jeudi 28 mars 2019

Filippetti, ministre de l'Encul'tureLa souriante (c'est pour mieux t'attraper mon enfant !) ministre de l'en'Culture, qui s'était déjà signalée lors de son entrée en fonctions rue de Valois en se félicitant du limogeage d'un jour...naliste d'une station de radio privée au motif que selon la ministre, les références de ce journaliste contreviendraient aux "valeurs de la démocratien" (sic) -on a envie d'écrire : démocrassie, ou démocrassouille-, montre à nouveau son visage d'Inquisitrice-en-Chef de la Police de la Pensée. Le Conseil prétendument Représentatif des Institutions Juives de France (à quand un Conseil Représentatif des Institutions Goyes ?) réclame l'interdiction de la vente aux enchères d'objets volés par des pillards de la 2eDB (Leclerc) dans les résidences de dirigeants nationaux-socialistes déjà morts ou emprisonnés en 1945. Non parce que ses objets auraient été volés par la soldatesque mais du fait de l'idéologie des propriétaires initiaux et de ce que ces objets pourraient symboliser pour d'éventuels acquéreurs. La Grande Censeure s'exécute : elle saisit une instance dite Conseil des Ventes pour interdire ces enchères. Elle oblige le lobby qui a émis un ordre. C'est une personne malfaisante, animée par le sectarisme. A sa place, on aurait besoin de gens qui qui favorisent le pluralisme dans les médiats, et qui sachent dire le cas échéant le mot de Cambronne au prétendu C.R.I.F.. Sans états d'âme. Sans égards pour les jérémiades qui s'ensuivraient.Afficher la suite

Filippetti, Inquisitrice-en-Chef de la Mémouare et de la Morale

La souriante (c'est pour mieux t'attraper mon enfant !) ministre de l'en'Culture, qui s'était déjà signalée lors de son entrée en fonctions rue de Valois en se félicitant du limogeage d'un jour...naliste d'une station de radio privée au motif que selon la ministre, les références de ce journaliste contreviendraient aux "valeurs de la démocratien" (sic) -on a envie d'écrire : démocrassie, ou démocrassouille-, montre à nouveau son visage d'Inquisitrice-en-Chef de la Police de la Pensée. Le Conseil prétendument Représentatif des Institutions Juives de France (à quand un Conseil Représentatif des Institutions Goyes ?) réclame l'interdiction de la vente aux enchères d'objets volés par des pillards de la 2eDB (Leclerc) dans les résidences de dirigeants nationaux-socialistes déjà morts ou emprisonnés en 1945. Non parce que ses objets auraient été volés par la soldatesque mais du fait de l'idéologie des propriétaires initiaux et de ce que ces objets pourraient symboliser pour d'éventuels acquéreurs. La Grande Censeure s'exécute : elle saisit une instance dite Conseil des Ventes pour interdire ces enchères. Elle oblige le lobby qui a émis un ordre. C'est une personne malfaisante, animée par le sectarisme. A sa place, on aurait besoin de gens qui qui favorisent le pluralisme dans les médiats, et qui sachent dire le cas échéant le mot de Cambronne au prétendu C.R.I.F.. Sans états d'âme. Sans égards pour les jérémiades qui s'ensuivraient.

Lettre d'un "incivique" de coeur à Laurette Onkelinckx

Laurette Onkelinckx est une femme politique belge francophone socialiste, d'origine algérienne du côté maternel, comme son camarade Arnaud Montebourg.

S'il est inadmissible de comprendre les raisons qu'avaient des gens de collaborer, cela signifierait que la collaboration aurait été un choix irrationnel. Ce n'est pas le cas. 

