Personne ne semble relever la convergence des analyses de la personnalité de François Normacol (marque déposée de laxatif) de Valérie Massonneau et d'Arnaud Montebourg. Le fils de Leïla Ould Cadi, comme la ci-devant première dame, le considèrent comme un menteur : "Il ment tout le temps, depuis le début" (A. Montebourg, cité dans un livre d'entretiens avec un journaliste dont la teneur a été révélée après le départ du gouvernement en grand seigneur bravache et berbère du fiston de Leïla Ould Cadi).
Deux témoins s'accordent pour attester la propension de F. Hollande au mensonge et à l'insincérité. C'est assez commun, et ce n'est pas très grave. Mais comme F. Hollande s'est fait élire en arborant une image de moralité, il est bon que ça se sache. Merci Valérie, merci Arnaud.
L'accusation portée par A. Montebourg contre F. Hollande a été reçue sans problèmes par les mass-merdiats, tandis que la même, portée par Valérie Massonneau contre son ancien compagnon lui est reprochée. Pourquoi ? Cherchez l'erreur....Valérie Massonneau n'a fait que confirmer ce qu'on savait depuis plus de dix jours de l'opinion d'A. Montebourg.
On fait tout un foin, on "en chie une pendule" à propos du mépris attribué à F. Hollande à l'égard des pôvres : les sans-dents. Et alors ?
F. Hollande aime tellement les pauvres qu'il permet leur multiplication en accueillant ceux du monde entier, appauvrissant ainsi les Français d'Europe et les populations issues de flux migratoires plus anciens qui doivent et devront supporter le coût matériel immédiat, et moral à terme, de l'"intégration" de ces nouvelles populations. On leur donnera la carte d'El Ekteur et voilà un électorat de remplacement pour la "gauche morale".
Moi, j'aime les pauvres pourvu qu'ils ne m'appauvrissent pas en essayant de sortir de leur condition. Ce n'est pas sur ce critère que je jauge F. Hollande. Les pauvres qui m'inspirent de l'empathie en premier lieu sont ceux qui sont pauvres de l'apparence même de la pauvreté : on ne sait pas, on ne voit pas qu'ils sont pauvres, on ne leur reconnaît pas cette qualité.
En 1965, lors de la campagne présidentielle de cette année-là, deux fils d'Abraham débattaient à la radio : Mendès-France (PSU), soutien de F. Mitterrand; contre Maurice Schumann (UNR-UDT), soutien de M. De Gaulle. M. Schumann hasarda le deconantum ci-après : je voterai De Gaulle, je me trompe peut-être, mais si je me trompe, je préfère me tromper avec tous les pauvres du monde. Quel c... ! Et ce Schumann là a siégé à l'Académie !
En 1969, lors de la campagne pour l'élection du successeur de De Gaulle, une grognasse féministe et tiers-mondiste croyait discréditer Alain Poher lors d'un débat radiophonique en lui jettant : "le Tiers-Monde préfère Pompidou".
En 1973, Témoignage Chrétien interrogeant le candidat du Mouvement Réformateur à Roubaix André Diligent (élections législatives de 1973), tentait de le déstabiliser en lui déclarant : "Les Arabes (des pauvres...) craignent votre succès" (celui du Mouvement Réformateur). Et Diligent de se défendre lamentablement : "Ils ont tort". Diligent a laissé coloniser sa commune de Roubaix par les flux migratoires transcontinentaux sud-nord. Et n'en était pas mécontent.
Ce comportement relève d'une générosité....avec ce qui n'est pas à soi, de l'illusion selon laquelle une idée généreuse, ou d'apparence généreuse, est une idée juste. Elle est fausse.