prévenu de cet incident par son syndicat qui, d'une part lui fait savoir que cette affaire l'embarrasse et d'autre part essaie de s'assurer que J.-M. L. est au courant de ce qu'une procédure est engagée contre lui, ou va l'être. Notre J.-M. L. reconnaît les faits pour lesquels il est mis en cause, mais affirme entendre parler pour la première fois de cette affaire. Cette circonstance : que l'administration mette J.-M. L. en cause à son insu devant une organisation qu'il représente par ailleurs et qui est censée éventuellement le défendre, conduit le syndicat à une attitude très prudente.
Le syndicat s'étonne que J.-M. L. n'ait pas été tenu au courant, annonce qu'il ne le défendra pas si la loi a été enfreinte, mais demande que J.-M. L. puisse prendre connaissance de son dossier.
Embarras de l'administration qui doit constater que J.-M. L., s'il a choqué certains (-aines) de ses collègues, délateurs (-trices) au nom du leur conception du civisme et montré de l'irrespect pour les "valeurs" dont ils/elles se réclament, n'a enfreint aucune loi, n'a commis aucun crime ou délit, ou infraction quelconque, a rédigé ses contributions signées de son nom, en dehors de ses heures de service et depuis son ordinateur personnel à son domicile (contrairement à certaines hypothèses avancées au début). Dans un premier temps, l'administration affirme qu'il n'y a pas de dossier à consulter puisque les contributions de J.-M. L., relevant d'une activité non professionnelle, n'ont pas leur place dans son dossier administratif. Puis, dans un second temps, plusieurs mois après, propose que J.-M. L. puisse venir prendre connaissance des contributions recueillies par les collègues de J.-M. L. et lues devant la délégation syndicale.
Pendant ce temps, sur les conseils d'un avocat, J.-M. L. porte plainte contre X pour dénonciation calomnieuse. La procédure n'aboutira pas : le représentant de l'administration dans le département n'est pas en mesure, du moins le prétendra-t-il, de révéler la provenance de la mise en cause de J.-M. L. et de la transmission de copies de ses contributions. La juge rend une ordonnance de non lieu : X est introuvable et restera anonyme. J.-M. L., qui renonce à interjeter appel de l'ordonnance de non lieu (pour pouvoir récupérer sa consignation (*) auprès du tribunal), se rend auprès des services départementaux de son administration en compagnie d'un témoin, éditeur, multi-condamné pour infractions à la loi Fabius-Rocard-Gayssot. Par le choix de ce témoin, J.-M. L. marque son absence de repentance. La consultation des copies de ses contributions confirme la modération des propos de J.-M. L., l'absence d'infraction à quelque loi que ce soit. On est en présence d'une tentative de déstabilisation lancée par des collègues zélés (ées), relayés (-ées) un temps par leur hiérarchie. Les délateurs (-trices) de J.-M. L. sont restés(-ées) anonymes et jamais inquiétés (-ées), peut-être couverts (-tes) par leur hiérarchie.
LA LOI DU MILIEU
J.-M. L. a failli être révoqué, en tout cas mis à l'index, détruit professionnellement, pour des faits sans rapport avec son service, mais seuls la maladresse et l'excès de zèle "citoyen" et de hâte de ses collègues et délateurs (trices) ne l'ont pas permis. Toute la morale d'un "milieu" communiant dans la référence à de prétendues "valeurs citoyennes", prêt à seconder un véritable Guépéou de la Pensée est là.
(*) Quand une personne dépose une plainte devant un tribunal pénal, elle doit déposer une somme d'argent, appelée consignation; si la plainte a été déposée abusivement, c'est-à-dire non pas forcément à tort, mais manifestement sans raison, la somme est conservée par le Trésor Public, et est donc perdue par le plaignant; dans le cas relaté ici, J.-M. L. a pu récupérer cette consignation (de l'ordre d'environ 900 à 1000 euros) : le dépôt de plainte était fondé. Mais si le plaignant avait fait appel de l'ordonnance de non lieu et s'était pouvu devant l'instance dénommée chambre d'accusation, la consignation était conservée par le Trésor Public jusqu'à la fin de la procédure devant l'instance d'appel.
