A Bruxelles, les négociations vont reprendre vers 16h entre 27 chefs de l'Exécutif des Etats européens sur le plan de relance franco-allemand de l'économie européenne.
Euronews nous met en scène un homme et une femme masqués (crise sanitaire oblige....)marchant côte à côte dans ce qui pourrait être un hall et des couloirs d'un bâtiment des institutions européennes. A un moment donné, le femme poursuit son chemin, tandis que l'homme enlève son masque, s'arrête ou ralentit et s'adresse directement aux télespectateurs. Il marmonne son nom, rappelle brièvement les enjeux de la négociation, et s'arrête lourdement, agressivement sur l'un d'entre eux : l'état de Droit.
Qu'est-ce que c'est que cette connerie ?
C'est un machin inventé pour réduire le pluralisme d'opinion et d'expression au sein de l'Union Européenne. En gros, il s'agit de s'immiscer dans la politique intérieure de pays anciennement satellites de l'URSS, principalement la Hongrie et la Pologne, pour leur interdire tout écart par rapport aux limites du pluralisme politique acceptable par George Sörös, Daniel Cohn-Bendit, Bernard-Henri Lévy, ARTE, Télérama, Jean-Marc Ayrault etc....
Le président du Conseil européen, le déplorable libéral belge Charles Michel (°1975) avait, peu avant l'ouverture du sommet, annoncé la couleur : il tenait à ce que des sanctions financières (pas de subventions) soient appliquées à l'encontre des Etats de l'UE (essentiellement Hongrie et Pologne) qui ne respecteraient pas "l'état de Droit", c'est-à-dire dont les gouvernements oseraient se défendre contre la propagande des organisations de George Sörös, qui refuseraient une répartition des "migrants" follement admis au sein de l'UE par des Etats comme l'Espagne, l'Italie, le Portugal, à gouvernement socialaud, la Vrôôôôôôônce macronienne, et qui veulent les refiler à d'autres.
Déjà, samedi ou dimanche, Emmanuel Macron s'était engouffré dans cette voie en déclarant que les "valeurs", les principes de "l'état de Droit" étaient le fondement de la construction européenne. Ce qui est du deconantum : l'Europe, ce ne sont pas des valeurs (et surtout pas des valeurs universelles impropres à fonder une identité spécifique....), l'Europe c'est une fugue de Bach, une infante de Velazquez, une sculpture de Michel Ange, des ethnies (oui des ethnies !).
Euronews est en concurrence avec la chaîne de merde ARTE et France 24 (Damien Coquet, Gauthier Ribinsky, Caroline de Camaret) pour le prix du meilleur porte-voix des lobbies migratoires.
Euronews nous bassine régulièrement avec les "invisible workers", ces saisonniers exploités en Europe, mais bien sûr sans jamais dénoncer les flux migratoires intercontinentaux sud-nord vers l'Europe qui conduisent à ces situations.
"L'état de Droit", dans la bouche de Charles Michel, d'Emmanuel Macron et de leurs amis est une machine de guerre pour imposer la poursuite et l'amplification des flux migratoires évoqués ci-dessus, pour réduire le pluralisme d'opinion acceptable dans l'UE. Autrement dit : élargir le champ des sujets dont on dira : ceci n'est pas une opinion, c'est un délit (critique de l'immigration assimilée au "racisme", mise en cause de l'historiographie officielle de certaines pages de l'Histoire etc....).
C'est un outil pour imposer une plus grande uniformité sur les questions sociétales entre les Etats de l'UE, qu'il n'en existe entre les Etats fédérés des Etats-Unis d'Amérique.
Le résultat sera une plus grande impopularité de l'UE et une promotion des mouvements et personnalités eurosceptiques (Philippe de Villiers, Eric Zemmour, le RN etc....)
Les mensonges des "souverainistes" prennent l'apparence de vérités avec le concours de Macron, de Charles Michel et de médiats comme Euronews, Arte etc.....
Une réforme urgente des traités européens : l'abrogation de la Charte des Valeurs, et son remplacement par une version européenne du Premier Amendement à la Constitution des Etats-Unis d'Amérique.