Des membres de l'US Marine Corps ont uriné sur des cadavres de talibans.
(Source : les mass-media, janvier 2012)
C'est moche. Mais on a vu pire, bien pire.
Dans l'immédiat après-2nde guerre mondiale, en France ou en Belgique,
des gens ont libéré leur haine en urinant depuis des ponts, sur des convois
de prisonniers de guerre allemands, transportés sur des péniches,
donc des hommes vivants, vaincus, sans défense, à humilier sans
prendre de risques (*).
L'un de ces prisonniers l'a relaté dans une émission de France 3 déjà
ancienne, diffusée à une heure très tardive. C'est au cours de cette
émission que la fausse autorité morale Raymond Aubrac, interpellé sur
son recours illégal et meurtrier à des prisonniers de guerre allemands
pour des opérations de déminage dans les Bouches du Rhône, a eu ce
trait qui le disqualifie forever : "oui, bon, mais ces conventions
(sur les prisonniers de guerre), vous comprenez, il fallait les
interpréter".
Interrogé sur le point de savoir s'il éprouvait de la
haine, Raymond Aubrac a répondu que non, mais que, peut-être, il ne
cherchait pas bien.
Salopard !
Et ce sont des gens comme ça qu'on invite dans les écoles, à rencontrer des jeunes élèves, dont on donne le nom plus tard à des établissements d'enseignement !
(*) Les talibans sur les restes desquels on a uriné étaient morts et on n'est
pas taliban sans être volontaire, alors que les prisonniers de guerre
victimes de la "libération" de la haine en 1944 ou 1945 étaient des
conscrits, des appelés, des gens amenés à porter tel uniforme parce
qu'ils appartenaient à une classe d'âge et étaient ressortissants d'un
pays en guerre. Le geste des libertadors de 1944 ou 1945 envers eux
est incomparablement plus grave que celui de ces US Marines.
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