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A four-letter answer to Serge K. and his like-minded
"De nous, s'il reste le mot "merde", ce sera déjà beau" (Louis-Ferdinand Céline)
The gang led by Serge K. has issued a fatwa ordering state agencies not to commemorate the death of L.-F. Céline half a century ago; I never read any full book from Céline. But I live in a world and at a time in which Serge K., his family and his like-minded are enough powerful or influential to tell who we are allowed to pay tribute to as an artist, and who we are not, and this arrogance must meet some measure of resistance. To teach them a lesson, I subscribe for one year to Le Bulletin Célinien (forty-eight euros). To upset Serge K., his family, his gang and his like-minded for just forty-eight euros is a bargain .
http://louisferdinandceline.free.fr/bulletin/bulletin.htm
The gang led by Serge K. has issued a fatwa ordering state agencies not to commemorate the death of L.-F. Céline half a century ago; I never read any full book from Céline. But I live in a world and at a time in which Serge K., his family and his like-minded are enough powerful or influential to tell who we are allowed to pay tribute to as an artist, and who we are not, and this arrogance must meet some measure of resistance. To teach them a lesson, I subscribe for one year to Le Bulletin Célinien (forty-eight euros). To upset Serge K., his family, his gang and his like-minded for just forty-eight euros is a bargain .
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L'Europe à l'épreuve du désamour
Premier petit déjeûner-débat du Mouvement Européen - France de l'Essonne à la MJC d'Evry le samedi 5 février 2011, en présence de la présidente de la section et de nombreux adhérents. L'invité était un avocat spécialiste du droit européen qui a notamment évoqué l'impact, souvent insuffisamment perçu, du droit européen dans la vie quotidienne des résidents des pays de l'UE.
On s'est, à certains moments de l'intervention de l'invité, interrogé sur la désaffection relative d'une partie de l'opinion envers la construction politique de l'Europe.
Quelles peuvent en être les raisons ?
Voici ce qu'on aurait, ce que j'aurais pu dire :
Tout d'abord, il faut cesser de se mentir à soi-même sur l'histoire de la construction européenne. Elle ne s'est pas mise en marche il y a un peu plus de soixante ans sur le coup d'une adhésion à des valeurs, à la démocratie, d'un désir de paix, même si ces éléments ont joué un rôle, qu'on exagère aujourd'hui. Il s'est davantage agi de permettre à la France de sortir de l'impasse dans laquelle la maintenait une politique allemande fondée sur un programme de démembrement de l'Allemagne (programme non seulement de De Gaulle dans la 2ème moitié des années 1940, mais encore de son successeur immédiat à la présidence du Gouvernement Provisoire, le S.F.I.O. Félix Gouin). Ni Londres, ni Washington, ni Moscou ne suivaient la France sur ce terrain de "non reconstitution d'un Reich" comme on disait en France pour se faire peur.
Les dirigeants de la France de l'immédiat après-guerre n'ayant pu empêcher ni la création de la Bizone anglo-américaine, ni la création de la RFA ont dû faire contre mauvaise fortune bon (?) coeur et s'engager dans une politique de limitation de la souveraineté de la RFA qui s'est appelée la politique d'intégration européenne. Mais pour que ce soit acceptable pour Bonn, il fallait que la France, et d'autres qui la rejoignaient, acceptassent de limiter également leurs souverainetés. Ce qui a été plus ou moins accepté, souvent contesté, mais a tout de même bien fonctionné. Merci Jean Monnet.
