samedi 24 octobre 2020

Le Comité de pseudo-Ethique de Canaille Plus ou : pas de droit au blasphème pour E. Zemmour !

 Un Comité de pseudo-éthique de la chaîne Canal Plus s'indigne des propos d'Eric Zemmour dans l'émission Face à l'Info de Cnews (qui dépend de Canal Plus) : pour ces exhibitionnistes de l'intelligence et du coeur, il est licite de pouvoir caricaturer Mahomet, mais il doit être prohibé de relever la délinquance pratiquée par des migrants "mineurs isolés". 




 
 Evidemment pas d'accord avec le prétendu "Comité d'éthique" de Canaille Plus qui pratique ici le foutage de gueule.
 
Où est la "diversité des opinions" sur les plateaux de BFM TV, de LCI , de France 24 ? Et même sur Cnews sous la "modération" de Loïc Signor ? Nulle part.
 
 Ils pratiquent le pluralisme à la Jean-François Kahn pour qui Edgar Faure était un "homme de droite", et la politique d'Emmanuel Macron une politique "de droite".
 
C'est le pluralisme limité imposé aux Centres de Documentation et d'Information des établissements scolaires (j'en ai animé et géré 4 comme prof) : L'Obs, Libération, Le Canard Enchaîné pour la presse "de gauche", L'Express, Le Point, Le Monde pour la presse de "non gauche" et c'est tout. Si vous prétendez ajouter Le Figaro Magazine ou Valeurs Actuelles, vous aurez les collègues sur le dos, en attendant le chef d'établissement et l'Inspecteur, en attendant un article indigné dans Télérama.
 
 "Face A l'Info" a essayé de pratiquer le débat contradictoire en opposant à Eric Zemmour un contradicteur : on a eu Mohamed Sifaoui, Bernard-Henri Lévy, Jack Lang et quelques autres, mais le "vivier" a été assez rapidement épuisé, la plupart des gens de ce milieu refusant de dialoguer avec un "parangon de l'extrême-droite" (expression de Mohamed Sifaoui) et le boycottant.
 
Les adversaires d'Eric Zemmour fuient le débat contradictoire avec lui par faiblesse, ou le boycottent au nom de la morale ...... puis le reprochent d'avoir une tribune et entendent le faire taire. 



 
 A quoi bon revendiquer le droit au blasphème, le droit de caricaturer le prophète de l'Islam, si les propos modérés de Zemmour sont censurés. C'est le déséquilibre relevé par Gilles-William Goldnagel : non-lieu pour le complice des passeurs Cédric Herrou, 9 mois de prison requis pour Génération Identitaire pour avoir mis en évidence l'absence de surveillance des frontières !

dimanche 18 octobre 2020

Professeur décapité : pas d'union nationale dans un Etat plurinational

 C'est la 2e décapitation "islamiste" en 5 ans. La 1ère avait eu lieu dans la région des Alpes en 2015 ou 2016. Un patron, un employé ou un partenaire en affaires. On avait déjà oublié.

 Tous les mécanismes sont en place dans les médiats pour qu'à l'occasion du crime de vendredi dernier, toute velléité de remettre en cause la poursuite et l'amplification des flux migratoires soit marginalisée et disqualifiée. Il est moralement interdit d'établir un lien de cause à effet entre immigration et terrorisme. En attendant que ce soit juridiquement interdit dans le cadre de la "lutte contre les discours de haine" (sic).

Franchement, les caricatures de Mahomet ne m'ont jamais amusé. Je n'ai jamais acheté Charlie, et n'ai pas l'intention de le faire. Le prétendu "droit au blasphème" est très sélectif. Si vous dîtes en salle des profs que le Journal d'Anne Frank a été écrit par son père Otto (ce qui n'exclut pas que son histoire soit partiellement vraie), vous aurez, et immédiatement, plus d'ennuis qu'en montrant les caricatures de Mahomet. Vous ne serez pas décapité, mais mis à l'index, harcelé, isolé, vous aurez des difficultés à assurer votre service et vous ne vous en reléverez pas professionnellement.

 La Vrôôôôôôônce n'est pas un pays de libertés, moins encore maintenant qu'au milieu du XXe siècle. Si elle l'a toutefois jamais été. 

 L'administration avait refusé d'octroyer le droit d'asile à l'assassin de 18 ans; il a fait appel, et c'est un tribunal (ou une commission de recours) qui a contraint l'administration à lui donner le statut de réfugié. Tous ces appels au consensus, à l'union, à la cohésion sont très suspects. Ils reposent sur des mensonges : "pas de lien entre immigration et terrorisme", "sacralisation d'un droit à l'asile conçu il y a 70 ans et plus", "la Vrôôôôôôônce, pays des libertés et des droidloms", pour n'en citer que 3.

 Je ne "marche" pas.

Et je vous invite à ne pas "marcher" non plus dans la combine.

Pas d'union nationale dans un Etat plurinational.