De 1945 à 1960 environ, a existé en France une formation nommée Parti Socialiste Démocratique, animée par Paul Faure, permettant aux militants socialistes exclus du Parti Socialiste S.F.I.O. pour cause de collaboration, pour "incivisme" dirait-on Outre-Quiévrain, d'avoir une activité politique. Ce parti était légal, disposait d'un organe intitulé La République Libre, et était membre du cartel Rassemblement des Gauches Républicaines (R.G.R.). Lors du Congrès de la S.F.I.O. d'Asnières-sur-Seine en 1955, plusieurs militants "inciviques" passés au Parti Socialiste Démocratique, furent réintégrés, Guy Mollet, député-maire d'Arras étant secrétaire général de la S.F.I.O. Ces réintégrations, qui se poursuivirent sans éclats après le congrès, furent une des causes de la dispartion de ce parti qui perdit sa raison d'être.;Si 10 ans après la fin de la guerre, un tel apaisement était possible et ne suscitait aucune opposition, aucune indignation sérieuses, il est irresponsable de la part de votre parti de rallumer les flammes de la guerre civile nationale et européenne. Ou ne vous plaignez pas qu'on vous qualifie de pétroleuse. Je comprends que des gens aient pu collaborer et je l'aurais peut-être fait moi-même. Allez-vous proposer une loi européenne excluant des personnes tenant ce propos des droits politiques ?


In Memoriam DS Steuben


10 février 1945 : un des torpillages les plus meurtriers de l’Histoire

 Le DS (Dampfschiff) Steuben était à l'origine un paquebot de luxe allemand, utilisé un temps pour le transport de troupes, et qui fut coulé le 10 février 1945 en mer Baltique par un sous-marin soviétique alors qu’il ramenait des blessés et des réfugiés de la Prusse-Orientale vers le port de Kiel. On estime entre 3 000 et 4 000 le nombre de victimes, ce qui en ferait le troisième naufrage le plus meurtrier de l’Histoire.

Il avait été construit en 1923 dans le chantier naval Stettiner Vulcan sous le nom de München (Munich) comme son homologue le Stuttgart. Tous les deux avaient été commandés par la Norddeutschen Lloyd pour assurer des liaisons transatlantiques. Il était long de 168 m pour une vitesse de 15 nœuds.

Il fut renommé en 1930 Général von Steuben d’après l’officier prussien Friedrich Wilhelm von Steuben (1), qui servit aux côtés de George Washington pendant la guerre d’indépendance américaine. Son nom fut simplement réduit à Steuben en 1938, juste avant qu’il ne soit mis en service en 1939 par la Kriegsmarine comme navire de soutien. En 1944, il fut mis en service comme navire de transport armé, emmenant des troupes allemandes dans les ports de l’est de la Baltique et ramenant des blessés et des réfugiés de Prusse-Orientale à Kiel. Il fut coulé le 10 février 1945 par le sous-marin soviétique S-13 commandé par Alexandre Marinesko (2). On estime entre 3 000 et 4 000 le nombre de passagers qui périrent et seuls 630 survécurent.

L’épave du bateau a été découverte par la marine polonaise dans la mer Baltique. L’épave repose à 80 mètres de profondeur. Le lieu exact où se trouve l’épave est tenu secret pour éviter les pillages.

Selon une première étude de la marine, la coque du bateau est en bon état. Il s’agit du troisième et dernier bateau de croisière allemand qui avait servi en 1945 à évacuer les Allemands vers leur pays d’origine devant l’arrivée de l’armée soviétique et coulé au large de la Pologne actuelle.

Sources : Wikipedia ; article "colonisation et émigration allemandes en Amérique, de René Le Conte in Journal des Américanistes, année 1922.



N O T E S

(1) Von Steuben (1730-1794) fut admis au service du roi de France Louis XVI par le ministre de la Guerre de celui-ci, Claude-Louis, comte de Saint-Germain. Il pratiquait le français, mais non l’anglais. Benjamin Franklin auquel il fut présenté à Paris pressentit tout l’intérêt de la contribution que cet officier prussien qui avait servi sous Frédéric II pouvait apporter à la formation militaire de l’armée de Washington, appelée "armée continentale". C’est de Marseille que Von Steuben s’embarqua pour l’Amérique où il débarqua à Portsmouth, New Hampshire. Aux Etats-Unis et en Allemagne, le nom de Von Steuben est souvent utilisé en référence aux liens historiques entre les deux pays, comme ceux de La Fayette (France) et de Kosciusko (Pologne). En septembre, la communauté des Américains d’origine allemande commémore la naissance de Von Steuben (Von Steuben Day), notamment dans les régions où cette communauté est bien représentée (Illinois, Wisconsin). Il était dans l’ordre des choses que son nom fut donné en 1930, c’est-à-dire sous la république de Weimar, à un paquebot assurant une liaison transatlantique;