Ensuite, la "chance" des promoteurs de la construction européenne a été de disposer d'un ennemi extérieur puissant, facilement identifiable : l'URSS et ses satellites. On se souvient du discours de Paul-Henry Spaak à la tribune de l'A.G. des Nations-Unies : le moteur de notre politique, dit-il à l'adresse de la délégation soviétique, c'est la peur, la peur de vous, la peur de votre système. On a ironiquement proposé de ranger le Maréchal Staline parmi les Pères de l'Europe. Les successeurs de Staline, jusqu'à Tchernenko et même Gorbatchev au début, l'ont remplacé.
Il n'y aura pas de fédération européenne sans identification d'un ennemi, ou d'un danger EXTERIEUR. La correction politique s'oppose actuellement à l'identification de cet adversaire, de ce, ou de ces dangers. Mais comme il n'y a pas d'action politique sans désignation d'un ennemi, le seul ennemi, le seul danger désignés sont INTERNES : c'est le prétendu populisme. Alors, on nous endort, on nous "bassine" avec des "valeurs" qui ne peuvent pas être spécifiquement européennes parce qu'elles sont universelles. On refuse de donner à l'Europe des limites territoriales, on la dilue. C'est l'Europe des directeurs de conscience de la chaîne Arte, qui n'a de vraiment franco-allemand que le financement. Les "méchants", les déviants, les hérétiques sont à l'INTERIEUR de l'Europe, non à l'EXTERIEUR. Les besoins d'autonomie, de protection, voire de protectionnisme sont méconnus, leur expression est dénoncée, diabolisée comme populiste. Etonnez-vous après ça de la montée de l'euroscepticisme, des souverainismes, du stato-nationalisme et autres attitudes de régression !
Aucune construction politique de type étatique n'a jamais été édifiée sur des "valeurs", surtout universelles, même si ces "valeurs" peuvent ultérierement contribuer à son maintien, à sa pérennité. Toute construction de ce type s'affirme devant un ennemi ou des dangers EXTERIEURS. Nombreux sont ceux qui, s'ils n'étaient pas "natiosceptiques", seraient "souverainistes".
On s'est, à certains moments de l'intervention de l'invité, interrogé sur la désaffection relative d'une partie de l'opinion envers la construction politique de l'Europe.
Quelles peuvent en être les raisons ?
Voici ce qu'on aurait, ce que j'aurais pu dire :
Tout d'abord, il faut cesser de se mentir à soi-même sur l'histoire de la construction européenne. Elle ne s'est pas mise en marche il y a un peu plus de soixante ans sur le coup d'une adhésion à des valeurs, à la démocratie, d'un désir de paix, même si ces éléments ont joué un rôle, qu'on exagère aujourd'hui. Il s'est davantage agi de permettre à la France de sortir de l'impasse dans laquelle la maintenait une politique allemande fondée sur un programme de démembrement de l'Allemagne (programme non seulement de De Gaulle dans la 2ème moitié des années 1940, mais encore de son successeur immédiat à la présidence du Gouvernement Provisoire, le S.F.I.O. Félix Gouin). Ni Londres, ni Washington, ni Moscou ne suivaient la France sur ce terrain de "non reconstitution d'un Reich" comme on disait en France pour se faire peur.
Les dirigeants de la France de l'immédiat après-guerre n'ayant pu empêcher ni la création de la Bizone anglo-américaine, ni la création de la RFA ont dû faire contre mauvaise fortune bon (?) coeur et s'engager dans une politique de limitation de la souveraineté de la RFA qui s'est appelée la politique d'intégration européenne. Mais pour que ce soit acceptable pour Bonn, il fallait que la France, et d'autres qui la rejoignaient, acceptassent de limiter également leurs souverainetés. Ce qui a été plus ou moins accepté, souvent contesté, mais a tout de même bien fonctionné. Merci Jean Monnet.