(2) Marinesko (1913-1963) comptait à son "actif" un "tonnage" record de bâtiments coulés ; il fut pressenti pour être désigné "Héros de l’Union Soviétique", mais le NKVD (Commissariat du Peuple aux Affaires Intérieures) l’écarta au motif qu’il avait eu une liaison avec une femme étrangère ; toutefois, en 1990, il reçut cette distinction qui compte une douzaine de milliers de récipiendaires à titre posthume ; à la fin de l’année suivante, l’Union Soviétique disparaissait. Marinesko est l’un des personnages du roman de Günther Grass "En Crabe" (Le Seuil, 2002) qui relate notamment le naufrage, fin janvier 1945, du navire allemand Wilhelm Gustloff, coulé par un sous-marin commandé par Marinesko ; ce dernier naufrage fit encore plus de victimes que celui du DS Steuben, et pourrait être le naufrage le plus meurtrier de l’Histoire. Sur le territoire de l’ancienne Union Soviétique se dressent des monuments érigés à la mémoire de Marinesko : à Kaliningrad (ancienne Königsberg) dans une enclave russe entre la Pologne et la Lituanie, à Odessa, en Crimée.







Arte, vecteur de l'euroscepticisme

Lundi 18 mai 2015, l'édition du soir d'Arte Journal était présentée par une personne du nom de Haffner.

Rennes : les lobbies migratoires remis à leur place

La relaxe par le tribunal correctionnel de Rennes de deux gardiens de la paix, accusés par les lobbies migratoires de n'avoir pas pu empêcher le comportement suicidaire des dénommés Bouna et Ziyad (l'un d'origine malienne, l'autre d'origine tunisienne) d'aboutir à la mort des susnommés, est largement commentée, dans un sens naturellement favorable aux thèses des lobbies migratoires. La parole est notamment donnée à une pétroleuse nommée Amal Bentounsi qui anime une association de dénonciation de la Police. Cette affaire, dont la commune de Clichy-sous-Bois (93) fut le théâtre, remonte à l'automne 2005 et a été le détonateur médiatiquement orchestré, des émeutes de banlieue à travers toute la France, pendant plusieurs semaines. Rappelons qu'à cette occasion l'état d'urgence dût être proclamé, et qu'il s'est trouvé des "professeurs de morale" et des "consciences" pour dénoncer le fait que des petits-fils et arrière petits-fils de fellaghas (1), qui habitent ces banlieues se voient soumis à des dispositions légales qui furent imposés à leurs ascendants pendant la Guerre d'Algérie. Comme si on avait donné son indépendance à l'Algérie pour être gouvernés cinquante ans plus tard en fonction des sensibilités supposées des petits-enfants et arrière petits-enfants de fellaghas, titulaires de la carte d'El Ekteur......


Retour à L'Esprit Public

Il y avait bien deux ou trois ans que je n'avais pas écouté L'Esprit Public, l'émission présentée par Philippe Meyer le dimanche matin de 11h à 12h sur France Culture.

Les hasards d'un déplacement m'ont permis de suivre l'émission du 13 septembre au moyen de mon auto-radio. Comme de bien entendu, elle était entièrement consacrée à ce qu'il est convenu d'appeler "la crise des migrants" de l'été 2015.

Comme de bien entendu encore, pas de pluralisme dans l'expression des opinions sur la question : tous les intervenants sont favorables à un accueil massif par les Européens de populations venues du Proche-Orient et d'Afrique. Il s'agirait d'un devoir moral indiscutable, d'une opportunité, voire d'une nécessité économique et démographique.

Il m'est souvent arrivé de constater que la confrontation avec des points de vue que je considère aberrants me révélait de façon plus précise les miens. On se pose en s'opposant.


Un des intervenants de l'émission de ce second dimanche de septembre était un dénommé Thierry Pech, qui est quelque chose d'assez important dans le think-tank proche du PS qui a nom Terra Nova (1).   

Le vrai visage d'Arte Journal

Lundi 30 décembre 2013. L'édition vespérale en langue française d'Arte Journal est présentée par Leïla Kaddour Boudadi.

Arte Journal s'indigne par la voix de sa présentatrice : voici qu'à deux jours de l'ouverture du marché du travail des 25 autres pays de l'Union européenne aux ressortissants de la Bulgarie et de la Roumanie, des esprits imparfaitement formatés pour déceler les bénédictions attachées aux flux migratoires massifs s'inquiètent des conséquences prévisibles de l'afflux de "travailleurs" de pays pauvres sur le marché du travail en Allemagne, et des fraudes possibles qui sont inhérentes à la culture d'une partie de ces populations. Comment peut-on ne pas se réjouir de l'afflux et du voisinage de Rroms ? Accueillir toute la misère du monde n'est-il pas un devoir et un privilège ? Leïla est angoissée. La pauvre !

Et Leïla Kaddour Boudadi de s'interroger sur "le vrai visage de certaines formations". La Christliche Soziale Union (CSU) in Bayern est visée par Leïla : c'est des rangs de cette formation que lui parviennent ces réserves sur l'impact de ce surcroît de flux migratoires. La CSU (1) est membre de la coalition gouvernementale d'Angela Merkel. Ca chagrine et inquiète Arte Journal et sa présentatrice qui nous dévoilent.....le vrai visage de la chaîne Arte : une chaîne salope dont les directeurs de conscience se vouent à la promotion de la colonisation de l'Europe par les flux migratoires intercontinentaux sud-nord.

"L'Exilé de Capri" (Dictionnaire de)

Aciéries de Longwy : entreprise sidérurgique fondée par le grand père paternel de Jacques d'Adelsward-Fersen. Les revenus engendrés par l'activité de cette entreprise constituent la principale ressource financière de ce dernier.

Avenue de Friedland : voie parisienne, dans le nord-ouest de la ville où les Adelsward résident, au numéro 22.

Carmelina : propriétaire, et tenancière, avec son mari Raffaello du cabaret situé près du phare, non loin des ruines de la villa de Tibère sur l'île de Capri. Avec son mari, Carmelina danse volontiers la tarentelle en l'honneur des clients et visiteurs.

Giovanni (Fra) :  ermite, se réclamant du  tiers-ordre de Saint-François d'Assise, desservant de la chapelle de Sainte-Marie du Secours, au-dessus des ruines de la villa de Tibère. Il accueille Robert de Tournel et Jacques d'Adelsward-Fersen en 1897 lors de la première visite de ce dernier à Capri.

Trower : consul du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande sur l'île de Capri, et le seul diplomate en fonction sur l'île. Il est l'auteur d'un guide sur Capri.


Charlottesville, mon amour (août 2017)

Charlottesville (Virginia, U.S.A.) a été en août 2017 l'objet de l'attention des médiats(1) étasuniens et étrangers à la suite de manifestations violentes qui s'y sont déroulées. La couverture médiatique de ces événements a été généralement biaisée de façon grossière. Il s'est agi pour ces médiats d'attaquer le président des Etats-Unis Donald J. Trump, de s'indigner des larges limites des libertés d'expression et d'opinion aux Etats-Unis, de mépriser la Mémoire des vaincus de la Guerre de Sécession (1861-1865) et d'appeler à la censure des expressions de cette Mémoire.

Au commencement était une provocation

Au commencement, à l'origine de ces troubles, se trouve la décision du conseil municipal de Charlottesville de faire enlever une statue du général Robert E. Lee, ancien général-en-chef des armées sudistes pendant la Guerre de Sécession. Cette statue fut érigée à Charlottesville dans les années 1920. Pendant près de 90 ans, la présence de cette statue dans l'espace public de cette ville de Virginie n'a dérangé personne. Même pas les militants des droits civiques des Afro-Américains, même pas le Révérend Martin Luther King jr. Charlottesville se trouve en Virginie, un état sudiste, membre de la Confédération sécessionniste pendant la Guerre de Sécession.

On a rappelé que Robert E. Lee fut un général de l'armée de la Confédération. Etait-il un partisan de l'esclavage ? Etait-il un raciste au sens où on l'entendait à son époque (sens qui a beaucoup évolué, s'est énormément élargi depuis ladite époque) ?