Ensuite, la "chance" des promoteurs de la construction européenne a été de disposer d'un ennemi extérieur puissant, facilement identifiable : l'URSS et ses satellites. On se souvient du discours de Paul-Henry Spaak à la tribune de l'A.G. des Nations-Unies : le moteur de notre politique, dit-il à l'adresse de la délégation soviétique, c'est la peur, la peur de vous, la peur de votre système. On a ironiquement proposé de ranger le Maréchal Staline parmi les Pères de l'Europe. Les successeurs de Staline, jusqu'à Tchernenko et même Gorbatchev au début, l'ont remplacé.
Il n'y aura pas de fédération européenne sans identification d'un ennemi, ou d'un danger EXTERIEUR. La correction politique s'oppose actuellement à l'identification de cet adversaire, de ce, ou de ces dangers. Mais comme il n'y a pas d'action politique sans désignation d'un ennemi, le seul ennemi, le seul danger désignés sont INTERNES : c'est le prétendu populisme. Alors, on nous endort, on nous "bassine" avec des "valeurs" qui ne peuvent pas être spécifiquement européennes parce qu'elles sont universelles. On refuse de donner à l'Europe des limites territoriales, on la dilue. C'est l'Europe des directeurs de conscience de la chaîne Arte, qui n'a de vraiment franco-allemand que le financement. Les "méchants", les déviants, les hérétiques sont à l'INTERIEUR de l'Europe, non à l'EXTERIEUR. Les besoins d'autonomie, de protection, voire de protectionnisme sont méconnus, leur expression est dénoncée, diabolisée comme populiste. Etonnez-vous après ça de la montée de l'euroscepticisme, des souverainismes, du stato-nationalisme et autres attitudes de régression !
Aucune construction politique de type étatique n'a jamais été édifiée sur des "valeurs", surtout universelles, même si ces "valeurs" peuvent ultérierement contribuer à son maintien, à sa pérennité. Toute construction de ce type s'affirme devant un ennemi ou des dangers EXTERIEURS. Nombreux sont ceux qui, s'ils n'étaient pas "natiosceptiques", seraient "souverainistes".
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Il Cavaliere (Silvio Berlusconi) est l'homme politique européen que j'admire le plus.
Il y a des signes qui ne trompent pas : l'ignoble chaîne à financement, mais à financement seulement..., franco-allemand, Arte, consacre des rubriques régulières sur Arte (Des)Info à la démolition du président du Conseil italien et de son gouvernement. C'est normal : Il Cavaliere a transgressé deux tabous : (1) en 1994, il a sorti le Mouvement Social Italien de la léproserie politique dans laquelle les fusilleurs de 1943-1946 le confinaient depuis plus d'un demi-siècle (depuis, ce mouvement a fait sa mue et son leader est même allé faire allégeance au mémorial de Yad Vashem); (2) il compte dans sa majorité mes amis de la Ligue du Nord qui fait de la résistance à la colonisation de peuplement de l'Europe par les suds du monde.
Il y a une autre raison de préférer Silvio Berlusconi à ses adversaires : il a eu pour prédécesseur et successeur un certain Romano Prodi, ami du mult-millardaire Georges Sörös; je tiens Romano Prodi pour un sale type politique : en 1995, il est descendu dans la rue pour protester contre une sorte d'ordonnance de non lieu rendue par un tribunal militaire italien au bénéfice d' Erich Priebke, l'officier allemand qui avait dû gérer les représailles appelées par l'"héroïque" attentat de la Via Rasella par lequel les libertadors de 1944 avaient tué ou estropié à vie des soldats allemands par l'explosion d'une bombe dissimulée dans une poubelle. Jamais ce type n'aurait dû être nommé à la présidence de la Commission européenne, ni revenir à la tête du gouvernement italien d'où ses amis communistes l'avaient débarqué avant son repéchage à Bruxelles. On ne peut pas comparer Il Cavaliere au mari de Mme Bruni : il n'y a pas de Lega Nord en France (sinon, j'y prendrais ma carte) et il n'y a pas de résistance tolérée à la colonisation de peuplement.
Jean-Marie Lallau
A quoi l'Esprit Frappat à répondu par le commentaire : "C'est clair, sinistrement clair".