Nullement, et en voici la preuve fournie par Robert E. Lee lui-même dans une lettre à son épouse remontant à 1856, soit 4 ou 5 ans avant le déclenchement de la Guerre de Sécession :


In this enlightened age, there are few I believe, but what will acknowledge, that slavery as an institution, is a moral & political evil in any Country. It is useless to expatiate on its disadvantages. I think it however a greater evil to the white man than to the black race, & while my feelings are strongly enlisted in behalf of the latter, my sympathies are more strong for the former. The blacks are immeasurably better off here than in Africa, morally, socially & physically. The painful discipline they are undergoing, is necessary for their instruction as a race, & I hope will prepare & lead them to better things. How long their subjugation may be necessary is known & ordered by a wise Merciful Providence.

 Robert E. Lee, to Mary Anna Lee, December 27, 1856


Pour Robert E. Lee, l'esclavage est un mal, moralement et politiquement. Plus encore pour l'homme blanc que pour les esclaves noirs.

Au tout début de la Guerre de Sécession, Robert E. Lee fut approché par des dirigeants du Nord (l'Union) pour diriger leurs armées. Mais il resta fidèle à son Etat, la Virginie, qu'il choisit de servir et de suivre dans la Sécession.

Après la guerre, Robert E. Lee fut un partisan de la Reconstruction, de la réconciliation (inter-sectional reconciliation) entre vaincus (dont il était) et vainqueurs, entre Sud et Nord, entre ancienne Confédération (les états sudistes) et Union. Il était toutefois un farouche adversaire du ....Parti Républicain, celui-là même dont sont issus Abraham Lincoln et Donald J. Trump. A son époque, le Parti Républicain était identifié à la cause du Nord contre le Sud. Des Républicains extrémistes proposaient le retrait du droit de vote aux vaincus et son octroi automatique aux esclaves affranchis. Robert E. Lee ne pouvait que s'opposer à ces extrémistes

Voilà donc le "suprémaciste blanc" dont la présence de la statue dans l'espace public, 90 ans après son érection, est devenue insupportable aux talibans d'une certaine mémoire afro-américaine, pas forcément tous afro-américains eux-mêmes.

Ca ne vous rappelle rien ?

Ca me rappelle la chasse aux rues Alexis Carrel en France, le veto de la Correction Politique à l'octroi du nom de Kleber Haedens à un collège de La Garenne Colombes, la fatwa lancée par M. Alexis Corbière (La France Insoumise) contre la mémoire de Vincent d'Indy.

Oui, au commencement des évènements d'août 2017 à Charlottesville était une provocation : l'enlèvement de la statue de Robert E. Lee de l'espace public.


samedi 16 mars 2019

"You are us" : une hystérique pour la Nouvelle-Zélande (NZ) ?

L'attentat perpétré le vendredi 15/03 contre deux mosquées de Christchurch (NZ) aurait fait une quarantaine de morts. Auxquels il faut ajouter une nouvelle victime : Jacinda Ardern, la Première Ministre socialiste de NZ. Qu'on ne plaindra pas...

Son commentaire de l'attentat était à la limite de l'hystérie : "You are us" a-t-elle déclaré à l'adresse des Musulmans de NZ, au bord des larmes. "You are us"......Et quid des non-Musulmans de NZ qui peuvent légitimement se poser des questions sur l'audience de l'islamisme radical au sein de la communauté musulmane NZ ? Qui se souviennent de l'attentat de Bali commis il y a quelques années contre des touristes majoritairement australiens. La porte à côté....

Non contente de son "You are us", la PM socialiste, pourtant réputée féministe, a cru bon de s'exhiber en public devant des représentants de la communauté musulmane, la tête revêtue d'un foulard islamique.

Jacinda Ardern en action est par elle-même un argument contre sa mouvance politique, voire contre un certain féminisme.



Et attention à la récup' !

Des documents trouvés chez l''auteur de l'attentat contre les mosquées de Christchurch font référence au Grand Remplacement. Attendez-vous à ce que les médiats "humanistes" établissent un lien entre l'évocation de cette substitution de populations et la commission d'attentats contre les populations non-européennes issues de flux migratoires récents. On va nous braire : il ne faut plus parler de Grand Remplacement parce que ça mène à des attentats.

Le GRAND REMPLACEMENT n'est pas une théorie : c'est un FAIT, tragique. Et qui se lit dans les pages de votre bulletin municipal en comparant les noms et prénoms qui apparaissent à la rubrique "naissances" d'une part, et à la rubrique "décès" d'autre part.